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Bien qu'Aldous McMartin la surveille et cherche à la neutraliser, Olive part à la recherche des parents disparus de Morton, dont la mère, Mary Nivens, a peint un tableau dans lequel ils sont retenus. Les pouvoirs secrets de M. Nivens représentent une incontestable menace. Electre 2015

Depuis sa naissance, Valentin Torboyaux fait peur à tout le monde. Mais une personne lui résiste encore : le Père Noël qui lui apporte chaque année une paire de chaussettes. Décidé à se venger, Valentin truffe la maison de pièges, faisant fuir ses parents. Mais sa rage va se retourner contre lui.

Le soir d'Halloween, Olive part à la chasse aux friandises avec ses amis Morton et Rutherford. Et à son retour ses parents ont disparu ! La redoutable Annabelle McMartin aurait-elle trouvé un moyen de s'introduire dans la maison des secrets et de voler à Olive ce qu'elle a de plus cher ? Heureusement, trois sorciers lui proposent de l'aider à retrouver ses parents : le célèbre professeur Widdecombe, sa femme Delora et leur neveu, le maladroit Walter.

Quand on est convaincu que la mort peut débouler sans prévenir, on ne passe pas son temps devant la télé. Se laver ou se brosser les dents ne semblent guère d'une importance capitale. Même ce qu'on aimait avant - lire, dessiner, rêvasser - n'est plus vraiment une priorité. Quand on est convaincu que la mort arrive, on est tout le temps sur le qui-vive. Dès qu'on entre dans une pièce, on allume toutes les lumières, même au beau milieu de l'après-midi, en plein mois d'août. On devient habile ; on monte sans peine les marches à reculons. On n'oublie jamais - pas un instant, pas une fraction de seconde -que le pire pourrait se trouver à deux pas. On n'a que deux idées en tête : passer le plus de temps possible avec ceux que l'on aime. Et se cacher. Heureusement, Olive Dunwoody, pour qui l'été s'achevait dans cette situation peu confortable, avait trouvé le moyen idéal de concilier les deux. Chaque matin, alors que ses parents vaquaient à leurs occupations, Olive chaussait la vieille paire de lunettes qui pendait à son cou, au bout d'un ruban. Puis elle quittait sa chambre et, dans le couloir, regardait s'animer les tableaux qui ornaient la vieille maison de Linden Street. L'herbe peinte flottait au gré d'une brise invisible. Les personnages bougeaient, clignaient des yeux, la dévisageaient depuis les toiles. Empoignant le cadre devant sa porte, Olive se glissait dans la surface oscillante, pareille à de la gelée. Elle tombait avec un petit bruit sourd dans le champ embrumé et remontait la colline peinte en courant pour retrouver son ami Morton. Morton avait neuf ans. Et ce, depuis plus longtemps qu'Olive avait onze ans. En fait, il avait déjà neuf ans bien avant la naissance d'Olive. Bien des années plus tôt (ceux qui étaient nés à cette époque étaient désormais vieux), la famille de Morton habitait à côté, dans Linden Street. Les voisins n'avaient pas manqué de le remarquer : la vieille maison de pierre avait quelque chose de louche. Tout comme la famille qui y vivait, les McMartin. Et Morton finit par en savoir trop.

Olive et ses parents ont emménagé dans la maison du vieux McMartin. Mais Morton est toujours prisonnier du monde des tableaux et les trois chats qui gardent la maison refusent d'aider Olive à libérer son ami.

Olive, une fillette de onze ans, emménage dans une grande maison isolée, pleine d'objets bizarres et de peintures étranges. En explorant les pièces, elle fait la connaissance de chats mystérieux à qui elle peut parler, et découvre une paire de lunettes qui va lui permettre d'entrer dans les peintures...