Une nouvelle collection signée Brigitte Labbé pour donner aux enfants le goût des mots !Il n'est jamais trop tôt pour que les mots deviennent des amis, des compagnons de toute une vie. Car c'est dans les mots que nos idées se forment, dans les mots que la pensée se construit. Tout en stimulant l'imagination et l'appétit de lire des enfants, cette nouvelle collection propose à travers la lecture de textes sous forme de poèmes en prose illustrés une invitation à savourer les richesses du langage. Et, pour aller plus loin dans l'exploration du sens, chaque mot est accompagné d'une illustration, d'une courte définition personnelle de l'autrice ainsi que d'un petit champ lexical de « mots voisins ».
Invitation singulière et unique au cœur du site antique d'Aleria qui accueille auteurs, chanteurs et musiciens de Méditerranée pour un spectacle original plurilingue propre à créer des passerelles entre les cultures.
Se propose d'aider à la connaissance et à l'approche de l'objet littéraire qu'est le poème, à travers la logique de l'écriture, le sens de l'histoire et le désir propre à chaque poète. Pour ce faire, l'auteur a rapproché la poésie de la musique et de la peinture et, dans une annexe, du théâtre et du roman.
41 poésies d'auteurs incontournables de Victor Hugo à Jacques Prévert en passant par Guillaume Apollinaire, Paul Eluard ou Maurice Carême. Avec un CD audio contenant 17 poèmes mis en musique.
« Maud Thiria évoque dans ce nouveau livre les bribes de souvenirs qui s'attachent à la présence toute proche d'un blockhaus au fond de son jardin d'enfance. Mieux, elle le constitue en lieu mental et en fait la table d'orientation de son écriture. Quel est donc ce blockhaus, à demi enfoui dans son imaginaire ? Une masse grise et sale de béton brut à l'odeur acide de terre et de peur. Une cachette paradoxale pour l'enfant : moins un abri qu'une cavité inquiétante où se blottir au plus près de son propre inconnu, lové dans la peur. Là réside le fantôme d'un danger imminent, l'ombre sourde d'une menace, comme si un ennemi se cachait, tout proche, non pas extérieur mais intérieur au blockhaus et à son odeur forte d'urine et de misère humaine. » Extrait de la préface de Jean-Michel Maulpoix.
Jacques Coursil s’est mis dans l’idée de conjuguer musique, linguistique, poésie et politique en un seul projet. Et d’en faire un manifeste de l’homme libre.
La trompette de Coursil est un instrument libre qui parle, caresse ou crie avec une infinie clarté.