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Sur chaque double page, deux images. A gauche, une scène illustrant le début d'une histoire et, à droite, la fin. Le jeune lecteur n'a plus qu'à faire travailler son imagination pour inventer sa propre histoire. La difficulté évolue dans le livre à travers des ambiances plutôt polar, album poétique, fantastique ou horreur.

Il existe une intelligence qui, en étant le relais de l'intention divine, permet d'accéder à la connaissance du réel. Cette insistance de Malebranche sur la convergence entre la théologie et la philosophie, qui affirmait la supériorité de la certitude intellectuelle sur la foi, lui a valu, de ses contemporains, de nombreuses critiques.

25 couvertures de livres imaginaires, d'illustrateurs de renom, sont proposées au jeune lecteur. En s'appuyant sur le titre de chaque livre, le dessin et les quelques lignes des quatrièmes de couverture et extraits de presse proposés, l'enfant démarre son histoire.

Les deux photographes ont eu l'idée de détourner des photos culinaires et ont créé les Minimiams, un micro-univers où se côtoient plusieurs genres photographiques comme le culinaire, le personnage, la macro et le paysage. Dans ce livre, un jardinier passe la tondeuse sur un kiwi, un cantonnier expulse avec une barre à mine des pépins d'une tranche de pastèque, etc.