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Tome :
3
Dans ce troisième volet, l'auteur poursuit sa restitution sociale et littéraire de la France d'après 1968, époque à laquelle la mort du roman et du narrateur dans la littérature lui évoque celle, brutale, de son père.
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Tome :
2
Deuxième volet de l'autobiographie poétique qui à l'occasion de la mort d'un proche, remonte vers l'enfance et l'adolescence. Comme le disparu est ce même cousin qui a offert à l'auteur sa première guitare, ce dernier en profite pour tendre l'oreille vers les lointains de sa jeunesse.
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Tome :
1
Cet essai a pour projet de restituer la vie de la société française dans la deuxième moitié du XXe siècle à travers l'itinéraire personnel du narrateur, mêlant des faits réels, des anecdotes vécues, des émotions poétiques, littéraires et esthétiques.
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Tome :
5
Dans ce cinquième volet du cycle La vie poétique, l'auteur retrace son expérience de kiosquier, de 1983 à 1990. Alors apprenti écrivain, il voit défiler une foule de personnages : le gérant du dépôt, un anarcho-syndicaliste, un peintre maudit, un oracle autoproclamé, un rescapé de la Shoah. Tous ces personnages inspirent et inquiètent l'écrivain débutant de 36 ans à l'ambition encore obscure. ©Electre 2020
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Tome :
6
«  Comédie d'automne constitue le sixième et dernier épisode de «  La vie poétique  ». Je travaillais au kiosque quand «  le tournant de la rigueur  » nous a précipités dans une course à l'argent. Parmi les habitués se trouvait un homme d'une soixantaine d'années, Albert, dont j'appris au fil du temps qu'il était rentier, d'où son intérêt pour la seconde édition du Monde et des cours de la bourse. Spécialiste de Stendhal, il sera mon premier lecteur, et un conseiller avisé. Il est un des trois personnages centraux du livre. Avec ma mère qui ne vit pas d'un bon œil la parution des Champs d'honneur, et encore moins l'attribution à son fils du prix Goncourt. Ce qui nous amène à cette «  comédie d'automne  ». On pourrait croire que le prix récompense le seul mérite d'un livre. Ô naïveté, les arcanes de l'édition ne fonctionnent pas sur des critères aussi élémentaires. C'est oublier les intérêts économiques, les rivalités, les ambitions, de sorte que les jurés du prix, dont la probité aux yeux de la presse était sujette à caution, furent très contents de pouvoir l'attribuer à un innocent n'ayant rien à voir avec le milieu, qui plus est auteur d'un livre paru aux très austères et vertueuses Éditions de Minuit. L'entreprise de blanchiment était parfaite. Le troisième personnage crucial, car c'est par lui que le livre existe, c'est l'éditeur. Moins détaché qu'il n'y paraît. Et le narrateur  ? Tout d'abord spectateur, venant d'une époque où ce genre de prix était discrédité, il assiste depuis son kiosque à cet étrange ballet de journalistes, de curieux, de rumeurs, de caméras de télévision, sans se sentir vraiment concerné. Le moment venu, ce ne sera pas aussi simple. Mais c'est bien grâce à ce livre qu'il fit la connaissance de deux hommes merveilleux  : Bernard Rapp et Robert Doisneau. Ensuite, ce n'est plus la même histoire.  »J.R.
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