Vladimir et Estragon, deux vagabonds, attendent un certain Godot dans un no man’s land (la didascalie indique « Route de campagne avec arbre »). L’absence de celui-ci éveille chez eux doutes et questionnements. Deux autres personnages font leur apparition : Pozzo, autoritaire, et son esclave Lucky. A la suite du monologue absurde de ce dernier, Vladimir et Estragon se retrouvent à nouveau seuls. Le premier acte se clot sur l’arrivée d’un enfant qui les informe que Godot ne viendra que le lendemain.
Le piano du plus bel hôtel de Célesteville-Plage a été volé ! Flore retrouve un gant sur le lieu du cambriolage. Babar et sa famille décident d'enquêter. Un lion, un rhinocéros, un éléphant : les indices sont trop minces jusqu'à ce que la voiture de Babar puis la statue du Grand-Théâtre soient à leur tour dérobées. C'en est trop ! Grâce à Arthur et sa moto, ils vont enfin découvrir qui sont les voleurs.
Ecrit à la première personne, le roman de Céline fait défiler une kyrielle de situations et de personnages sous le regard semi-naïf de Bardamu. Ses commentaires dénoncent les horreurs dont il est le témoin, voire la victime : celles de la Grande Guerre et celles des rapports sociaux. Prix Renaudot 1932.