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Une mère inconnue qui ressemble à Liz Taylor, un père tendrement aimé qui se prend pour Musset, un amant marié qui joue avec un revolver, un autre qui apparaît le jour de la mort de Beckett, des amies en Allemagne, en Corse, en Angleterre, dont parfois le souvenir a presque disparu, et un Je tantôt féminin, tantôt masculin, vulnérable ou assassin, apparaissent tour à tour, comme on abat des cartes, dans ce nouveau jeu d'Anne Serre placé sous le signe de Lewis Carroll. Un autoportrait en trente-trois facettes.
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C'est par hasard, à la faveur d'un documentaire, que Jeanne découvre Jack Preger : un homme hors du commun, fermier au pays de Galles devenu médecin sur le tard. Il arpente les bidonvilles de Calcutta et soigne sans relâche les plus démunis. La jeune femme part alors en Inde, décidée à écrire un livre avec lui. Mais le vieil homme n'a aucune envie de se confier. Pendant ce temps, en France, sa mère se bat de toutes ses forces contre la maladie. Pourquoi Jeanne éprouve-t-elle le besoin de partir si loin précisément à ce moment-là ? Que cherche-t-elle à travers Jack ? Au fil du voyage, des liens invisibles se tissent peu à peu entre les trois personnages, chacun réparant quelque chose chez l'autre, avec ses manques, ses blessures et sa part de lumière.
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Au revers de la nuit Cécile Balavoine Au revers de la nuit Une silhouette avait fait son entrée. Mais je ne distinguais réellement qu'un long manteau croisé de couleur brune, surmonté d'un chapeau de gangster, borsalino, peut-être Fedora. C'était en tout cas une vision. Au moment précis où j'allais détourner la tête, la silhouette avait relevé la sienne, et un regard d'une intensité sombre m'avait pour ainsi dire empoignée, deux onyx surmontés d'une hirondelle en vol, c'était le regard d'un homme jeune, et même d'un jeune homme de mon âge. États-Unis, hiver 1996 : Cécile croise Sasha dans un train. Elle enseigne le français dans le Minnesota ; lui rentre à New York, où il veut ouvrir un café. Tous les deux ont vingt-trois ans. Mais Sasha ne ressemble pas aux jeunes gens de son âge : il a l'air tout droit sorti des années 30 ! Une semaine plus tard, Cécile est à New York : ils se revoient, se rapprochent… Quelque vingt ans plus tard, alors qu'elle a tourné depuis longtemps la page de sa vie américaine, Cécile découvre que Sasha est devenu un virtuose des cocktails et une figure de la nuit new-yorkaise. Creusant le sillon de l'autofiction, Cécile Balavoine évoque avec beaucoup de sensibilité le souvenir d'un amour de jeunesse. Elle rend à Sasha un bel hommage et fait aussi un étonnant portrait du New York des années 2000, ville de tous les possibles.
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Moissons 2015, au cœur de la Beauce. Yanis, dix-sept ans, est de retour dans la ferme fortifée des Maupu, où il a séjourné quelques étés, petit. L'adolescent métis fait tache dans le décor : il vient des cités de Dreux, il a les cheveux longs et c'est un élève brillant. Il fait peur aussi. Que veut-il ? Venger sa mère, Soraya, longtemps en confit avec les Maupu ? Demander réparation pour lui-même ? Le patriarche le rejette, les fils et les brus cachent à peine leur mépris. Suzanne, la femme du patriarche, fait exception, heureuse de retrouver dans les traits du jeune homme ceux de son fils mort à moto. Pourtant, ce n'est pas vers elle que Yanis se tourne mais vers un saisonnier américain, comme lui orphelin, dont il tombe amoureux. Le fils errant donne à entendre la voix émouvante d'un être en devenir, qui se débat avec ses origines et, par ses questions, par l'urgence de son désir, ébranle un monde archaïque.
