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Année de parution :
2006
Retrace le destin de ces deux femmes et montre que la première incarna l'ambition personnelle, la deuxième l'ambition maternelle.
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Année de parution :
2002
Déterminé dans sa vocation par la lecture de Viollet-le-Duc et par son amitié avec le sculpteur Alexandre Charpentier et avec l'architecte et critique Frantz Jourdain, dès 1894 Henri Sauvage dessine des pochoirs pour l'entreprise paternelle de tentures décoratives. La villa Jika qu'il construit à Nancy de 1898 à 1902 pour le maître ébéniste Louis Majorelle, la décoration de deux salons au Café de Paris en 1899, le théâtre de la danseuse Loïe Fuller à l'Exposition universelle de Paris en 1900, puis l'aménagement du magasin du tapissier Jansen en 1902 et celui de la galerie de la revue L'Art décoratif en 1904 le consacrent comme l'un des maîtres de l'Art nouveau européen. De 1902 à 1916, associé avec son ami de jeunesse Charles Sarazin (1873-1950), il réalise plusieurs groupes d'habitation à bon marché dont, en 1903, l'immeuble novateur du 7, rue de Trétaigne à Paris. Parallèlement, les deux architectes construisent des immeubles bourgeois et réalisent des établissements hôteliers dans les stations balnéaires et thermales françaises. Ils ouvrent des succursales de leur agence à Monterrey (Mexique), à Madrid et à Biarritz, où ils signent, en 1904 et 1907, deux opulentes villas, Océana et Natacha, qui allient l'Art nouveau et le régionalisme. En 1909, Henri Sauvage invente le système de construction à gradins, dont il dépose le brevet en 1912, au moment où il réalise le célèbre immeuble revêtu de carrelage " métro " du 26, rue Vavin à Paris. Peu après, il entame les études de l'immeuble HBM du 13, rue des Amiraux, achevé en 1930. Il illustre les possibilités de ses immeubles à gradins par des projets de rues entières et de mégastructures pyramidales, tels le Giant Hotel et l'immeuble Metropolis, imaginés en 1927 et 1928. L'Exposition des arts décoratifs de 1925 consacre le changement de manière qu'Henri Sauvage avait esquissé dès 1913 avec l'immeuble Majorelle, au 124-126, rue de Provence à Paris. Parmi les luxueux immeubles qu'il construit dans la capitale au cours des années vingt, le Studio-building, édifié en 1927 au 65, rue La Fontaine, démontre par son audacieuse polychromie l'extraordinaire capacité de renouvellement de l'architecte, qui conjugue magistralement, avec la construction des nouveaux magasins de la Samaritaine entre 1925 et 1930, l'esthétique Art déco et les performances techniques. À la même époque, il oriente ses recherches vers des procédés de construction rapide, dépose de nombreux brevets, réalise des prototypes de maisons en tubes d'amiante-ciment. En 1931, un an avant sa disparition, il édifie en trois mois les grands magasins Decré à Nantes, aux façades transparentes. Avec cette dernière œuvre, Henri Sauvage s'affirme comme l'un des très rares architectes à avoir parcouru, avec une rigueur et un talent jamais démentis, l'arc créatif qui va de l'Art nouveau au Style international.
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Année de parution :
1982
Le " système français " mis en place au lendemain de la Révolution tend à marginaliser la fille publique et à l'enfermer dans une série de lieux clos (maison de tolérance conçue comme un simple égout séminal, hôpital, prison, établissement de relèvement), invisibles de l'extérieur mais totalement transparents au regard policier. Il se révélera vite n'être qu'une utopie. Dès la fin du Second Empire, le déclin du bordel, l'émergence de nouvelles conduites prostitutionnelles reflètent le recul de la misère sexuelle masculine au sein du prolétariat urbain, et l'embourgeoisement d'une clientèle qui, désormais, recherche aussi, avec les filles de noce, l'illusion de la séduction. L'essor de la maison de rendez-vous, l'attrait exercé par l'adultère vénal et la quête d'une intimité calquée sur le modèle conjugal témoignent, par la suite, de cette mutation des formes du désir.
