Voir le mal, c’est mal voir, garantissent en substance tous ceux qui maintiennent l’hypothèse de la bonté divine. Si Dieu est bon, dit Leibniz, alors "le mal qui passe est une suite indispensable du meilleur… et permettre le mal, comme Dieu le permet, c’est la plus grande bonté." En d’autres termes, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Mais l’homme n’est pas un œuf…