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Une vieille femme écrivain, donnée pour mourante, laisse un manuscrit inédit et désordonné avec des pages manquantes. Venus pour la filmer, un réalisateur, un cameraman et une scripte vont s'acharner à le reconstituer. Mais la vieille dame auteur n'est pas seule : il y a auprès d'elle la jeune femme qu'elle fut, un étrange personnage qui fut son père, un garçon à bonnet rouge qui fut son compagnon d'été, un certain Hans qui ne prononce jamais qu'une seule phrase... À son habitude, Anne Serre livre ici un roman plein de chausse-trappes, aux allures de conte, sur l'enfance mystérieuse et l'écriture à l'œuvre. Chez elle, comme le disait W. G. Sebald de Robert Walser : "Le narrateur ne sait jamais très bien s'il se trouve au milieu d'une rue ou au milieu d'une phrase." Auteur d'une quinzaine de roman, dont "Les débutants", "Petite table, sois mise !" ou "Voyage avec Vila-Matas", Anne Serre est aujourd'hui traduite en Espagne, en Angleterre et aux États-Unis où l'un de ses livres a figuré dans la dernière sélection du Best Translated Book Awards 2019. Son recueil "Au cœur d'un été tout en or" a été couronné par le prix Goncourt de la nouvelle en 2020.
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"Elle se dirige d'un pas lent mais résolu vers l'océan Pacifique. Elle n'a ni canne à pêche, ni planche de surf et elle ne porte pas de combinaison. Dans l'une des maisons qui bordent la plage, un homme âgé se lève et regarde par la fenêtre, comme chaque matin, très tôt. Il remarque alors cette jeune femme seule, en vêtements de ville, qui avance avec détermination vers les rouleaux. Il y a quelque chose qui cloche… Alors il décroche le téléphone et appelle la police." Après le drame qui, quelques années plus tôt, avait fait éclater sa famille, Karina a désespérément cherché un ancrage. Indienne par sa mère, américaine par son père, elle ne se sentait plus à sa place nulle part. Jusqu'au jour de sa rencontre avec Micah, si solide, si rassurant, à la tête du « Sanctuaire », une petite communauté hippie si chaleureuse. Et Karina n'a pas compris les techniques aussitôt utilisées sur elle et bien connues dans le monde des sectes : les gestes d'amour, puis peu à peu d'isolation sociale, le fait de la démolir pour ensuite la remettre sur pied… Une fois que le piège s'est refermé sur elle, peut-elle espérer en sortir ?
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«Les saintes de Zurbarán, ces femmes parées, presque fardées, qui acceptaient extatiques la violence des bourreaux, je les avais aimées, et j'avais désormais envie de lacérer leur image, leur visage si lisse et si tendre. Désormais j'avais soif de suppliciés, de brûlés vifs, de langues coupées, de jambes brisées, de membres détachés et semés aux quatre vents. Quel mérite y avait-il à affronter le mal si tout était désincarné ? Dans l'horreur qui nous avait saisis le 11 mars, nous avions hurlé, pleuré, tremblé, supplié et gémi. Depuis Atocha, j'avais le sentiment que personne ne pourrait plus jamais rien pour moi.» 11 mars 2004 : attentats dans quatre trains de la banlieue de Madrid. Restauratrice de tableaux, Alice sort indemne mais choquée de la catastrophe qui fait près de 200 morts et des milliers de blessés. Après le drame, elle n'est plus la même : elle qui aimait tant raviver la beauté des toiles de Zurbarán trouve désormais son travail dérisoire. Même sa relation amoureuse avec Angel, chef-cuisinier venu de Colombie, est remise en cause. Loin des siens, seule avec sa blessure intime, elle vit les affres de la culpabilité des «survivants» : elle doit rentrer en France. Mais comment faire quand on est incapable de sortir, incapable de prendre un avion ou un train? Sobre et sensible, Sarah Manigne cerne au plus près le malaise d'une victime et questionne la représentation picturale de la douleur. Jusqu'à quel point l'art console-t-il?
