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C'est bientôt la fin de l'année scolaire et Violette a encore un devoir à rendre : son arbre généalogique. Sur les traces de ses ancêtres, elle doit retourner dans l'appartement dans lequel elle a grandi avec ses parents, la boucle se boucle…

Alors que son grand-père est hospitalisé après avoir fait une crise cardiaque, Ana tombe malade à son tour. Les médecins s'aperçoivent que son ventre est rempli de toiles d'araignées. Après avoir utilisé toutes les méthodes possibles, ils doivent constater leur échec. La jeune fille découvre que son mal pourrait avoir un rapport avec un secret profondément enfoui par son grand-père. ©Electre 2018

Un texte bref à travers lequel l'auteure exprime le manque et la souffrance ressentis suite au décès de son mari, l'écrivain et dramaturge J.-L. Rivière. ©Electre 2020

Amaya a douze ans quand elle voit sa mère mourir de chagrin, après le départ brutal de son père avec une Arlésienne. Aussi sauvage que sa tignasse indomptable, adulte avant l'âge, habituée à s'occuper de ses parents, elle atterrit dans un orphelinat, y enchaîne les joies et les chagrins, découvre une ribambelle de mômes brisés et d'adultes bancals qu'elle tente de réanimer comme elle peut, à coups d'histoires saugrenues et de mensonges poétiques. Mais ce mode de survie n'a qu'un temps : Amaya est vite rattrapée par la vie telle qu'elle est, celle qui frappe sans crier gare et qui ne fait pas de quartiers. Jusqu'à ce qu'elle débarque chez Pierrot et Madeleine, un couple de vieux fous amoureux, étranges et facétieux, avec qui elle va découvrir de nouveaux horizons…

Clémentine joue du violoncelle depuis l'âge de 6 ans et refuse le rythme quotidien imposé par son père, violoniste professionnel et professeur implacable. Après une intégration difficile au collège, la jeune fille veut connaître la vie des autres adolescentes. Le lendemain d'une dispute violente, son père meurt d'une crise cardiaque. Débute le temps des interrogations et de la reconstruction. ©Electre 2021

Paul a quatorze ans quand, peu avant Noël, après un déjeuner en famille chez ses grands-parents, son père décide de reprendre la route malgré la neige et le verglas. Sur la route, un camion percute la voiture familiale et la mère de Paul est tuée sur le coup. Persuadé que son père est responsable de l'accident, Paul promet à Benjamin, son petit frère, de venger leur mère. Quelques jours plus tard, son père et son frère décident de répandre, en montagne, les cendres de la défunte, Paul part devant afin de profiter de son avance pour régler ses comptes avec son père. Après plusieurs heures d'attente dans la neige, Paul aperçoit enfin son père et son petit frère : chacun tient une urne entre ses mains. Paul prend alors conscience que lui aussi est mort, ce fameux jour, aux côtés de sa mère.

Après être retournée sur le lieu d'un funeste accident resté non dit, la narratrice ressent brusquement le besoin d'écrire à Jordan pour parler de leur passé. Il lui aura fallu des années pour trouver les mots de leur histoire, celle de gamins escrocs, pervers et aventuriers, inséparables et complices des mauvais coups. ©Electre 2020

Il y a deux ans, Jimi a perdu son père, saxophoniste de jazz. Le voyant enlisé dans son deuil, sa mère décide qu'il faut qu'il renoue avec son grand-père, le père de son père. Un homme que Jimi n'a jamais connu, qu'il n'a pas envie de connaître, un homme avec qui son propre père n'avait aucun contact. Un homme pour qui la musique n'était pas une vraie vie. Jimi n'a aucune envie de le connaître. Alors il fuit : grâce à son amitié pour Roméo, son amour naissant pour Lilas… et grâce à sa passion pour le dessin. Mais bientôt, Léo, le prof d'arts plastiques de Jimi lui parle d'un concours. Un concours dont le prix pourrait le mettre sur la voie d'une carrière artistique. Comme autrefois son père avait choisi la musique, Jimi choisira-t-il le dessin ? Mais l'héritage semble trop lourd… N'a-t-il d'autre choix que de n'être Picasso ou rien ? N'y a-t-il pas de troisième voie ? 

L'écrivaine, suite à la mort de cinq jeunes garçons qui lui étaient chers en l'espace de quatre ans, raconte comment les jeunes hommes issus de la communauté noire américaine voient leur avenir conditionné par les spectres du racisme et de la pauvreté.

Un grand cimetière, plein de collines. Depuis tôt ce matin, le vieux Toine et son petit-fils creusent. Un trou. Une sépulture. Ce jour, à l'irrésistible tristesse, s'éclaire de leur complicité. Et quand survient un spectre, en forme de jeune fille solaire, les deux enfants folâtrent bientôt parmi les tombes, prenant pour jeu chaque instant, et la mort à revers pour y souffler la vie.

Cher journal, hier j'ai vécu la pire journée de ma vie. Moïra n'a que douze ans et déjà, sa vie n'a plus de sens. Elle vient de perdre sa maman, décédée des suites d'un cancer. Comment continuer ? À quoi se raccrocher ? À son père ? À ses amis au collège ? Et puis, une nuit... Smog apparaît. Un monstre ténébreux mais attachant, qui l'entraîne dans un monde irréel : le royaume des Sept Contrées… Commence alors un long voyage initiatique pour Moïra, qui lui permettra de faire son deuil d'une façon inattendue.

