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Nous sommes à Ceylan, dans les années trente, et chez les Ondaatje la moindre réunion de famille devient rocambolesque. Des grands-parents aux petits-neveux, tous multiplient les folies, et leur bonne humeur n'a d'égale que la gravité des catastrophes qu'ils traversent. À partir d'un carnet de bal, de trois histoires d'amour, des souvenirs d'une grand-mère excentrique, Michael Ondaatje explore le passé de sa famille et compose un récit peuplé de personnages endiablés, sortes de demi-dieux vivant au rythme d'une nature exubérante et déchaînée.

Sri Lanka, années 80. A 33 ans, Anil Tessira revient dans son pays natal. Médecin légiste, employée par la commission des droits de l'homme, elle doit découvrir l'identité des victimes (et des responsables) d'un massacre. Un archéologue fait équipe avec elle. Elle plonge dans un monde étrange où réel et légende semblent mêlés. Prix Médicis étranger 2000.

Ondaatje's novel about love and confusion set at the end of the Second World War follows a small group of shell-shocked characters. In descriptive prose of spectacular beauty, he invents a desert world which is both physical and imaginative. This is one of the few truly great post-war novels' Eileen Battersby, Irish Times

Dans le Londres d'après-guerre, deux adolescents, Nathaniel et Rachel, sont confiés par leurs parents à de mystérieux individus, dont le Papillon de nuit, qui se charge de leur éducation et les entraîne dans un monde interlope, à la limite de la légalité. Bien des années plus tard, Nathaniel fait la lumière sur son enfance et comprend ce qui s'est réellement passé. ©Electre 2019

Quelque part en Italie, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, dans une villa transformée en hôpital militaire, Hana, une jeune infirmière, veille sur son unique patient : un aviateur anglais atrocement brûlé lors d'un accident d'avion dans le Sahara. Deux hommes font irruption dans la villa éventrée par les obus, et chacun tour à tour doit dévoiler son secret. Le plus énigmatique reste celui de ce patient anglais, ivre de morphine, amoureux du désert, qui raconte dans les marges des livres ses propres histoires chimériques.

In “The Cat’s Table, ” Ondaatje seems to lead the reader on a journey through three deeply submerged weeks in his own memory — from the year 1954, when, at age 11, he traveled on the ocean liner Oronsay from Colombo, in what was then Ceylon, to England, a passage that would lead him from his past to his future self. As the novel opens, prominent passengers are granted seats at the captain’s table, but young Michael (nicknamed Mynah) and the two boys he befriends, Cassius (a troublemaker) and Ramadhin (a contemplative asthmatic), are relegated to a table of dubious characters: a mute tailor, a retired ship dismantler, a pianist who has “hit the skids, ” a botanist and a lady who hides pigeons in the pockets of her jacket, and reads thrillers in her deck chair, flinging them overboard when they bore her. It’s the pigeon lady who remarks that theirs is “the cat’s table” since “we’re in the least privileged place.”

Ce roman d'apprentissage relate le voyage du jeune Michael, qui quitte Colombo pour retrouver sa mère en Angleterre. Il embarque sur un paquebot et découvre, pendant les 21 jours de la traversée, l'existence de différentes classes sociales, l'amitié et le désir.