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Ils sont morts à quelques semaines d'intervalle : le père, sa tante, le grand-père maternel. Mais cette série funèbre semble n'avoir fait en apparence qu'un seul disparu : le narrateur, dont le vide occupe le centre du récit. Prix Goncourt 1990.
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Tome :
3
Dans ce troisième volet, l'auteur poursuit sa restitution sociale et littéraire de la France d'après 1968, époque à laquelle la mort du roman et du narrateur dans la littérature lui évoque celle, brutale, de son père.
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L'histoire d'une rencontre amoureuse entre Daniel, chercheur en physique nucléaire et Mariana, artiste peintre, tous deux dépouillés de leurs biens et de leur passé sentimental, qui se retrouvent dans un face-à-face authentique.
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Tome :
2
Deuxième volet de l'autobiographie poétique qui à l'occasion de la mort d'un proche, remonte vers l'enfance et l'adolescence. Comme le disparu est ce même cousin qui a offert à l'auteur sa première guitare, ce dernier en profite pour tendre l'oreille vers les lointains de sa jeunesse.
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Tome :
1
Cet essai a pour projet de restituer la vie de la société française dans la deuxième moitié du XXe siècle à travers l'itinéraire personnel du narrateur, mêlant des faits réels, des anecdotes vécues, des émotions poétiques, littéraires et esthétiques.
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Avec une érudition teintée d'humour, J. Rouaud revisite les Evangiles dont les images du catéchisme ont accompagné son passé. S'amusant à soulever les voiles du mythe, il rafraîchit les mémoires d'enfance et invite à découvrir, derrière les clichés, une autre manière de dire l'histoire et la géographie.
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Dans L'invention de l'auteur, Jean Rouaud cherche la genèse de cet étrange désir de devenir écrivain, et livre une vision certes subjective, mais qui est l'occasion d'un merveilleux voyage virtuel avec Nils Holgersson, dans un style à nul autre pareil.
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" Illustres ", les hommes que met en scène Jean Rouaud ne le sont évidemment que par antiphrase. Leur vie se déroule à l'ombre de tous les fastes et de toutes les gloires. C'est l'humilité qui, aux yeux du romancier, les grandit. C'est l'invisibilité ordinaire de leur destin personnel et familial qui en fait des figures singulières
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Le narrateur du Monde à peu près ressemble étrangement à Jean Rouaud : myope comme une taupe... Et inconsolable : quand il avait onze ans, un lendemain de Noël, son père est mort brutalement. Du coup, le monde s'est brouillé. Puis les années ont passé, l'adolescent s'est amouraché de la belle Théo et a enfourché son Solex pour atterrir dans les manifs de Mai 68, paumé, démuni, plus tourmenté que jamais. Le voici enfin, le grand roman qu'on attendait sur le printemps rouge : Woody Allen chez les enragés !
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On a bien compris que l'objectif des «  multi-monstres  » (multinationales, Gafa, oligarchie financière) était de nous décérébrer, de squatter par tous les moyens notre esprit pour empêcher l'exercice d'une pensée libre, nous obligeant à regarder le doigt qui pointe la lune, ce qui est le geste de tout dictateur montrant la voie à suivre, de nous rendre dépendant des produits manufacturés, des services et des applications en tout genre, nous dépossédant ainsi de notre savoir-faire qui est leur grand ennemi, un savoir-faire à qui nous devons d'avoir traversé des millénaires, du jardinage à la cuisine en passant par le bricolage, l'art savant de l'aiguille et du tricot et la pratique d'un instrument de musique au lieu qu'on se sature les oreilles de décibels. Reprendre son temps, un temps à soi, reprendre la possession pleine de sa vie. Et pour échapper à l'emprise des «  multi-monstres  », utiliser toutes les armes d'une guérilla économique, montrer un mépris souverain pour leurs colifichets  : «  votre appareil ne nous intéresse pas  », graffite le capitaine Haddock sur un mur. Contre les transports, la proximité des services, contre l'agriculture intensive empoisonneuse, des multitudes de parcelles d'agro-écologie, ce qui sera aussi un moyen de lutter contre l'immense solitude des campagnes et l'encombrement des villes, contre la dépendance, la réappropriation des gestes vitaux, contre les heures abrutissantes au travail, une nouvelle répartition du temps, contre les yeux vissés au portable, le nez au vent, et l'arme fatale contre un système hégémonique vivant de la consommation de viande, le véganisme. Car nous ne sommes pas 7 milliards, mais 80 milliards, à moins de considérer que tout ce bétail qui sert à engraisser nos artères ne respire pas, ne mange pas, ne boit pas, ne défèque pas. Il y a plus de porcs que d'habitants en Bretagne, et quatre-vingt pour cent des terres cultivées dans le monde le sont à usage des élevages, pour lesquels on ne regarde pas à...
