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Cet essai filmique nous révèle les origines glaçantes et peu connues du chef-d’œuvre cinématographique de Ridley Scott, qui s’inspire notamment des mythologies grecque et égyptienne, de la bande dessinée alternative, de la parasitologie, mais aussi des écrits fantastiques de H. P. Lovecraft et des tableaux de Francis Bacon, et le génie symbiotique du scénariste Dan O’Bannon, du plasticien-concepteur H. R. Giger et, bien sûr, du cinéaste Ridley Scott.
Ces mobilisations s’inscrivent dans la lignée du Printemps arabe. Pour autant, quelles sont les spécificités du mouvement de révolte syrien ? À travers l’histoire, la géographie, la démographie et l’économie notamment, Le dessous des cartes cherche à comprendre les origines de la crise qui ébranle le pays.
S'inscrivant dans la lignée du Printemps arabe, ce mouvement de révolte a pourtant ses spécificités, d'autant que Damas occupe une place stratégique sur l'échiquier politique régional. À travers l'histoire, la géographie, la démographie et l'économie notamment.
Sous forme de préquel, retour sur la jeunesse et la première affectation du fameux inspecteur Jay Swan, au cœur de l’Outback australien. Une nouvelle saison du western contemporain à succès sur les traces du flic aborigène taiseux dans un pays rongé par son passé colonial.
Héritage colonial
''T’es un flic ou un aborigène ?'' La question du camp à choisir, entre une communauté indigène marginalisée et les descendants des colons britanniques, irrigue l’intrigue de ce préquel de Mystery Road, qui offre un passé et une famille à l’inspecteur taiseux Jay Swan, fraîchement affecté dans la ville de son enfance. Après les succès des films Mystery Road (2013) et Goldstone (2017), suivis des deux premières saisons d’une série plébiscitées par un large public, cette variation sur le western continue de sublimer les décors sauvages de l’Outback australien, dont l’écrin de poussière ne masque pas longtemps les injustices de l’héritage colonial du pays, qui marque chacun des protagonistes dans leur chair, entre perdants et gagnants. Au centre de ce cruel règlement de comptes se détache la figure charismatique du héros, mutique et pugnace, dont l’acharnement à faire éclater la vérité viendra briser l’apparente tranquillité de la bourgade du bout du monde. Le jeune Mark Coles Smith impressionne dans cette figure de lonesome cowboy en devenir et chausse avec brio les bottes de son aîné et prédécesseur, l’acteur Aaron Pedersen, starifié par la saga.
Gustave Courbet (1819-1877) peintre du réel, peintre de la terre et des choses matérielles, happé par son époque au point de s’y fondre. Il en paiera le prix fort, lui qui fut riche, adoré, et reconnu, sera acculé à peindre à la chaîne pour échapper à la ruine. Réaliser un film sur Gustave Courbet, c’est retrouver ce cheminement qui mène le peintre à centrer ses toiles sur le réel. C’est saisir sa peinture, chercher dans les couleurs, dans la matière et le concret.