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L'action de ce roman épistolaire se déroule à Florence en 1557. Le vieux peintre maniériste Pontormo a été assassiné. Vasari, l'homme à tout faire du duc de Florence, est chargé de l'enquête. Alors que ce dernier fait face aux convoitises de sa cousine la reine de France et que les artistes subissent les attaques des savonarolistes et du pape, il doit faire preuve de doigté et de discrétion. ©Electre 2023

Après avoir promis d'être sages, le fils Martin et son ami Jean-François décident de jouer aux guerriers solitaires et transforment la maison en champ de bataille.

Envie de vous évader loin des foules, de voyager à votre rythme, de lâcher prise ? Faites le plein d'idées pour construire votre séjour à la carte et redécouvrir la France en mode slow.

Dix-sept nouvelles et dix-sept voix puissantes pour explorer autant de façons de dire l'horreur aujourd'hui,

L'auteure propose des exercices pour aider les personnes incapables de choisir, de s'affirmer, ayant peur d'être rejetées ou de l'avenir, à apprendre à s'aimer, à se sentir en sécurité intérieure, à avoir confiance en leurs compétences et être à l'aise avec elles-mêmes et avec les autres. ©Electre 2022

Recueil de poèmes qui sont autant d'invitations au voyage et à l'évasion. Poème en inuktitut en fin d'ouvrage.

Evadé des prisons de Rome avec l'aide de Pompée, l'adversaire politique de César, Vercingétorix est conduit en Gaule par Alix et Enak.

Le 2 juin 2018, à l'université de Tel-Aviv, Amos Oz donne sa dernière conférence. Il est gravement malade, conscient de sa fin imminente, et ses paroles résonnent comme un testament politique. Fervent défenseur de la paix, il plaide pour la solution à deux États au Moyen-Orient, leitmotiv de son œuvre et de ses combats. « Si nous ne créons pas ici deux États, et vite, nous nous retrouverons avec un seul. Et ce ne sera pas un État binational. Cette bête curieuse n'existe pas. Ce sera tôt ou tard un État arabe, du Jourdain à la mer. » Très tôt, Amos Oz avait souligné le danger que courrait le peuple juif s'il se retrouvait minoritaire. Clairvoyant, il fait néanmoins preuve d'un optimisme indéfectible, et exhorte le peuple israélien à prendre son destin en main car, répètet-il en reprenant une expression de l'écrivain Yosseph Hayim Brenner, « rien n'est encore joué ».