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Nicolas est beau, riche, c'est un Romanov. Mais son nom ne figurera sur aucune liste ni aucun dictionnaire. Grand-duc et colonel de plusieurs régiments, il participe à tous les fastes de la cour impériale, néanmoins il s'ennuie, jusqu'à sa rencontre avec Fanny. Des diamants disparaissent et Nicolas endosse le vol. Pourquoi accepte-t-il le terrible châtiment que lui inflige l'empereur ?

Volontairement partiale et subjective, cette histoire universelle mêle grands épisodes de l'humanité et petits secrets inattendus. Portraits, anecdotes et souvenirs personnels de l'auteur ponctuent l'ouvrage.

Au XVIe siècle, le jeune Jean apprend qu'il est le fils du Connétable de Bourbon et qu'il est recherché par des tueurs à la solde de François Ier, car son père a trahi le roi, son cousin. En fuyant en Espagne, il est capturé par des pirates qui le vendent au Caire, où il devient le protégé du vice-roi. Divers revers de fortune le conduisent en Ethiopie puis sur les côtes indiennes...

Michel de Grèce fait revivre, par la voix du dernier sultan Abdul Hamid II, la bouleversante fin de l'Empire ottoman et les premiers pas de la Turquie moderne. En 1876, Abdul Hamid II succède à son frère Mourad devenu fou. Commence alors le règne le plus long de l'histoire de l'Empire ottoman puisqu'il durera trente-trois ans. L'homme est fascinant, secret et incompris de son peuple. Malgré les fastes somptueux des mille et une nuits, les fêtes inoubliables qu'il offre à l'impératrice Eugénie et à l'empereur Guillaume II, l'Empire est malade et au bord de la banqueroute. Sur fond de trahisons, d'assassinats, de règlement de comptes, de complots, de drames familiaux, navigue un monarque qui n'a plus d'illusions sur la déchéance de son royaume, rongé de l'intérieur et convoité à l'extérieur. Balayé par un coup d'Etat et placé en résidence surveillée, Abdul Hamid a-t-il vraiment mérité les surnoms infamants qu'on lui a attribués : le " grand Saigneur ", " Abdul le damné " et le " Sultan rouge " ?

En ce dimanche 20 mai 1436, alors que le doyen de l'église Saint-Thibault, à Metz, vient d'achever sa messe, une nouvelle ahurissante se répand Jeanne la Pucelle, qui a délivré Orléans, qui a fait sacrer CharlesVII à Reims, ne serait pas morte brûlée par les Anglais à Rouen... Elle vient de réapparaître du côté de Saint-Privat ! Ce n'est peut-être pas elle, mais alors pourquoi cette mascarade à laquelle personne n'oppose de démenti ? Personne non plus ne s'est interrogé, à l'apogée de sa courte gloire, sur ce mystère qui a fait d'une petite paysanne un chef de guerre capable de bouter l'ennemi hors de France. A moins qu'il n'y ait pas eu mystère... mais conjuration

Le dimanche 20 mai 1436, alors que le doyen de l'église Saint-Thiébault à Metz vient d'achever la messe, une nouvelle ahurissante s'ébruite sur le parvis : Jeanne la Pucelle ne serait pas morte brûlée il y a à peine cinq ans par les Anglais à Rouen. Elle vient de réapparaître à côté de Metz. Ses deux frères, Jean et Pierre d'Arc l'ont reconnue et serrée dans leurs bras !