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« L'insaisissable m'a donné la clef du monde. » De sable et de neige, ou l'art de vivre l'instant. Une splendide fresque pour célébrer la beauté des choses et la puissance de leur silence, de la Grande Dune d'Arcachon et la lumière du Cap Ferret jusqu'à la ville de Kyoto sous la neige, un 31 décembre. Les vagues venant rythmer le récit, comme si l'océan était le résumé de la vie, avec sa dimension tragique, inséparable du sentiment de joie et d'harmonie qu'il sait donner. Chantal Thomas poursuit ici son voyage dans l'intimité de la mémoire, à travers une langue d'élégance et de grâce, pour exprimer les sensations les plus fugitives et les plus essentielles dont nous sommes tissés. Et pour dire le lien d'amour entre une fille et son père : sa force d'absolu.
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Mères de famille comparant les mérites de leurs nounous respectives ; parents ouverts à la mixité sociale mais ayant fait le choix de l'enseignement catholique pour leur progéniture ; jeune épouse ne sachant pas comment parler à sa femme de ménage ; trentenaire dévouée à la carrière de son mari redoutant le désœuvrement… Les personnages de femmes peuplant le recueil d'Astrid Eliard ont en commun d'appartenir à une même classe sociale, la bourgeoisie. Néo-bobos d'aujourd'hui, de vieille tradition française, ou parvenues récentes, tour à tour ridicules ou attachantes. Renouant avec le ton doux-amer de son premier recueil de nouvelles, Nuits de noces, Astrid Éliard croque ses personnages avec une tendre ironie, souligne leurs tics sans jamais les juger et propose une galerie de portraits hauts en couleurs.
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Il est des enfances dont l'on n'oserait rêver, comme celle de Shiro Sato. Grandir à Osaka dans l'intimité d'une mère dont les talents de couturière, experte en l'art des corsets, sont la cause d'un incessant ballet de femmes venues essayer leurs somptueux articles, l'expérience, il est vrai, a de quoi fasciner un jeune garçon à l'imagination débordante. Initié à son tour à l'art des couleurs, de la coupe et de la broderie, il sera un élève brillant. Mais, à côtoyer tous les jours des femmes à demi-nues, il découvrira que, pour chaque homme, le plus difficile est encore d'apprendre à maîtriser ses désirs. Et cela d'autant plus que, dans le Japon des traditions millénaires, le raffinement et la cruauté voyagent souvent de concert… Avec ce roman, Roland Brival nous transporte dans un Japon aux multiples facettes. Où l'harmonie de la nature et la sérénité des temples zen côtoient un monde d'un érotisme vertigineux. Auteur d'une quinzaine de romans, Roland Brival est également musicien et plasticien.
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De retour dans son village de Cornouailles après s'être illustré pendant la Première Guerre mondiale, Daniel Branwell est accueilli froidement. Son statut de héros de guerre lui vaut l'inimitié de plusieurs jeunes hommes de son âge, et en tant que dernier représentant de sa famille, il ne bénéficie d'aucun soutien. Dans cette atmosphère pesante, il lui faut garder un terrible secret. ©Electre 2015
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À l'heure du déjeuner, en voyant la queue devant le mess des officiers, le lieutenant Kurt Neumann décida d'aller fumer une cigarette et d'attendre un peu. Il était sur le point d'en allumer une quand il vit quelque chose et s'immobilisa, la flamme de son briquet agitée par la brise. Une jeune fille pâle et très mince, aux cheveux blonds doré relevés en chignon, venait d'apparaître entre deux bâtiments administratifs, l'air un peu perdue. Ce qui le frappa le plus, ce furent ses yeux. Ils étaient immenses, couleur de la mer à Rozel Bay, avec le regard effrayé d'un petit animal et aussi une lueur de défi. Pour lui, c'est aussitôt le coup de foudre. Pour elle, ce sera un peu plus long. Mais il s'agit d'un amour impossible, interdit. Kurt est officier de la Wehrmacht et appartient aux troupes qui occupent les îles anglo-normandes depuis juin 1940. Et Hedy Bercu, réfugiée venue d'Autriche en 1938 pour fuir l'Anschluss, est juive. D'abord discrète, leur liaison va devenir ultra-secrète quand Hedy, pour échapper à la déportation, doit littéralement disparaître. Elle vivra cachée jusqu'à la fin de la guerre chez Dorothéa Le Brocq, une habitante de Jersey – qui risquait sa vie en l'hébergeant – et sans jamais sortir, avec pour seules et rares visites celles de son amoureux, sur qui la police secrète a de plus en plus de soupçons… Cette histoire est authentique. Et Dorothea Le Brocq a été honorée bien plus tard au titre de Juste parmi les Nations.
