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Nouvelle formule pour le magazine "Philosophie". Désormais entouré de deux invités, Raphaël Enthoven aborde chaque semaine un thème qui fait débat.
"Philosophie" évolue avec un nouvel habillage et une formule éditoriale repensée. À une époque où l'information circule à toute vitesse, l'émission suit le cheminement de la pensée avec la même exigence mais s'enrichit de multiples points de vue. Désormais accompagné de deux invités, l'un issu du monde philosophique, l'autre de la société civile, Raphaël Enthoven explorera un sujet qui fait débat. Des échanges complétés par des vidéos, des images d'archives et des témoignages contribueront à faire avancer la réflexion.
1. Chantal Delsol - Pourquoi pas le populisme ?
2. Laurent Thirouin - Le pouvoir est-il illusoire ?
3. Luc Ferry - Demain, l'homme transformé ?
4. Dominique Lestel - Faut-il avoir honte d’être carnivore ?
5. Elsa Godart - Je selfie donc je suis ?
6. Charles Pépin - Les vertus de l'échec
7. Eric Fiat - Pudique or not pudique ?
8. Magali Bessone - Grandeur et misère de l'antiracisme
9. Cynthia Fleury - La douleur a-t-elle un sens ?
10. Danielle Moyse - Respect !
11. Matthieu Potte-Bonneville - Pourquoi punir ?
12. Sandra Laugier - Faut-il désobéir ?
13. Bruce Bégout - Laisse béton !
14. Marcel Gauchet - Que faire de la démocratie ?
15. Benoît Basse - La peine de mort : justice ou vengeance ?
16. Jean-Baptiste Hibon - Au-delà du handicap
17. Yann Perreau - Incognito, donc libre ?
18. Michael Foessel - Vivre la nuit ?
"Tout ce que je sais de la morale, je l'ai appris sur un terrain de foot", disait Albert Camus. Que dire, alors, du coup de tête de Zidane, du coup de pied de Cantona, du coup de coude de Schumacher ou de la main de Thierry Henry ? Avec la participation d'Ollivier Pourriol (Éloge du mauvais geste, Nil 2010).
Voir le mal, c’est mal voir, garantissent en substance tous ceux qui maintiennent l’hypothèse de la bonté divine. Si Dieu est bon, dit Leibniz, alors "le mal qui passe est une suite indispensable du meilleur… et permettre le mal, comme Dieu le permet, c’est la plus grande bonté." En d’autres termes, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Mais l’homme n’est pas un œuf…
De quelle pathologie le sentiment que le monde touche à son terme est-il le symptôme ? Pour qui se prend l'homme qui prédit la fin du monde ? Qui peut dire "pendant moi, le déluge" ? Et si le "déclinisme" contemporain n'était qu'un avatar de ce pessimisme si commode ?