Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Vues de Paris et de ses monuments par le peintre, frère de Raoul Dufy, dans un portfolio de cartes détachables.

Une première partie décrit les étapes de l'histoire du surréalisme. Une seconde présente techniques et oeuvres autour de ses trois valeurs fondamentales : poésie, amour, liberté. Une troisième recense un certain nombre de lieux tenus pour magiques.

Propose l'histoire du western au cinéma, presque indissociable de l'histoire du cinéma américain. Présente dix-neuf films représentatifs, ainsi que les réalisateurs, acteurs, techniciens qui ont compté dans l'histoire de ce genre. Avec une riche iconographie.

A travers cette histoire culturelle du corps, c'est tout un système de codes et d'esthétique que l'auteur décrit. Il explore tous les aspects de ce corps qui n'est qu'un des multiples composants de ce monde peuplé de divinités et qui doit être sans cesse préservé de la souillure. Des geishas du XVIIIe siècle à Issey Miyake, l'ouvrage explore ce corps japonais sous toutes ses facettes.

Traite successivement des héritages, de l'an mil en Espagne du point de vue historique, politique et social au temps du califat de Cordoue, avant de se consacrer à l'art de cour dans le cadre palatin du califat et des royaumes des Taifas : architecture, poésie et musique andalouses, rayonnement des sciences géométriques et mathématiques.

La figure de Léonard, sa trajectoire hors du parcours habituel aux artistes de son temps, l'éclat de son oeuvre scientifique, d'urbaniste, d'écrivain, d'ingénieur, de dessinateur, de sculpteur, de peintre enfin, tout contribue à faire de lui un sujet qui intimide. Si les études partielles abondent, rares sont ceux qui ont cherché à saisir et restituer Léonard dans sa totalité. Daniel Arasse a relevé cette gageure. Dans la première partie de son livre, il trace un portrait de l'artiste en philosophe, analysant la culture de Léonard, son mode de pensée, sa vision du monde. Il décrit ensuite comment, tout en établissant un rapport nouveau, moderne, entre artiste et commanditaire, Léonard a fait oeuvre d'artiste de cour, dans ses projets d'urbanisme, ses machines, ses installations éphémères pour les fêtes et le théâtre. La seconde partie est consacrée aux dessins, à la peinture, de L'Adoration des Mages à La Cène, en passant par les célèbres portraits de Léonard de Vinci.

Quand le jardin occupe la représentation picturale, c'est comme motif ornemental : fond du portraitiste ou du peintre d'histoire, fenêtre évocatrice ou pure allégorie. Dans ces décors parcellaires, le jardin raconte l'histoire de la peinture autant que l'évolution des formes symboliques et des systèmes de représentation. On peut contempler dans l'oeuvre peinte l'invention permanente de l'éden.

Ouvrage sur l'évolution de la photographie de rue. Du début du XXe siècle jusqu'en 1968, Paris a vu son atmosphère et son caractère se transformer : fin de la percée des grands boulevards et de la destruction des vieux quartiers médiévaux, les deux guerres mondiales, l'Occupation, la Libération, les manifestations de mai 68. Illustré par de célèbres photographes : Cartier-Bresson, Doisneau...

De Cimabue à Tiepolo ou Canova, un panorama de l'aventure de la peinture italienne qui a dominé l'Europe du XIVe au XVIIIe siècle. De courts chapitres monographiques sont consacrés aux génies artistiques de la Péninsule, illustrés par leurs créations majeures en très grand format.