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Présentation du parcours et de l'oeuvre de cette artiste française du XXe siècle, photographe et peintre qui fut également la muse de Picasso. Elle marqua l'avant-garde parisienne de l'entre-deux guerres. ©Electre 2019

Un flip book malicieux qui montre un ours gourmand en train de manger une glace au chocolat, puis de faire caca. ©Electre 2019

Publié à l'occasion de l'exposition «Politiques du visible» au Jeu de Paume (16 octobre 2018 – 27 janvier 2019), cet album offre une sélection de près de cinquante œuvres emblématiques de la photographe documentaire américaine Dorothea Lange (1895-1965), qui chercha inlassablement à dénoncer les injustices sociales et à faire évoluer l'opinion publique. Ses images intimes et poignantes s'enracinent notamment dans les interactions qu'elle noue avec ses sujets, particulièrement perceptibles dans les cinq ensembles ici présentés : la période de la Grande Dépression (1932-1934), un choix de photographies réalisées pour la Farm Security Administration (1935-1941), les chantiers navals de Richmond (1942-1944), l'internement des Américains d'origine japonaise (1942) et la série consacrée au travail d'un avocat commis d'office (1955-1957). Enrichie de notices analytiques portant sur des thématiques spécifiques, cette publication replace l'œuvre considérable de Dorothea Lange dans le contexte du documentaire social des années 1930 et 1940, tout en soulignant les qualités artistiques et la force des convictions politiques qui confèrent à leur auteure un rôle capital dans l'histoire de la photographie.

La nouvelle héroïne de Vincent Cuvellier L'histoire : Ma mémé, quand elle était petite, c'était pas encore ma mémé. Mais c'était déjà une sacrée marrante. Et une fois, un clown s'est moquée d'elle et Mémé s'est pas laissée faire. Ma mémé, faut pas la chercher. Dès 3 ans.

Pour accompagner l'arrivée d'un nouveau-né dans la famille, un album poétique qui dresse le portrait du plus beau bébé du monde et raconte l'amour sans limite que lui porte sa famille. ©Electre 2019

Un album qui rassemble diverses phrases couramment utilisées par les adultes.

Un jeune chevalier tout juste diplômé de son master en dragons cherche du travail. Il se rend à l'agence pour l'emploi mais les offres se font rares. Une conseillère lui explique que les moeurs ont changé, que les princesses ne se laissent plus mettre en prison et que les dragons sont en voie d'extinction. Elle tente de lui apporter de l'aide en lui proposant de se reconvertir. ©Electre 2019

Un ours fait preuve de bonne volonté mais c'est un gros dormeur. Depuis la sonnerie de son réveil jusqu'à la fin de la journée, il vit sa journée à un rythme effréné en surveillant toujours l'heure. ©Electre 2019

Un loup dit qu'il aimerait manger un cochon grillé. Chaque animal qui entend cette phrase la répète et la déforme, si bien que le cochon pense que le loup veut l'épouser.

« Afrique. Les religions de l'extase » propose une introduction à la diversité des pratiques religieuses actuelles en Afrique et dans sa diaspora : du Sénégal à l'Éthiopie, de l'Égypte à l'Afrique du Sud, de Genève à Haïti ! Abondamment illustré d'images saisissantes de cultes, de pèlerinages et autres rituels, prises par des photographes renommés, Theo Eshetu, Jacques Faublée, Christian Lutz, Mohau Modisakeng, Santu Mofokeng, Fabrice Monteiro, Jean-Pierre Grandjean, Anthony Pappone, Johnathan Watts et par l'auteur Boris Wastiau, ce livre nous immerge dans les systèmes magico-religieux africains, les cultes de possession et des ancêtres, et au cœur de l'expression du christianisme et de l'islam d'aujourd'hui.

Un oiseau croise par mégarde le répétou. Ce dernier n'est pas méchant mais sa mystérieuse maladie est contagieuse.

Après une première étape à la Wallach Art Gallery, le musée d'Orsay et le Mémorial ACTe poursuivent cette interrogation de l'histoire de la modernité par le prisme du modèle noir. Il nous a paru cependant que le sujet, dans sa version française, appelait une temporalité nouvelle. Le coeur de l'étape française s'articule de la fin du XVIIIe siècle à l'entre-deux-guerres et excède quelque peu la période couverte par les collections du musée d'Orsay (1848-1914), tout en faisant le lien avec l'histoire politique et sociale de la France. De la Révolution française à l'abolition de l'esclavage en 1848, de la révolte de Saint-Domingue en 1791 à l'émergence du concept de négritude, ces presque deux siècles sont le témoin privilégié des tensions, luttes et débats qu'occasionne la naissance de la modernité démocratique, et dont le monde des images s'est chargé, et nourri. Lentement elle voit s'affirmer, en dépit de toutes sortes de réticences et d'obstacles, une iconographie, et même une identité, noires.

Suzie, qui est enfin autorisée à utiliser le grand bain, célèbre l'événement en plongeant, en sautant et en nageant dans tous les sens. Si la petite fille s'en donne à coeur joie, les autres nageurs se plaignent au maître nageur, exigeant qu'elle se calme. Suzie ne l'entend cependant pas de cette oreille. ©Electre 2019

Au milieu d'un dîner de famille, le papa du chat Muche est scandalisé par la quantité d'aliments que son fils avale. Il pense qu'avec toute cette nourriture on pourrait nourrir au moins dix Indiens. Attristé, Muche mange de moins en moins, ce qui inquiète sa famille. Mais, un jour, il a une vision. ©Electre 2019

En 1998, le musée du quai Branly – Jacques Chirac a reçu en héritage les collections du musée national des arts d'Afrique et d'Océanie et les collections ethnographiques du musée de l'Homme, soit près de 300 000 objets. Depuis, il a développé une politique d'acquisitions riche de près de 70 000 pièces et photographies. L'exposition et son catalogue invitent le public à pénétrer dans les coulisses d'une collection. C'est l'occasion d'appréhender les étapes, les processus et les orientations multiples de ces acquisitions qui ouvrent sur le futur : accroître cette collection s'inscrit en effet dans une histoire de l'art globale où les aspects historiques entrent en résonance avec les enjeux contemporains.

Permet de confronter les diverses versions des thèmes traités par Botticelli (1445-1510), apprenti de Filippo Lippi, et de les comparer à des oeuvres de ces contemporains.

Banjo est sur le point de croquer dans la saucisse de son déjeuner lorsque celle-ci s'enfuit, suivie par la fourchette, la table et même les frites. Banjo, affamé, se lance à la poursuite de son repas.

"Par une sombre, sombre nuit, trois squelettes sortirent de leur sombre sombre cave pour faire peur aux gens. Mais comme aucun passant ne s'aventurait dans les sombres sombres rues, les affreux jouèrent à se faire peur..."