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"Ma grand-mère a beau se transformer en personnage de roman, elle a néanmoins traversé les aventures que je lui prête. Les faits sont là. Le reste est en mon pouvoir, je me glisse dans le cœur de Mime qui se soigne avec les mots. Les femmes de ma famille sont infirmières ou institutrices, elles ont foi en l'utilité de leur métier. Éducation et santé : les deux ressources d'un pays qui va de Dunkerque à Tamanrasset." 1925. Dans l'écho joyeux des Années folles, Mime et Marius sont jeunes et amoureux. Ils ont tout pour être heureux. Très vite, Henri vient au monde, puis Simone. Lorsque la petite fille meurt brutalement, le couple est terrassé. La douleur hantera Mime toute son existence. Mais en dépit du chagrin, elle avancera coûte que coûte, traversant les années quarante, les aléas de son mariage, les rêves entrevus, et cette guerre mondiale qui jusqu'en Algérie saccage, épuise, affame. Fresque des années trente aux années cinquante, le roman de Sophie Avon raconte une Algérie lumineuse et l'itinéraire d'une femme forte, figure émouvante d'une mythologie familiale.
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Entre 1804 et 1813, Mme de Rémusat adresse près de 200 lettres à son époux, Auguste de Rémusat, un proche de Napoléon qu'il suit dans ses voyages et campagnes. Elle lui décrit son quotidien, ses lectures, les festivités auxquelles elle assiste. Elle évoque la vie à la cour mais se confesse également à propos de sujets plus intimes. Avec, en fin d'ouvrage, un dictionnaire des noms propres.
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Paul a 19 ans et s'ennuie un peu cet été-là, le dernier avant son départ à l'université. Petite ville, petite bourgeoisie, petites distractions. Au club de tennis local, il rencontre Susan – 45 ans, mariée, deux grandes filles – avec qui il va disputer des parties en double. Susan est belle, charmante, chaleureuse. Il n'en faut pas davantage pour les rapprocher… La passion ? Non : l'amour, le vrai, total et absolu. Les amants le vivront d'abord en cachette. Mais bientôt, le mari de Susan – une brute qui la bat – lui casse la mâchoire. Les amants s'enfuient et partent vivre à Londres : Susan a un peu d'argent, Paul doit continuer ses études de droit. Le bonheur ? Oui. Enfin presque, car de nombreux obstacles l'en empêchent… Peu à peu, Paul va découvrir que Susan a un problème, qu'elle a soigneusement dissimulé jusque-là : elle est alcoolique. Il l'aime, il ne veut pas la laisser seule avec ses démons. Il va tout tenter pour la sauver et combattre avec elle ce fléau. Mais lui, alors ? Sa jeunesse, les années qui passent et qui auraient dû être joyeuses, insouciantes ? Il a 30 ans, puis 31, puis 32. Un jour, Paul s'en va. Il tentera d'avoir une autre vie… Mais peut-être n'a-t-on qu'une seule vraie histoire d'amour dans toute sa vie – qui restera la plus belle, même si elle finit si mal. Une histoire déchirante et des personnages terriblement attachants : Julian Barnes est au sommet de son art.
