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Tome :
2
Deuxième volume d'une trilogie composée de pensées concernant trois thématiques : l'errance physique ou psychologique, le passé, la perdition.
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Tome :
3
Dernier volet d'une trilogie composée de pensées concernant trois thématiques : l'errance physique ou psychologique, le passé, la perdition.
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Par désoeuvrement, Jérôme Buisson choisit au hasard des femmes sur l'annuaire électronique du Minitel et leur écrit des lettres signées l'Ombre, qu'il conserve sur son ordinateur. Il se met à écrire de plus en plus et à un peu tout le monde, puis part en repérage. C'est l'escalade. Jusqu'au jour où il est cambriolé, son appartement dévasté et son ordinateur volé... ©Electre 2023
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Tome :
7
Un texte qui évoque ceux qui tombent et se relèvent, qui, comme l’auteur, sont atteints de dépression nerveuse, ce que les psychanalystes appellent dépression originaire et qui demande de repasser par la case départ.
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Tome :
1
Premier volume d'une trilogie composée de pensées concernant trois thématiques : l'errance physique ou psychologique, le passé, la perdition. A la fois raisonnement philosophique et recueil d'aphorismes, l'oeuvre composite à la trame romanesque mêle réflexions sur des personnages et des lieux fictifs ou ayant existé, précisions littéraires ou historiques, impressions personnelles, etc.
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Pour se détacher de l'ombre immense de son illustre père et pour le rendre plus humain, son fils, François-Xavier, va partir à la découverte de la vie sentimentale du grand Mozart, dessinant, à travers les confidences de son entourage, le portrait d'un être finalement très proche
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« Je ne sais pas s'il existe une femme parfaite. Mais je sais ce qu'un amour parfait veut dire. »
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A la mort de leur mère, Gilles et Sophie Harper ont hérité de la maison située dans un beau quartier sur les hauteurs de la ville et dont le seul attrait était le grand terrain remontant derrière en forte pente. Sophie, partie très jeune, s'est laissée piéger par son frère en revenant vivre avec sa fille Carole dans ces lieux détestés pour rapidement, pensait-elle, liquider la succession et accéder enfin à une forme de sécurité matérielle. Elle veut vendre. Gilles, célibataire ayant toujours vécu là avec sa mère, s'y oppose et finit par consentir à la vente de la partie supérieure du terrain aux Bormann qui y font construire une imposante maison d´architecte et chargent Jonas Raasch de la réalisation du jardin. Le seul arbre que ce dernier ait pu sauvegarder est un tilleul, dressé à mi-pente, à la jonction des deux parcelles juste au-dessus du nouveau mur de soutènement. Sur un malententu sans importance à propos de cet arbre, Raasch et Sophie se rencontrent et s´éprennent l´un de l´autre, tandis que Gilles s´agrippe toujours à son vieux rêve de la sacro-sainte famille : vivre en couple avec sa soeur et l´enfant qu´il adore, Carole, sa nièce, désormais absente depuis son départ volontaire en pension un an auparavant. Dans une langue impitoyable et incarnée, Hélène Lenoir dresse le portrait subtil et angoissant d'une soeur qui distend les liens familiaux pour devenir une femme enfin libre.