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Année de parution :
1996
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Année de parution :
1985
Ce livre a été écrit pour glorifier une œuvre. Cette œuvre est un château, l'un des plus célèbres du monde. Ce château, sommet de l'art classique français, fut une demeure habitée par des hommes, des femmes, des courtisans. Ce fut aussi, au long de son histoire, un chantier très actif. Il brilla, tout encombré des matériaux, des ouvriers, des échafaudages que reclamèrent sa construction, son entretien, les changements du goût. Il fut ordonné par quelques grands artistes, conduit par Louis XIV à sa perfection, encore embelli par Louis XV, Louis XVI et Marie-Antoinette, soumis ensuite à de longues tribulations, dénaturé, appauvri. Il a été cependant sauvé, au moins pour l'essentiel, bâtiments et jardins. Il nous faut le connaître mieux. L'auteur de ce livre a consacré une partie de sa vie à étudier Versailles. Le livre qu'il publia en 1961 fut vite épuisé. Il a été refondu, mis à jour, complété d'après les travaux les plus récents. Pierre Verlet fut élève de l'Ecole des Chartes, de la Sorbonne, de l'Ecole du Louvre et, pendant près de trente ans, à la tête du département des objets d'art des musées nationaux (Louvre, Cluny, Sèvres, musée Dubouché à Limoges), qu'il contribua à organiser, réinstaller et enrichir, soit par des achats fameux, soit plus encore par des donations somptueuses. Ses recherches personnelles l'ont conduit à la découverte d'une partie des anciennes collections royales françaises, mobilier notamment. De là l'espoir qu'il eut de voir Versailles remeublé comme au XVIIIe siècle, espoir auquel on ne doit pas renoncer. La vie du château réapparaît dans ce livre, qui est fidèle à la traduction de Pierre de Nolhac.
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Année de parution :
2007
L'immigration est devenue en France un objet essentiel de controverse politique. Cet ouvrage, dirigé par Benjamin Stora et Enfile Temime, rassemble les contributions de quatorze des meilleurs spécialistes des questions migratoires. Il présente l'état de la recherche aujourd'hui, selon trois grandes parties : les politiques de l'immigration, les problèmes économiques et sociaux rencontrés par les immigrés et enfin les représentations de l'immigration. La succession des statuts, lois et décrets définissant la place des étrangers n'a cessé de scander les politiques suivies, ne permettant pas toujours d'accueillir dignement les immigrés. La place croissante des femmes dans l'immigration, l'accélération des migrations du travail, la mondialisation du marché ont profondément transformé, en France comme en Europe, les flux et les modalités des mouvements migratoires. En ce début du XXIe siècle, les notions comme " intégration " ou " assimilation " sont remises en question. Ces débats révèlent les tensions entre modèle républicain français et dérives communautaires, réelles ou supposées.
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Année de parution :
1981
L'Etabli, ce titre désigne d'abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s'embauchaient, " s'établissaient " dans les usines ou les docks. Celui qui parle ici a passé une année, comme O. S. 2, dans l'usine Citroën de la porte de Choisy. Il raconte la chaîne, les méthodes de surveillance et de répression, il raconte ce que c'est, pour un Français ou un immigré, d'être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Mais l'Etabli, c'est aussi la table de travail bricolée où un vieil ouvrier retouche les portières irrégulières ou bosselées avant qu'elles passent au montage. Ce double sens reflète le thème du livre, le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l'intermédiaire des objets : ce que Marx appelait les rapports de production.
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Année de parution :
2001
De 1815 à 1885, la France voit se succéder s régimes politiques différents. Le pays ne trouvera alors son unité que dans l'attitude de ses intellectuels, qui mêlent politique et littérature, luttent pour la liberté d'expression, s'engagent dans leurs articles et leurs oeuvres parfois, se font députés, sénateurs, ministres. 40 monographies littéraires croisées retracent ces parcours.
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