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Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.

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Année de parution :
2004
Pour la première fois, un livre suit à la trace l'expansion portugaise à travers le monde. A partir d'une vingtaine de villes, îles et contrées, Jean-Pierre Péroncel-Hugoz nous conduit de l'histoire à l'actualité, du quotidien à la littérature, et ce dans des lieux attendus comme le Brésil, l'Inde et l'Afrique noire, mais aussi dans plusieurs pays où la touche lusitanienne est moins évidente détroit de Gibraltar, Kenya, Yémen, sultanat d'Oman, Malaisie, Chine.
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Année de parution :
2013
A partir de l'étude des sociétés papoues des Highlands de Nouvelle-Guinée et d'autres sociétés de petite taille à travers le monde, analyse les spécificités des sociétés traditionnelles en matière de rapports des individus à la société et à leur environnement, d'éducation des enfants, de multilinguisme, etc.
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Année de parution :
2013
La crise est omniprésente. Pourtant, ses conséquences idéologiques sont largement ignorées. Depuis près de quarante ans, toutes sortes de mouvements idéologiques et politiques ont vu le jour, ayant en commun de penser, dans des dimensions variables, que l'Occident vit un « déclin » et qu'il est menacé dans son existence même. Une idéologie -L'occidentalisme- s'est ainsi peu à peu imposée comme l'idéologie de la crise. De la crise de la social-démocratie à l'émergence du néoconservatisme, de la flambée des nouvelles droites populistes à l'apparition de l'hédonisme sécuritaire, de l'évolution des mouvements gays ou féministes au détournement de la laïcité, cette idéologie est devenue culturellement hégémonique sans que l'on s'en rende compte. Parsemée de contradictions, se nourrissant des paniques morales des populations de l'Occident face à l'immigration et voyant dans l'islam un danger imminent pour le mode de vie des pays d'Europe notamment, l'idéologie de la crise ne cesse de déterminer nos débats de société et escamote les problèmes politiques et économiques. Dans cet univers du doute et de la peur, les gauches sont menacées de disparition. Elles assistent, impuissantes, au développement du spontanéisme droitier... Leur vieux fonds idéologique n'a plus guère de prise, elles sont au pied du mur, elles doivent se réinventer, en appliquant la leçon de Gramsci, car la guerre culturelle aura bien lieu. GAËL BRUSTIER est chercheur en science politique. Il a publié en 2011 aux éditions Mille et une nuits Voyage au bout de la droite : des paniques morales à la contestation droitière, avec Jean-Philippe Huelin.
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Tome :
2
Année de parution :
2006
Traite des philosophes : Simon, Basilide, Valentin, Carpocrate, Epiphane, Cérinthe, Marc, Nicolas, Amaury de Bène, Cornelisz d'Anvers, Bentivenga de Gubbio, Walter de Hollande, Jean de Brno, Heilwige de Bratislava, Willem Van Hildervissem, Eloi de Pruynstinck, Lorenzo Valla, Marsile Ficin, Erasme, Michel de Montaigne, Marie de Gournay
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Année de parution :
2012
50 illustrations mettant en scène M. Hulot associées à des témoignages de personnalités d'horizons divers sur leur rapport avec les films de Jacques Tati et le personnage de M. Hulot.
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Année de parution :
1997
Comment des députés convoqués pour une assemblée d'Ancien Régime, en l'espace de deux mois, se retrouvent à la tête d'une assemblée d'un tout autre type ? Timothy Tackett a étudié les mémoires et correspondances de ces députés. La lecture de ces textes permet de comprendre les processus à la fois collectif et individuel qui les a transformés en révolutionnaires.
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Année de parution :
2013
Une centaine de vétérans de l'Empire, pour l'essentiel des Français mais aussi des Italiens, des Polonais ou des Espagnols, ont trouvé refuge en Amérique après la défaite de Napoléon et le retour des Bourbonso sur le trône. Ils décident de se lancer dans un pari fou : celui de fonder une colonie dans l'est du Texas.
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Année de parution :
1997
Pour répondre aux incertitudes et aux bouleversements de la fin du XXe siècle, des architectes puisent dans la grande tradition architecturale. Ainsi Allan Greenberg et Jacquelin Robertson aux Etats-Unis, John Simpson et Quinlan Terry au Royaume-Uni, François Spoerry en France, s'appliquent à penser la ville et l'habitation pour nous redonner le sens de la beauté.
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Année de parution :
1993
Après une description de la vie et de l'oeuvre de Klimt, l'auteur évoque le milieu intellectuel viennois en 1900 et retrace les rapports du peintre avec des artistes contemporains (Klinger, Rodin, Hoffmann), des écrivains et critiques d'art, ainsi qu'avec des mécènes et collectionneurs.
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Année de parution :
2010
Paru aux Etats-Unis en 1985, L'auteur explique l'avènement des médias aux Etats-Unis, depuis la place qu'occupe d'abord le livre aux Etats-Unis, puis l'invention du télégraphe et de la photographie, pour arriver à la télévision : média du tout divertissement.
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Année de parution :
2013
Lié à l'exposition du Musée Groeninge de Bruges, cet album présente les oeuvres d'une artiste contemporaine en écho à six chefs-d'oeuvre de Van Eyck, Van der Weyden, Marmion, Memling, Van der Goes... Inspirée depuis toujours par les primitifs flamands, elle a scruté pendant quatre ans les oeuvres de ces maîtres pour y associer son propre regard.
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Année de parution :
2013
Rodin voulait ancrer sa pratique de la sculpture dans la continuité de l'art grec fondateur, parfois revisité par les filtres des copies romaines et de la Renaissance. Reformulant les archétypes de l'Antiquité, allant jusqu'à intégrer par assemblage ses propres figurines à un vase grec, une colonne, une urne., son art fait écho, par la perfection plastique et l'expressivité de ses formes, à l'idéal grec. Les chefs-d'ouvre de l'Antiquité, qui sont arrivés jusqu'à notre époque le plus souvent sous forme de fragments, de sculptures mutilées, trouvent aussi un parallèle formel dans la façon même qu'avait Rodin de travailler : ôtant le superflu pour donner à ses ouvres une puissance brute, essentielle, mutilant ses statues, il usait de l'assemblage, du fragment, de la recomposition, de l'inachevé. Rodin ne se rendit jamais en Grèce, mais collecta quelque 2 500 ouvres ou répliques grecques, en une sorte de Panthéon, son propre musée. Mais il s'agit sans doute là d'une Grèce rêvée, autorisant les percées de l'invisible, de l'inaccessible, de l'indicible.
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Année de parution :
2013
" L'ancien capitalisme construisait, l'hypercapitalisme, lui, détruit : il épuise, il ferme, il licencie. C'est un système suicideur, qui nous rend suicidaire. Pourquoi l'acceptons-nous ? Il nous inflige aujourd'hui sa règle d'inexistence, et nous condamne à un mode de vie suicidaire, parce qu'il nous impose un choix : préférons-nous l'hyperexploitation ou le suicide ? Une vie dépourvue d'existence, ou une mort immédiate? L'ancien capitalisme était libéral, parce qu'à la différence de l'esclavage il laissait toujours le choix entre vivre exploité ou mourir de faim. L'hypercapitalisme, lui, est ultralibéral, parce qu'il nous laisse le choix entre une vie hyperexploitée et l'immolation hyperexploitable. "
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