La globalisation, nous dit J. Saul, essayiste et romancier, n'est pas une fatalité, mais une idéologie, une théorie expérimentale visant à remodeler simultanément les paysages économique, politique et social. Cette idéologie semble aujourd'hui en bout de course. Des pays, voire des continents, vont à la dérive, hors du "navire global" et tentent des expériences, parfois risquées...