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Le photographe ne voyait que la mère qui lavait ses cheveux rouges puis les nattait sous l'œil de verre qui suivait ses bras nus levés haut pour fixer la masse de tresses au sommet du crâne. Clic clac malgré les regards désapprobateurs des voisins. Ne voyait qu'elle et ses cheveux mélangés à l'argile rouge. La boîte noire retombée sur la poitrine de l'homme, la mère n'aurait pas dû sourire mais rentrer chez elle, refermer sa porte, dérouler sa natte. Après le passage d'un photographe occidental, la femme aux cheveux rouges disparaît brutalement de la palmeraie où elle vivait, laissant derrière elle ses deux enfants bouleversés. Le mari et les enfants suivront les traces de la mère de ville en ville, et la retrouveront des mois plus tard sur les murs de Séville, devenue top model célèbre grâce au photographe. Ascension rapide suivie d'une chute brutale : l'engouement de l'Occident pour l'étrangère est de courte durée ; les mannequins noirs ne sont plus à la mode, remplacés par les Slaves éthérées... Misère et maladie rattrapent la reine d'hier. Avec son incroyable talent de romancière, Vénus Khoury-Ghata nous entraîne dans les rues et les faubourgs de Séville, et livre un roman tragique et drôle sur l'exil, la famille et la condition des migrants.
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En cette soirée de septembre, Lucilla attendait l'arrivée de David et elle alla se regarder dans la glace. Il lui disait souvent qu'elle était belle et qu'il l'aimait. "Je ne sais pas au juste de qui tu as l'air", dit-elle à la vieille dame dans le miroir, "mais ce qui importe, c'est que tu lui plaises". Quelques minutes plus tard, il entra dans la pièce. "Vas-tu bien, grand-mère ?" "Très bien, David, vas-tu bien ?" Depuis de nombreuses années, ils échangeaient toujours la même salutation quand il rentrait à la maison. La réponse avait toujours été affirmative et satisfaisante. Mais cette fois-ci, avec une soudaine panique, Lucilla sut que David n'allait pas bien. Quelque chose était arrivé. Le domaine enchanté, premier volume d'une trilogie, nous plonge dans l'histoire de la famille Eliot, peu de temps avant la Deuxième Guerre mondiale. Au centre, il y a Lucilla, 80 ans, très belle, impérieuse, qui règne sur ses enfants et petits-enfants, depuis sa belle propriété à la campagne. Le divorce d'un de ses fils va perturber l'équilibre familial, d'autant plus que le petit-fils préféré de Lucilla, jeune acteur à succès, tombe amoureux de son ex-tante, guère plus âgée que lui, et veut l'épouser. Pour tenter de ramener les 'coupables' à la raison, Lucilla va devoir lever le voile sur son propre passé, qui n'est pas tout à fait celui que l'on croyait.
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Mai 1968. La révolte gronde partout en France. Notamment à Lyon où se tient, ce 24 mai 1968, une grande manifestation qui va mal tourner. Après les jets de pavés, les bombes lacrymogènes et les slogans de toute sorte, le rassemblement dégénère. Une camionnette fonce sur les forces de l'ordre et percute le commissaire Lacroix, qui mourra à l'hôpital. C'est le premier mort de Mai 68. La tragédie sonne un tournant pour le mouvement révolutionnaire. Pour Mila et Théo, venus manifester ce jour-là, c'est le début d'une autre histoire…
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Laure avait des mots d'amour mais pas les preuves : Vincent n'évoquait jamais de date pour une prochaine rencontre. Et ce décalage entre les paroles et les actes la perturbait. Les messages maintenaient un lien entre eux, mais ils rendaient aussi la distance plus palpable et transformaient Vincent en une divinité inaccessible. Laure est tombée amoureuse de Vincent en discutant avec lui sur Facebook. Depuis des mois, ils échangent aussi des SMS à longueur de journée. Elle sait tout de lui, de ses goûts, de ses habitudes mais tout reste virtuel. Si Vincent tarde à lui répondre, l'imagination de Laure prend le pouvoir et remplit le vide, elle s'inquiète, s'agace, glisse de l'incertitude à l'obsession. Quand une rencontre réelle se profile, Laure est fébrile : est-ce le début d'une histoire d'amour ou bien une illusion qui se brise? Subtile analyste du sentiment amoureux, Stéphanie Dupays interroge notre époque et les nouvelles manières d'aimer et signe aussi un roman d'amour intemporel sur l'éveil du désir, l'attente, le doute, le ravissement.
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