Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

" Il est un âge où l'homme sent le besoin d'exprimer ses pensées, ses sentiments ; c'est l'objet de ce modeste journal, miroir fidèle de mon esprit. " Quand Théodore Monod écrit ces lignes, le 29 avril 1918, il a seize ans. Les carnets qui débutent ainsi seront tenus de façon ininterrompue jusqu'en 1935, au fil de plusieurs missions scientifiques dans le désert du Sahara ou en Afrique noire. Ces centaines de notes quotidiennes, souvent accompagnées de dessins de Théodore Monod constituent une œuvre profonde et émouvante, où s'exprime l'humanisme, le pacifisme et la rigueur presque ascétique de son auteur. Depuis ses premières armes scientifiques en croisière océanographique jusqu'à sa première grande campagne d'exploration dans le désert, de mars 1934 à mai 1935, en passant par son service militaire dans les rangs des compagnies sahariennes, on y suit l'évolution et le façonnage de sa pensée, avec ses indignations, ses doutes ou ses espoirs. La deuxième partie de l'ouvrage rassemble des lettres personnelles, des discours, des interviews ou des extraits de livres, qui, de 1940 à nos jours, constituent les grands repères de la pensée et de l'action de Théodore Monod. " On doit être reconnaissant à mon fils Cyrille d'avoir su imaginer puis réaliser le considérable travail dont le présent ouvrage apporte les résultats. " Th. M.

L'auteur commence ici sa réflexion sur le sens du monde contemporain et sur l'originalité radicale de notre époque.

Fuyant un mari abusif, mais surtout le souvenir de la mort tragique de sa petite Kate, Julia s'est installée dans une belle maison au coeur de Londres.

La Terre est menacée de destruction par la bombe universelle, fabriquée par tout pays qui en a les moyens. Le professeur Gé veut stopper cette course à l'armement en faisant exploser les "bombu" une fois pour toutes. Son arche souterraine gérée par un super-ordinateur, autosuffisante pour cinq humains, doit permettre à l'humanité de renaître, après un isolement des radiations de vingt ans. ©Electre 2024

Le jardin dans l'île, c'est celui où Fan, depuis toujours, passe ses jeudis et ses vacances. Un lieu merveilleux, où l'attend une grand-mère de conte de fées "ronde, vive, aux joues fraîches et rosées qui sentent bon l'eau de Bully".

Le voyage d'un jeune homme attentif, calme et objectif, qui contemple ce qu'un voyage en solitaire sur les chemins de Grèce dans les années 1950 lui met sous les yeux, raconté comme un journal de bord. On croise des personnages passionnants : un ermite, une vieux moine... Comment réfléchir sur la solitude, la société, l'exil.

Les déboires d'une famille préhistorique ordinaire. Edouard, le père, qui apprend à domestiquer le feu ; Mathilde, la mère, qui invente le barbecue ; Vania l'oncle rabat-joie qui ne jure que par le passé et enfin Ernest à la fois le fils et le narrateur que tout le monde prend pour l'idiot du village.

Six nouvelles et cinq auteurs représentatifs de la littérature arabe contemporaine, dont le plus connu est Naguib Mahfouz, prix Nobel de littérature en 1988.

Voici venus les temps où les peuples respirent. Torak est mort, le dieu-dragon, l'Enfant des Ténèbres, et ma menace cosmique paraît conjurée. Tout est calme en tous lieux dans les royaumes du Ponant. Pourtant la Prophétie des Ténèbres est bien gravée dans les mémoires : une parole, ça ne peut pas mourir. Et le vieux Gorim, dans sa grotte, entend gémir et gronder la terre : une pierre maléfique s'est réveillée à l'autre bout du monde. Le culte de l'Ours aurait-il encore, contre toute attente, des adeptes secrets ? Ca et là, on complote, on assassine, on repère les enfants marqués par le destin. Déjà la guerre s'allume dans les Etats du Sud. Puis une nuit, la Voix parle à Garion...

Un jeune Noir, élevé par un Père Blanc a pris, à l'instar de son maître, l'habitude de tenir un journal. Dès lors, il enregistre tout ce qui se passe dans le milieu des colons où, malgré lui, à la mort du Père Blanc, il est devenu le "boy" de l'administrateur des colonies de l'endroit.

L'Orbe est aux mains du voleur. Garion doit récupérer la pierre où palpite la vie. Le sort des royaumes du Ponant en dépend. Mais le lendemain matin, verront-ils le soleil se lever ?