A partir d’une trentaine de méditations illustrées d’exemples concrets et de références à des grands philosophes, l’auteur définit ce qu’est le bonheur et apporte des clés pour l’atteindre.
Après une réflexion sur l'articulation entre lucidité et bonheur, B. Piettre propose d'examiner l'approche de cette question chez Platon, les stoïciens, Spinoza, Nietzsche et Schopenhauer.
C. Baratoux revisite le célèbre conte en transformant le personnage en vrai héros de théâtre qui fait l'expérience du rite de passage entre l'enfance et l'âge adulte.
A l'arrivée de sa belle-mère et de la fille de celle-ci, la jeune fille est chassée de la maison. Dans la forêt, elle rencontre le prince. Un surprenant carrefour où Cendrillon croise Peau d'Ane.
Pouce-Pouce, minuscule enfant abandonné par ses parents trop pauvres, et Petite Peau, princesse qui fuit le roi son père qui veut l'épouser, marchent dans la Forêt défendue. Ils arpentent ensemble le monde inhospitalier.
Marie raconte à son petit frère François des histoires pour l'endormir lorsque sa mère part le soir travailler au café. C'est un moment propice à l'explosion des peurs et des fantasmes. Une visite à la fête foraine ne fait qu'accroître l'imagination des deux enfants.
Le texte, une variation sur le thème de l'histoire du Petit Chaperon rouge est présenté dans son intégralité accompagné d'un appareil pédagogique adapté aux élèves de 6e. Comporte une interview de l'auteur.
En sept questions, autant que de jours de la semaine, qui sont à la fois sujets de dissertation de style bac et questions pour tout un chacun, C. Pépin montre comment rédiger une dissertation aux lycéens et démontre à leurs parents que le travail des philosophes est d'éclairer les questions essentielles de l'existence concrète.
A partir d’une trentaine de méditations illustrées d’exemples concrets et de références à des grands philosophes, l’auteur définit ce qu’est le bonheur et apporte des clés pour l’atteindre.
Voici le jardin du philosophe. On y cueillera des fruits mûris sur le tronc de la sagesse commune et dorés à cette autre lumière des idées. Ils en reprennent leur saveur d'origine, qui est le goût de l'existence. Saveur oubliée en nos pensées ; car on voudrait s'assurer que l'existence est bonne et on ne le peut ; on en déçoit donc l'espérance par précaution, prononçant qu'elle est mauvaise. De là s'étend l'empire de l'imagination déréglée, en quoi Alain, se confiant à la sagesse du corps, restaure la souveraineté claire de l'homme heureux et qui n'attend pas pour l'être, ici et non ailleurs, que l'événement lui donne raison, acteur enfin et non spectateur de soi-même.
Pièce pour 8 acteurs et un pantin d'après le conte de Collodi. Un homme pauvre fabrique le pantin de bois Pinocchio, mais ce dernier s'enfuit. Son amour pour l'argent facile et l'oisiveté lui jouent des tours, son nez s'allonge à chacun de ses mensonges, et le pantin finit dans le ventre d'une baleine.
A la frontière du cours - dont on ne saurait faire l'économie - et du recueil de sujets corrigés. Philo-notions voudrait apporter aux élèves des classes terminales une aide concrète dans l'approche des notions philosophiques, résoluement orientée vers l'exercice de problématisation. Chaque volume de la collection comporte donc trois parties : un exposé théorique, des textes commentés, des sujets de dissertation coorigés. Par delà cette visée pédagogique - pour nous essentielle - Philo-notions voudrait rappeler que l'étude d'une notion philosophique, lorsqu'elle est abordée dans un soucis de mise en évidence d'une problématique, en relation avec les grandes doctrines philosophiques, peut-être une source de plaisir. Les auteurs, professeurs agrégés de philosophie, sont enseignants en classes préparatoires ou à l'université. Tout homme désire le bonheur et il y a presque autant d'images du bonheur qu'il y a d'hommes, d'époques ou de circonstances. Tout homme désire le bonheur mais aucun ne semble alors savoir précisément ce qu'il veut et ce qu'il doit faire pour le réaliser. Le bonheur entretient un rapport équivoque avec le plaisir auquel on l'assimile parfois et dont il se distingue pourtant en tant que totalité et en tant qu'état ; il entretient un rapport ambigü avec la béatitude, dont il différe parce qu'il semble dépendre d'une extériorité. Le bonheur n'est-il pas affecté d'irréalité ?