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« Je rencontrais une écriture qui crevait la surface protectrice de la vie pour toucher l'âme, le corps qui souffre ce qu'un être humain ne doit pas souffrir. Les mots peuvent dire ce qu'il est à peine supportable de voir, et de concevoir. Et ils peuvent ramener l'amour que Charlotte Delbo avait eu pour toutes celles, ceux qu'elle avait vu souffrir. La lucidité, la capacité de dire et d'écrire était là. Une langue pouvait rendre ce qui avait eu lieu. Le trou que faisait dans notre humanité la catastrophe d'Auschwitz, un écrivain me donnait le moyen de le raccommoder avec une œuvre qui en faisait le récit. Elle avait cherché la beauté de la langue dans le terrible des mots ciselés en arrêtes coupantes. Elle les disait avec la douceur qui prend quand l'au-delà de la douleur est atteint.Elle l'écrivait des années plus tard, ouvrait les images restées, elle interrogeait avec liberté les souvenirs au moment où elle les écrivait, elle découvrait la vie retrouvée ». G. D.collection littéraire dirigée par Martine Saada
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C'était en janvier 2003.Dans notre boîte aux lettres, au milieu des traditionnelles cartes de voeux, se trouvait une carte postale étrange.Elle n'était pas signée, l'auteur avait voulu rester anonyme.L'Opéra Garnier d'un côté, et de l'autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942.Vingt ans plus tard, j'ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale. J'ai mené l'enquête, avec l'aide de ma mère. En explorant toutes les hypothèses qui s'ouvraient à moi. Avec l'aide d'un détective privé, d'un criminologue, j'ai interrogé les habitants du village où ma famille a été arrêtée, j'ai remué ciel et terre. Et j'y suis arrivée.Cette enquête m'a menée cent ans en arrière. J'ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre.J'ai essayé de comprendre comment ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. J'ai dû m'imprégner de l'histoire de mes ancêtres, comme je l'avais fait avec ma sœur Claire pour mon livre précédent, Gabriële.Ce livre est à la fois une enquête, le roman de mes ancêtres, et une quête initiatique sur la signification du mot « Juif » dans une vie laïque.
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«  Sans les mauvaises filles, les époques n'avancent pas. Elles sont des pionnières, nécessaires à la marche du monde.  »Loin, à l'ouest est l'histoire de quatre mauvaises filles. Georges, que sa mère a prénommée ainsi pour qu'elle ait «  une vie d'homme  », Lucie, sa belle-fille, qu'elle a haïe puis aimée, Solange, sa petite-fille à la beauté singulière, et puis son arrière petite-fille, Octavie, qui tente aujourd'hui de résoudre le «  mystère Georges  » à l'aide d'Internet.On y croise aussi Louise Michel, et Calamity Jane.Avec elles, on traverse plus d'un siècle du point de vue des femmes.Ces femmes gigognes disent quelque chose de l'existence corsetée qu'on a cherché à leur imposer et du goût de l'imaginaire, seul capable de les sauver. Quel est le poids d'un prénom, d'un nom, d'une famille, d'un livre, sur un destin  ? Que choisit-on, que réécrit-on  ? A-t-on le droit le réinventer sa vie  ?Raconter leur histoire, leur part de vérité et de réinvention, c'est faire un éloge du mensonge, parce qu'il rend la vie plus belle, et que parfois, il préserve de l'oubli. C'est ériger la fiction en reine, parce qu'elle permet à chacun de faire le récit de sa vie.Ce livre, cette saga, est avant tout une célébration de l'imaginaire.
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Une femme qu'il faut juste accueillir dans un appartement loué pour un mois, un petit groupe de réfugiés croisé sur une route de campagne près de la frontière, un vieil homme et sa jeune visiteuse riant doucement un soir d'été sur un balcon voisin, un couple de clients pas comme les autres… ils ne font que passer. Leur charme souvent inquiétant attire, blesse, séduit et déjà ils repartent, emportant leur mystère. La plupart sans se retourner. Mais ceux qui restent sentent tôt ou tard que leur bouleversante apparition les a fait pivoter sur eux-mêmes, les orientant vers un cap jusqu'alors insoupçonné ou tout simplement ignoré. Troisième recueil de nouvelles de l'écrivain, Demi-tour est constitué de sept nouvelles dans lequel elle rompt avec le thème de la famille, son terrain d'exploration favori. Chacune de ces nouvelles décrit un moment important qui, sur un laps de temps très court, va amener le personnage à reconsidérer sa vie...
