L'historien offre ses méditations en réponse aux grandes craintes de l'humanité sur les risques de guerre nucléaire, de cataclysme écologique, de désordre technologique ou de menace terroriste. Il insiste sur la responsabilisation de chacun et la nécessité de maintenir et d'accroître les liens sociaux.
Les 50 ans à venir à partir de ce que l'on sait de l'histoire et de la science : l'argent sera tout puissant ce qui suggère trois avenirs possibles : l'hyperempire (le marché au pouvoir) ; l'hyperconflit (triomphe des "barbaries régressives") ; l'hyperdémocratie (mondialisation contenue, partage équitable des bienfaits de "l'imagination marchande"). Deux avenirs mortels, un 3e a priori impossible.
Le philosophe et l'économiste discutent à propos du pessimisme ambiant, des théories catastrophistes et des raisons d'espérer en l'avenir, évoquant l'amélioration des conditions de travail et la troisième révolution industrielle engendrée par l'essor des techniques numériques et robotiques.
Après Sapiens qui explorait le passé de notre humanité et Homo Deus la piste d'un avenir gouverné par l'intelligence artificielle, 21 leçons pour le XXIe siècle nous confronte aux grands défis contemporains. Pourquoi la démocratie libérale est-elle en crise ? Sommes-nous à l'aube d'une nouvelle guerre mondiale ? Que faire devant l'épidémie de « fake news » ? Quelle civilisation domine le monde : l'Occident, la Chine ou l'Islam ? Que pouvons-nous faire face au terrorisme ? Que devons-nous enseigner à nos enfants ?Avec l'intelligence, la perspicacité et la clarté qui ont fait le succès planétaire de ses deux précédents livres, Yuval Noah Harari décrypte le XXIe siècle sous tous ses aspects - politique, social, technologique, environnemental, religieux, existentiel... Un siècle de mutations dont nous sommes les acteurs et auquel, si nous le voulons réellement, nous pouvons encore redonner sens par notre engagement. Car si le futur de l'humanité se décide sans nous, nos enfants n'échapperont pas à ses conséquences.
J. Rifkin brosse une fresque de l'humanité, depuis les premières exploitations des ressources naturelles jusqu'à aujourd'hui, et constate que le monde n'a jamais été aussi unifié (communications, transports...) ni aussi déchiré (guerres, crise financière, réchauffement climatique...). Un essai montrant que l'homme est condamné à remodeler sa conscience pour se sauver.
L'auteur avance la thèse suivante : le dérèglement du monde tient moins à la guerre des civilisations qu'à l'épuisement simultané des civilisations, l'humanité ayant atteint son seuil d'incompétence morale.
Décrit l'avènement d'une culture planétaire et la marche vers une modernité "métisse" : le commencement d'un monde. Certains évoquent un "choc des civilisations", alors même que c'est une véritable rencontre qu'il s'agit. La modernité n'est plus le privilège de l'Occident, elle est "métisse", plus riche, plus diverse qu'auparavant.