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Née en Iran en 1967, l'auteur vit en France depuis dix ans. Cette romancière qui a étudié l'anthropologie a dû, contre son gré, porter le voile en Iran. Dans ce texte bref issu de son expérience personnelle et d'une enquête, elle donne son avis sur la question du port du voile, en particulier dans le contexte français.
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"Je viens d'ailleurs" raconte par fragments vingt ans de la vie d'une jeune iranienne révoltée par la violence du régime islamique. Entre fiction et témoignage, ce roman donne à voir, à entendre à comprendre l'Iran quotidien.
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Partir coûte que coûte. Désir d'aventure, volonté, rêves et illusions se fracassent sur le réel. Iran, Paris, Istanbul, Dubaï ; la prison, la torture, le viol, la prostitution. Restent la folie et la solitude. Des vies parallèles dans des villes différentes, et une même femme. Deux temps inversés et entrelacés : une épopée échevelée et une psychanalyse avec ses risques et ses dangers, séance par séance. Tout sur le divan : le rapport au père, aux hommes, les traumatismes d'enfance, l'exil, la langue française dont il faut s'emparer pour faire le récit d'une vie, pour se réconcilier avec la vie.
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Suite à un viol collectif, Donya décide de fuir Téhéran. Parallèlement au récit de son parcours chaotique d'émigrée désargentée se mêlent les séances de psychanalyse que l'héroïne entame à son arrivée à Paris.
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Condamné à perpétuité pour un triple meurtre, Rody, orphelin latino de 13 ans, entreprend de raconter son histoire à l'avocate commise d'office qui lui rend visite tous les dimanches pendant quatorze ans. Il évoque son intimité avec Big Daddy, criminel notoire qui l'avait pris sous son aile, en lui transmettant sa haine du monde. Elle tente d'obtenir sa grâce.
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«  Je ne respecte les règles d'aucun romancier  » affirme Chahdortt Djavann. En effet, la voilà qui entre et sort de manière virtuose de son roman, comme si elle franchissait les frontières d'un pays. Narratrice de sa fiction, elle en devient aussi un des personnages.Après «  faute de naissance  », un premier chapitre intime où l'auteur confesse son «  indélicatesse d'être née sans pénis après un frère mort  », elle nous raconte, de Téhéran à Ispahan, le destin de plusieurs femmes qui paient un prix effroyable pour avoir joué autour d'une fontaine, refusé un mariage arrangé en vivant un amour homosexuel, ôté son voile en public ou tenu tête à un mari puissant.Dans le dernier chapitre aux allures de conte, l'auteur traverse l'Europe, l'Arménie et l'Azerbaïdjan et rentre clandestinement dans son Iran natal, au risque d'être arrêtée comme espionne. Elle y retrouve deux cousines, devenues grandes résistantes, qui vont changer le cours de l'Histoire.  Voici le roman le plus atypique, le plus poétique et le plus audacieux de Chahdortt Djavann dont la plume, limpide et puissante, nous surprend et nous transporte.
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Ce roman vrai, puissant à couper le souffle, fait alterner le destin parallèle de deux gamines extraordinairement belles, séparées à l'âge de douze ans, et les témoignages d'outre-tombe de prostituées assassinées, pendues, lapidées en Iran.Leurs voix authentiques, parfois crues et teintées d'humour noir, surprennent, choquent, bousculent préjugés et émotions, bouleversent. Ces femmes sont si vivantes qu'elles resteront à jamais dans notre mémoire. À travers ce voyage au bout de l'enfer des mollahs, on comprend le non-dit de la folie islamiste : la haine de la chair, du corps féminin et du plaisir. L'obsession mâle de la sexualité et la tartufferie de ceux qui célèbrent la mort en criant « Allah Akbar ! » pour mieux lui imputer leurs crimes.Ici, la frontière entre la réalité et la fiction est aussi fine qu'un cheveu de femme. 
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