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Tome :
10
"Qu'est-ce que je cherche, tome après tome, dans Dernier Royaume ? Une autre façon de penser à la limite du rêve. Une façon de s'attacher au plus près de la lettre, à la fragmentation de la langue écrite, et d'avancer en décomposant les images des rêves, en désordonnant les formes verbales, en exhumant les textes sources. Quelle étrange falsification a lieu dans le rêve ? Dans le dessin qui naît sous les doigts ? Dans le langage qui gémit ? Dans la pensée qui hallucine ? Dans la musique même ? Quel est ce mystérieux fantôme ou appelant ?Ce dixième tome de Dernier royaume n'a qu'un sujet : le faux qui fait le fond de l'âme. Le fond de l'âme hallucine. Le langage dédouble ses fantômes. Tous les arts élèvent des mondes faux. Même la dépression est un rêve.L'art dès son origine témoigne activement d'un passé présent : d'un rêve actif qui passe les générations et remanie ce qu'il fait revenir. L'art de la préhistoire est une référence fondamentale pour toutes les populations humaines actuelles. C'est le véritable patrimoine. Ce sont peut-être même les seules traces d'un fond universel qui s'est dispersé avec la curiosité territoriale propre à l'espèce et l'éparpillement des langues qui sont impuissantes à offrir d'aussi saisissantes archives originaires au fond des mots dont elles usent."Pascal Quignard 
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«  Cela ressemblait moins que jamais à une jungle, ou alors une jungle froide, de bois et de boue, avec des animaux crottés, et des monstres de métal au loin, sous le crachin. Pas le genre qui fait rêver, avec les perroquets et les feuilles vertes et grasses, où on transpire dans une odeur d'humus. Une jungle du pauvre. Ici, il n'y avait pas un arbre, pas une feuille, pas de chaleur. Et aujourd'hui, c'était silencieux. Cette jungle qui avait été un chaos où des milliers de personnes vivaient, mangeaient, parlaient, se battaient, était devenue un désert, où ils étaient seuls, tous les six.Six enfants et adolescents dans une ambiance de fin du monde.  »
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Le révérend Simeon Pease Cheney est le premier compositeur moderne à avoir noté tous les chants des oiseaux qu'il avait entendus, au cours de son ministère, venir pépier dans le jardin de sa cure, au cours des années 1860-1880.Il nota jusqu'aux gouttes de l'arrivée d'eau mal fermée dans l'arrosoir sur le pavé de sa cour.Il transcrivit jusqu'au son particulier que faisait le portemanteau du corridor quand le vent s'engouffrait dans les trench-coats et les pèlerines l'hiver.J'ai été ensorcelé par cet étrange presbytère tout à coup devenu sonore, et je me suis mis à être heureux dans ce jardin obsédé par l'amour que cet homme portait à sa femme disparue.
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« Leur désir endormi par l'amour attendait qu'un autre amour le réveille. Ils respiraient doucement le bonheur de pouvoir le retrouver ou y renoncer. -Je suis bien disait Léonora.- Moi aussi je suis bien.Ils s'écoutaient par tous les pores. Ils faisaient le même silence, le même bruit, savouraient chaque seconde de ces longues minutes où il ne se passait rien.- Le Liban... dit-elle à voix très basse.- Quoi le Liban ? demanda-t-il en posant les lèvres sur le bout de son nez. - Rien, rien...je ne sais plus, je ne sais plus Salim, jamais je n'aurais cru. Je t'ai fait mal, tellement. Oui, oui, je t'ai fait mal, ne dis pas non, je sais, je sais mon amour, ne dis rien s'il te plaît, je vais me taire, je te promets, est-ce que je peux t'aimer toute seule sans que tu n'aies rien à faire ? »Dominique Eddé, écrivaine franco-libanaise, vit à Beyrouth. Elle est l'auteure de plusieurs romans parmi lesquels : Pourquoi il fait si sombre ? (le Seuil), Cerf-Volant (L'Arpenteur) et Kamal Jann (Albin Michel), ainsi que d'essais, dont Le crime de Jean Genet (le Seuil) et Edward Said, le roman de sa pensée (La fabrique).
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