Jean-Yves, 14 ans, vit avec son père aux environs de La Sourle. Seul jeune du village, il profite de ses vacances pour courir, essayer de grandir, se souvenir de sa mère, assister aux excentricités de son père marionnettiste, écouter les divagations de son cousin, goûter les tisanes de son oncle herboriste, etc.

Été 1988, Charlie Bell a 3 passions dans la vie : Mickael Jackson, Mickael Jordan et son père. Quand ce dernier meurt brutalement, tout disparaît autour de Charlie. Seules restent la tristesse, la colère. Ni sa mère, ni ses amis, n'arrivent à lui parler. C'est l'été où Charlie va découvrir le basket, l'été où il va apprendre à rebondir, sur le terrain, et dans la vie. Après Frères, Kwame Alexander signe un roman en vers bouleversant sur le deuil et la fin de l'enfance. Les vrais champions dansent dans le blizzard décrit avec une sobriété poignante le moment où la tristesse et la colère peuvent tout faire basculer, l'instant charnière que représente la perte du père, et la perte des repères.À partir de 13 ans

La nuit, Lucie lui parle. À sa sœur, Camille, qui vient de mourir d'un cancer. De l'incompréhension face à la maladie mortelle qui l'a touchée à 19 ans, au désespoir de ne pas avoir pu l'aider, puis à la rage après sa mort, Lucie lui adresse l'inventaire de ses douleurs et de son chagrin dans de longs monologues nocturnes. Et, tandis qu'elle retrace l'inéluctable cours de la maladie, accompagnée par sa famille, et prise en charge dans un centre spécialisé, Lucie commence à reprendre pied grâce à un groupe de parole.

A 17 ans, Mélody a perdu son âme soeur. Désormais seule sur scène, elle se raccroche à son violon. Sa mère l'oblige à quitter Paris, espérant ainsi lui redonner espoir. La rencontre avec une personne aussi torturée qu'elle et une master class à Londres l'aident à imaginer un avenir qu'elle n'osait plus espérer. ©Electre 2020

Elina et Jörgen, son père, trouvent refuge à la campagne après la disparition accidentelle de Vanessa, compagne de Jörgen et figure maternelle pour Elina. La maison dans laquelle ils s'installent est mystérieuse et pleine de charme mais certains la prétendent maudite. La jeune fille apprivoise les lieux et relate cette année au cours de laquelle elle tente de se reconstruire. ©Electre 2017

La narratrice a perdu sa mère il y a maintenant trois ans et chaque jour elle sent que son souvenir disparaît encore davantage. Il lui reste le parfum qu'elle portait, l'Heure bleue, et sa bague en onyx qu'elle partage avec sa soeur Tanya. Au contraire, Anne-Sophie, la nouvelle femme de son père prend de plus en plus de place au quotidien.

Camille, 16 ans, est emportée à la veille de Noël par une violente fièvre. Sa mère se remémore les moments de complicité, les conflits et les rires, mais aussi l'après : le vide, les adieux, les gestes qui apaisent et les pensées envahissantes. Un roman qui témoigne de la résistance à l'insupportable. Prix révélation (Forêt des livres 2015).

Quelques saisons ? Quelques mois ? Avril ne sait pas combien de jours il reste a` sa me´me´ avant « d'appuyer sur E´toile ». La maladie est revenue, et c¸a fait peur. Mais Avril est pre^te a` tout pour tenter de rendre les derniers jours de sa me´me´ plus beaux, moins durs. Il faut dire que me´me´, ce n'est pas le genre chandail & tisane. Elle a passe´ sa vie dans les lumie`res tamise´es d'un bar a` champagne ; elle a chante´, danse´, aime´ plus que d'autres en mille vies ; alors, pas question pour elle de mourir les yeux rive´s sur un plafond blanc ! Un jour, a` l'ho^pital, elle expose son re^ve a` Avril : s'e´teindre tout en haut d'une montagne, pre`s des e´toiles. Assez pre`s pour les toucher. Projet fou ? Impossible ? Sauf qu'Avril a justement l'e´nergie qui de´place les montagnes. La Mort gagnera sans doute, a` la fin ; mais elle a affaire a` deux sacre´es combattantes.

Un motel, quelque part sur la côte atlantique des États-Unis, la saison touristique touche à sa fin. Lorsque Mabel voit débarquer June à la réception de son établissement, elle est saisie d'une immédiate sympathie pour cette jeune fille au regard fuyant. Peut-être parce que June lui paraît trop jeune pour être mère, ou parce que son compagnon semble distant, voire agressif. Ce dernier disparaît après quelques jours, laissant June et son bébé Luke sans ressource. Il paraît naturel à Mabel de les héberger mais rapidement, elle doit demander de l'aide à son amie Iris. Cette dernière a refait sa vie à l'écart du monde – et loin de sa fille Claire – depuis la mort violente de son mari. Elle accepte de loger June et Luke dans un pavillon au fond de sa propriété, à condition que leur présence ne rompe pas son isolement. Duncan, l'avocat et homme de confiance d'Iris qui connaît la vérité sur son passé, est chargé de veiller sur eux. Mais c'est au retour de Claire dans sa ville natale que la vie de June va prendre une nouvelle tournure…Des destins de personnages cabossés, en deuil ou en colère, s'entrecroisent sous la plume délicate de Melanie Wallace. Rares sont les écrivains capables de dire avec autant de justesse la solitude des êtres humains malmenés par la vie.