Lorsqu'il publie ce livre en 1926, Aldous Huxley n'a pas encore écrit Le Meilleur des mondes mais il est déjà le porte-parole des intellectuels anglo-saxons. Dans ce qui est, plus qu'une chronique de voyage, un véritable itinéraire spirituel, ce sceptique que tout intéresse saisit l'instant avec humour. En quête de l'incertaine vérité de l'homme, il doit bien reconnaître que " voyager c'est découvrir que tout le monde a tort ".