Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Montre que la création architecturale des vingt-cinq dernières années reste extrêmement hétérogène. Analyse ainsi douze exemples de bâtiments emblématiques dans le monde révélant cette diversité de styles et de constructions. Dégage néanmoins quelques lignes de force qui sous-tendent la création architecturale contemporaine, redevenue une discipline majeure car touchant au milieu de vie de chacun.

Déterminé dans sa vocation par la lecture de Viollet-le-Duc et par son amitié avec le sculpteur Alexandre Charpentier et avec l'architecte et critique Frantz Jourdain, dès 1894 Henri Sauvage dessine des pochoirs pour l'entreprise paternelle de tentures décoratives. La villa Jika qu'il construit à Nancy de 1898 à 1902 pour le maître ébéniste Louis Majorelle, la décoration de deux salons au Café de Paris en 1899, le théâtre de la danseuse Loïe Fuller à l'Exposition universelle de Paris en 1900, puis l'aménagement du magasin du tapissier Jansen en 1902 et celui de la galerie de la revue L'Art décoratif en 1904 le consacrent comme l'un des maîtres de l'Art nouveau européen. De 1902 à 1916, associé avec son ami de jeunesse Charles Sarazin (1873-1950), il réalise plusieurs groupes d'habitation à bon marché dont, en 1903, l'immeuble novateur du 7, rue de Trétaigne à Paris. Parallèlement, les deux architectes construisent des immeubles bourgeois et réalisent des établissements hôteliers dans les stations balnéaires et thermales françaises. Ils ouvrent des succursales de leur agence à Monterrey (Mexique), à Madrid et à Biarritz, où ils signent, en 1904 et 1907, deux opulentes villas, Océana et Natacha, qui allient l'Art nouveau et le régionalisme. En 1909, Henri Sauvage invente le système de construction à gradins, dont il dépose le brevet en 1912, au moment où il réalise le célèbre immeuble revêtu de carrelage " métro " du 26, rue Vavin à Paris. Peu après, il entame les études de l'immeuble HBM du 13, rue des Amiraux, achevé en 1930. Il illustre les possibilités de ses immeubles à gradins par des projets de rues entières et de mégastructures pyramidales, tels le Giant Hotel et l'immeuble Metropolis, imaginés en 1927 et 1928. L'Exposition des arts décoratifs de 1925 consacre le changement de manière qu'Henri Sauvage avait esquissé dès 1913 avec l'immeuble Majorelle, au 124-126, rue de Provence à Paris. Parmi les luxueux immeubles qu'il construit dans la capitale au cours des années vingt, le Studio-building, édifié en 1927 au 65, rue La Fontaine, démontre par son audacieuse polychromie l'extraordinaire capacité de renouvellement de l'architecte, qui conjugue magistralement, avec la construction des nouveaux magasins de la Samaritaine entre 1925 et 1930, l'esthétique Art déco et les performances techniques. À la même époque, il oriente ses recherches vers des procédés de construction rapide, dépose de nombreux brevets, réalise des prototypes de maisons en tubes d'amiante-ciment. En 1931, un an avant sa disparition, il édifie en trois mois les grands magasins Decré à Nantes, aux façades transparentes. Avec cette dernière œuvre, Henri Sauvage s'affirme comme l'un des très rares architectes à avoir parcouru, avec une rigueur et un talent jamais démentis, l'arc créatif qui va de l'Art nouveau au Style international.

Thématique : humour, imaginaire.

Ce soir, au lieu d'aller se coucher, Emile continue de jouer. Il réveille ainsi tous ses jouets, les uns après les autres, pour finalement retrouver malgré lui, le chemin de son lit.

De page en page, Merlin s'inquiète car d'étranges personnages se cachent dans ses endroits favoris, boivent son biberon ou jouent avec ses cubes. Juste le temps de tourner la page et le personnage apparaît en entier et révèle sa vraie nature. Mais les intrus ne sont que tendresse à partager. Un album pour vaincre la peur de l'inconnu.

Une petite histoire pleine d'humour !

L'histoire des hommes et des femmes qui, par leur ingéniosité et leur imagination, ont fait du besoin le plus élémentaire l'une des manifestations majeures de la civilisation. Chaque chapitre marque une étape dans l'évolution de l'architecture. Illustrations et plans sont intimement liés au texte. Cartes, chronologies et biographies d'architectes sont incluses.

Tromboline et Foulbazar décrivent ce qu'ils voient depuis un nid, une casserole, un cartable, un sceau, un lavabo, une forêt, des livres et rien.

Nico a beau être petit, il est sur tous les fronts, et extrêmement rapide. Jusqu'au jour où il s'habille un peu trop vite pour aller à l'école.

Les difficultés économiques mondiales associées à la prise de conscience de la nécessité de se tourner vers des constructions plus écologiques ont permis le développement d'une nouvelle vision de l'architecture, plus sobre et plus créative. Ce livre présente une suite d'architectures remarquables réalisées avec un budget minimal.

Jeremy regarde souvent les enfants jouer au ballon depuis la fenêtre de sa chambre, mais puisqu'il n'a pas d'amis, il passe son temps à dessiner. Un jour, il dessine un monstre qui se met à grogner et à râler et grâce à qui sa vie va changer.

Alors que ses copains rêvent de devenir pilotes d'avion, un enfant s'imagine sculpteur de nuages ou chef goûteur dans un atelier de guimauve. Il opte finalement pour le métier de pompier, ce qui permet de faire des étincelles dans les yeux de Mathilda. Un album dans lequel les illustrations fonctionnent en dyptiques sur chaque double page : le réel et l'imaginaire, la bichromie et la polychromie.

Chaque jour, à l'heure de la sieste, Rose et Bonbon s'installent confortablement, complotent, font semblant de dormir pour rassurer les parents et s'évadent. Le lit pousse comme un arbre, navigue jusqu'au potager, s'envole plus loin dans la forêt.

A quoi peut servir une trompe d'éléphant ? Et le cou d'une girafe ? Et la carapace d'une tortue ? Voici un album où l'imagination n'a pas de limite.

Parfois la nuit, les poupées se lèvent et que font-elles ? La poupée de Léa veut voir l'école de sa petite maîtresse, lui prend son cartable et ses vêtements et part dans la forêt. Elle rencontre des animaux à qui elle demande son chemin. En échange de l'information elle donne à ces derniers un de ses vêtements et bientôt la pauvre poupée se retrouve toute nue. Elle se réfugie dans le cartable pour se protéger du froid. L'âne, qui passait par là, le rapporte à l'école et bientôt dans la classe on entend le cartable qui fait ATCHOUM !...

C'est l'histoire d'un tout petit garçon plein d'imagination. Il passe ses journées à courir les mers sur son voilier, bravant les pirates et les orages.

Que se passe-t-il dans la voiture quand la famille lapin revient du supermarché?

Un garçon décrit son amitié secrète avec un monstre, avec qui il a rêvé et combattu ses peurs quand il était plus petit.

Lucie ramasse et range dans une boîte des bâtonnets de glace en bois, qui cherchent à réaliser leurs rêves comme se transformer en cheval. Le père de la petite fille ayant des problèmes d'argent, un magnifique cheval nommé Batonero apparait dans son rêve et l'emmène chercher le trésor des pirates.

Toujours accompagnée de son doudou Tadoramour, Isée, la jeune héroïne de Mô-Namour, part vivre des ventures qu'elle décide elle-même : au lieu de subir, elle délivre, au lieu de souffrir, elle guérit, et au lieu d'être seule, elle fait des rencontres.