Ces lettres à son épouse Hélyonne retracent le quotidien des tranchées pendant les trois années de son engagement comme simple soldat lors de la Première Guerre mondiale. H. Barbusse raconte à demi-mots l'horreur de la guerre, afin de ne pas inquiéter sa femme.
Des extraits de poésie pour décrire et sentir la mer. Chaque évocation de la mer suscite la découverte d'un mot pour lequel l'auteure, en plus d'un poème illustré, propose une courte définition. Avec des textes de Jules Supervielle, Blaise Cendrars, Aimé Césaire, etc.
Extraits de l'ouvrage du maître de thé Sen no Rikyu, ces textes courts déclinent l'essentiel de l'art du thé. En interaction avec le zen et le taoïsme, cet art développe une esthétique de la sobriété et de l'asymétrie dans laquelle toutes les autres disciplines interviennent : peinture, art floral, laque, architecture, jardinage, bienséance et encens.
La route de Verlaine passe d'abord par Saturne, fauve planète qui dessine ligne à ligne le destin de ceux qui sont nés sous son signe. A ceux-là, l'astre dispense lassitude, naufrages et désastres, la mélancolie des soleils couchants, les sanglots longs des violons de l'automne...
Répartis en quatre thèmes : les fleurs, les fruits et les légumes, les arbres et la forêt, le temps qu'il fait et le temps qui passe, ce recueil propose des poèmes de G. Apollinaire, G. Bialestowski, M. Butor, M. Carême, A. Chédid, J. Cocteau, R. Desnos, etc.
Robin qui n'aime pas la poésie a un nouvel instituteur qui en est fou. Robin se prépare à vivre un cauchemar avec ce maître. Mais celui-ci explique à la classe que la poésie sert aussi à dire des vérités qu'on arrive pas à exprimer. Cela donne une idée à Robin qui souhaite faire comprendre à son frère qu'il en a marre que celui-ci se moque sans arrêt de lui.
A la découverte d'un jeune talent : la violoniste Elsa Grether. Elsa Grether, jeune violoniste charismatique au jeu passionné et d'une intense poésie, interprète pour son premier enregistrement - avec le pianiste Roumain Ferenc Vizi - les deux sonates pour violon et piano de E. Bloch qui forment un diptyque. Bloch décrivit la première comme "le monde tel qu'il est : la lutte frénétique des forces aveugles et primordiales" et la seconde comme "le monde tel qu'il devrait être : le monde dont nous rêvons, un monde plein d'idéalisme, de foi, de ferveur, d'espoir, où les thèmes juifs, le Credo et le Gloria du chant grégorien marchent côte à côte." Les sonates sont entourées par Fratres de A. Pärt, rituel entre silence et son, et par Nigun (Improvisation en hébreu), de loin la page la plus populaire de Bloch, et la deuxième des trois pièces pour violon et piano constituant le cycle Baal Shem, trois images de la vie chassidique. Le titre de l'album, Poème mystique, évoque à juste titre un programme vibrant, fait d'oeuvres émotionnellement très puissantes, liées par un profond sentiment de mysticisme, d'inspiration grégorienne ou judaïque.