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Une anthologie de la sculpture contemporaine à travers 73 sculpteurs de nationalités et d'horizons variés : Claude Abeille, Nicolas Alquin, Parvine Curie, Robert Fachard, Michel Guino, Claude Mary, Paul de Pignol, Philippe Scrive, François Weil, Irène Zack...

Une exposition qui cherche à replacer l'art du portrait de "cour" chez Warhol au coeur de sa réflexion sur l'image à l'ère de la consommation de masse, et bien loin du pop art réducteur. Warhol remit le travail du portrait à la mode à partir de 1972 : ce seront 600 portraits produits en l'espace de 14 ans, avec un processus célèbre mis en place dans son atelier sous le nom de Factory.

Des repères pour appréhender l'art à partir du XIXe siècle, présentés sous forme chronologique : époque d'un mouvement (cubisme, minimalisme, pointillisme, post-colonialisme, etc.), fondateurs et représentants, manifestes, lieux d'expositions, revues et textes, reproduction d'oeuvres avec des commentaires.

Le destin de femmes de l'ombre qui ont combattu les inégalités raciales est retracé à travers 20 portraits. Leur obstination pacifique face à la haine ou à la répression permet de raconter la défense de leur cause face à l'injustice et au racisme.

De la fin du XIXe siècle et tout au long du XXe, des sportifs, des écrivains, des artistes, des hommes politiques, des syndicalistes et bien d'autres ont fait l'histoire des Maghrébins en France, ont reflété au plus près la vie sociale, politique et culturelle de communautés de plus en plus nombreuses et dynamiques. A l'occasion d'une exposition à la Cité nationale de l'histoire de l'immigratiion.

Une analyse étayée par quatre exemples d'impostures emblématiques : un mythe moderne (les ovnis), une idéologie politique (biologie prolétarienne de Lyssenko qui bannit la génétique en URSS), un projet de conquête (théorie des races qui a justifié la colonisation puis mené au nazisme), une croisade d'actualité (le créationnisme : la science devenant la cible de la religion et de la morale).

Un beau livre relatant l'histoire sociale, économique, politique et culturelle de 1909 à 2009, à travers cent ans de publication de La Vie ouvrière. Cent ans de « version originale » sur le monde du travail en France et dans le monde, dans un journal fondé en 1909 par un groupe de syndicalistes animé par Pierre Monatte, Alphonse Merrheim et Alfred Rosmer. A l'origine, une idée simple : doter le syndicalisme d'une « coopérative intellectuelle », une revue d'action rendant service aux militants au cours de leurs luttes. La Vie ouvrière, histoire singulière d'un journal syndical dans l'histoire singulière du mouvement social français. Petite revue théorique de quelques centaines d'abonnés, elle se fait clandestine sous l'occupation nazie, puis devient l'hebdomadaire de masse du monde du travail, dépassant le tirage de Paris Match dans les années 1960. Aujourd'hui s'élabore une nouvelle formule, dans un paysage médiatique transformé, pour contribuer à façonner le syndicalisme du XXIe siècle. Dirigée tout au long de son histoire par des leaders syndicaux, Gaston Monmousseau, Benoît Frachon, Henri Krasucki, Louis Viannet, François Duteil, aujourd'hui Alain Guinot, La VO ne laisse personne indifférent. Jamais neutre, souvent « poil à gratter », La Vie ouvrière est partie intégrante du patrimoine du monde du travail, de ses combats, de ses espoirs. Un ouvrage exceptionnel comportant plus de 700 illustrations, photographies et témoignages.

Présente et replace dans leur contexte politique et social des discours marquants du XXe siècle prononcés par Jaurès, Gandhi, Churchill, de Gaulle, Mao, Jean-Paul II, Obama, etc.

De Marianne Brandt, icône du Bauhaus aux Tsé Tsé en passant par Zaha Hadid, Andrée Putman ou Matali Crasset, l'ouvrage passe en revue les grands noms du design féminin, de l'Art nouveau à aujourd'hui.

Cette anthologie illustrée est consacrée à la poésie turque contemporaine avec des auteurs tels que A. Hasim, S. Birsel, M. Eloglu, B. Keskin, etc.

Un mage africain crée un cheval volant qui entraîne le jeune prince dans de folles aventures. Réalisé en papier découpé, ce film est le plus ancien long métrage d'animation conservé. Un véritable chef-d'oeuvre d'enchantement inspiré des contes des "Mille et une nuits".

Des plasticiens, designers, architectes et autres artisans de l'image, tels Paul Cox, Sophie Curtil, Milos Cvach, Katsumi Komagata... se sont emparés du livre pour enfant, pour en faire un objet de création en soi, mais aussi une première approche du beau. Portraits, interviews et articles dressent un panorama de vingt ans de création internationale et de production des Trois ourses.

Le Centre Pompidou met à l'honneur près de 200 artistes femmes : vidéastes, peintres, sculpteurs, etc., et plus de 500 de leurs oeuvres montrant ainsi la conquête par les femmes du statut d'artiste au cours du XXe siècle. Avec une chronologie mettant en parallèle les créations ou actions des femmes artistes et des faits de société.

Les livres pour les enfants doivent-ils aider à grandir dans le monde tel qu'il est ou faire rêver à des univers merveilleux? Doivent-ils prendre le parti de la gaieté des moments ritualisés du quotidien ou doivent-ils mettre l'enfant face aux dures réalités de la vie ? Doivent-ils d'ailleurs servir à quelque chose? Certains seraient-ils dangereux et d'autres bénéfiques ? Y a-t-il une spécificité de la littérature pour les enfants? Parents, auteurs, bibliothécaires, éditeurs : tous les adultes qui destinent des histoires aux enfants en débattent interminablement. Romancière, directrice de collection, traductrice, lectrice... Marie Saint-Dizier est actrice et témoin direct de l'histoire récente de l'édition jeunesse. Mais c'est en tant qu'amoureuse du pouvoir fascinant des histoires qu'elle nous propose sa vision des livres pour les enfants. Avec beaucoup d'humour, elle raconte ses premières émotions de lectrice, ses rencontres hautes en couleur, de Quentin Blake à Alice au pays des merveilles, de Roald Dahl aux Trois Mousquetaires... Transmettre des histoires aux enfants est certes une affaire d'éducation, d'amour. C'est surtout la recherche fragile d'une rencontre.