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Tome :
5
Dans ce cinquième volet du cycle La vie poétique, l'auteur retrace son expérience de kiosquier, de 1983 à 1990. Alors apprenti écrivain, il voit défiler une foule de personnages : le gérant du dépôt, un anarcho-syndicaliste, un peintre maudit, un oracle autoproclamé, un rescapé de la Shoah. Tous ces personnages inspirent et inquiètent l'écrivain débutant de 36 ans à l'ambition encore obscure. ©Electre 2020
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Quand le ton a monté sur la question du voile et du menu de substitution, il m'a suffi de me retourner pour revoir dans mon enfance ce geste des femmes se couvrant la tête d'un fichu avant de sortir. Nous étions en Loire-Inférieure et la loi de 1905 était suffisamment accommodante pour accorder un jour férié aux fêtes religieuses et servir du poisson le vendredi dans les cantines, et pas seulement celles des écoles libres. Loi de séparation des Églises et de l'État, mais en réalité de l'Eglise catholique et de l'État, les autres faisant de la figuration, et l'Islam n'existant pas puisque les musulmans d'Algérie n'avaient pas le statut de citoyen. De même, il a fallu la tragédie de Charlie pour nous rappeler qu'on avait longtemps débattu avant d'autoriser la représentation des figures sacrées. Ce qui n'allait pas de soi tant le monothéisme se méfiait de l'idolâtrie en souvenir du veau d'or. Les conciliaires réunis à Nicée tranchèrent en faveur de la représentation. C'était en 843. Notre monde envahi d'images vient de là. Ce qui n'en fait pas un modèle universel. 
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«  Les fresques animalières des grottes ornées, miraculeusement préservées, nous disent la cosmologie du paléolithique supérieur  : durant vingt-cinq mille ans, sur un territoire immense, la représentation des grands animaux n'a pas varié. Pour peu qu'on échappe au diktat matérialiste, où un cheval ne peut figurer qu'un cheval, ce bestiaire des grottes apporte une réponse cohérente à l'effroi des hommes qui ne savaient rien sur le jour et la nuit, la course du soleil, la disparition et la réapparition par morceaux de la lune, les éclairs, l'orage, l'arc-en-ciel, la mort dont ils présumaient qu'elle n'était peut-être pas un arrêt. Le cheval, avant qu'on ne le «  domestique  » en le contraignant à tirer de lourdes charges, était la figure du soleil…Nous avons appelé «  évolution  » cette frise qui, partant du singe, conduit par «  désanimalisation  » successive à l'homme triomphant. Le secret des grottes ornées souffle à notre cerveau poétique une tout autre leçon  : et si la «  part animale  » était ce que l'homme avait encore de divin en lui  ?  » J.R. 
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Tome :
6
«  Comédie d'automne constitue le sixième et dernier épisode de «  La vie poétique  ». Je travaillais au kiosque quand «  le tournant de la rigueur  » nous a précipités dans une course à l'argent. Parmi les habitués se trouvait un homme d'une soixantaine d'années, Albert, dont j'appris au fil du temps qu'il était rentier, d'où son intérêt pour la seconde édition du Monde et des cours de la bourse. Spécialiste de Stendhal, il sera mon premier lecteur, et un conseiller avisé. Il est un des trois personnages centraux du livre. Avec ma mère qui ne vit pas d'un bon œil la parution des Champs d'honneur, et encore moins l'attribution à son fils du prix Goncourt. Ce qui nous amène à cette «  comédie d'automne  ». On pourrait croire que le prix récompense le seul mérite d'un livre. Ô naïveté, les arcanes de l'édition ne fonctionnent pas sur des critères aussi élémentaires. C'est oublier les intérêts économiques, les rivalités, les ambitions, de sorte que les jurés du prix, dont la probité aux yeux de la presse était sujette à caution, furent très contents de pouvoir l'attribuer à un innocent n'ayant rien à voir avec le milieu, qui plus est auteur d'un livre paru aux très austères et vertueuses Éditions de Minuit. L'entreprise de blanchiment était parfaite. Le troisième personnage crucial, car c'est par lui que le livre existe, c'est l'éditeur. Moins détaché qu'il n'y paraît. Et le narrateur  ? Tout d'abord spectateur, venant d'une époque où ce genre de prix était discrédité, il assiste depuis son kiosque à cet étrange ballet de journalistes, de curieux, de rumeurs, de caméras de télévision, sans se sentir vraiment concerné. Le moment venu, ce ne sera pas aussi simple. Mais c'est bien grâce à ce livre qu'il fit la connaissance de deux hommes merveilleux  : Bernard Rapp et Robert Doisneau. Ensuite, ce n'est plus la même histoire.  »J.R.
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Adaptation du roman du même titre, prix Goncourt 1990. Dans le pays nantais, les membres d'une famille meurent les uns après les autres. A partir d'indices sur leur vie, les auteurs les font revivre et remontent jusqu'à la Première Guerre mondiale.
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