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Le dessinateur Jul, désormais scénariste des albums de Lucky Luke, nous entraîne dans un voyage au Far West sur les traces du plus célèbre des cowboys de bande dessinée. Des saloons aux grandes plaines, il part à la rencontre des figures qui ont inspiré, souvent de manière très stéréotypée, les personnages iconiques des planches de Morris et Goscinny.
Épisode 1- Au royaume des cow-boys
En soixante-dix ans et quatre-vingts albums, Lucky Luke a forgé un rêve américain à lui seul, faisant fantasmer des générations de jeunes Européens. Si l’univers coloré imaginé par Morris et Goscinny s’inspirait de faits historiques, il se nourrissait surtout des archétypes construits par le cinéma et la littérature, qu’il parodiait avec amour. Fan de la première heure, Jul, qui scénarise depuis 2016 les aventures du célèbre cow-boy, s’est mis en tête de confronter le personnage et son folklore à l’épreuve du réel. Que reste-t-il aujourd’hui de Lucky Luke ? Dans ses pas, l’auteur parisien débarque au Far West, le vrai, à la recherche des figures et lieux qui ont bercé son enfance…
Retour sur son parcours de guerrière, pas exempt de blessures.
Terry Gilliam parlait d'elle comme d'un "cygne venu d'ailleurs". Elle, dans ses jeunes années, se voyait plutôt comme une girafe. Une grande gigue blonde de 1 mètre 83, qui ne savait pas très bien quoi faire de son corps. Devenue mannequin à 15 ans après une enfance paisible dans un milieu intellectuel bohème, elle s'est très tôt sentie capturée par le regard des hommes. Une expérience qu'elle va vivre plusieurs fois dans sa carrière, avec plus ou moins de violence : à ses débuts, lorsqu'on ne lui propose que des rôles fondés sur son sex-appeal, après avoir éclot dans Les aventures du baron de Münchausen et Les liaisons dangereuses, où elle campait de jeunes ingénues à la sensualité prête à déborder. Plus tard, devant la caméra de Quentin Tarantino, qui en a fait une égérie du cinéma indépendant (Pulp Fiction), puis un emblème de la revanche des femmes (Kill Bill), suscitant en elle une reconnaissance mêlée de gêne, tant le tournage du second opus aura été éprouvant. Enfin, en tant que victime d'agression sexuelle de la part du producteur Harvey Weinstein, à qui elle est parvenue à tenir tête.
Colère contenue
De tout cela, Uma Thurman a témoigné. Après coup, car pour parler, elle attendait que la colère si longtemps contenue baisse en intensité. C'est de cette femme-là, forte, digne, mais blessée, que ce documentaire brosse le portrait, faisant entendre en voix off des extraits de ses prises de parole parues dans les journaux ces dernières années. Son amie réalisatrice Mira Nair et la critique Violet Lucca témoignent de sa force de caractère et montrent à quel point sa voix a été (est encore) inspirante pour d'autres comédiennes. D'autres témoins, comme Andrzej Sekula, le chef opérateur des premiers films de Quentin Tarantino, et la costumière Catherine Thomas, se souviennent d'elle au travail, rappelant combien certains de ses personnages ont marqué l'inconscient collectif.
En 1985, dans le cadre d’une mission d’étude sur le profil psychiatrique des serial killers, l’agent du FBI Bill Hagmaier est chargé d’interroger Ted Bundy, condamné à mort pour avoir assassiné 30 jeunes femmes au cours des années 1970. Alors qu’il se confronte à l’esprit sombre et diabolique du tueur en série, une relation étrange et inattendue, faite de fascination et d’empathie, va peu à peu se développer entre les deux hommes, et les unir jusqu’au couloir de la mort…