Aller au contenu principal

8 résultat(s)

ImpriméDisponible
Tome :
1
Anton Witkowsky a la rage. La rage de sortir de sa condition, de quitter sa banlieue et fuir la rigueur paternelle. Pour s'en sortir il boxe, Marco son entraîneur et Mo son pote ne cessent de lui répèter que ses poings valent de l'or. Et pour gagner le paradis il est prêt à tout.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Tome :
2
Anton Witkowsky est champion du monde. Il fait la une des magazines, multiplie les déclarations fracassantes et se complaît dans les frasques. Mais la chute n'est jamais loin du sommet, pour Anton ce sera bientôt la disgrâce du tribunal où il siègera sur le banc des accusés. Il devra passer par un long cheminement pour retrouver ses origines et accéder à la rédemption.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Anton Witkowsky a la rage. Rage d'en sortir, de quitter sa banlieue et de fuir la rigueur paternelle. Pour cela il boxe. Marco, son entraîneur, et Mo, son pote, ne cessent de lui répéter que ses poings valent de l'or. Pour gagner le paradis, il est prêt à tout. Mais pas préparé à tout perdre. Ce qu'il ignore, c'est que de cette disgrâce lui viendra sa plus grande force, intérieure cette fois.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Anton Witkowsky a la rage. La rage de sortir de sa condition. De quitter sa banlieue pourrie. De fuir la rigueur paternelle. La rage, il l'a dans ses poings. Il a de l'or dans ses poings, il le sent, il le sait. Tout le monde le lui répète, Marco, son entraîneur, Mo, son pote. La boxe, c'est la clé du paradis. Le paradis du fric et de la gloire. Pour gagner ce paradis-là, il est prêt à tout.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
Livre numériqueDisponible
 «  En 1977, alors que je travaillais àLibération, j’ai lu que le Centre d’éducation surveillée de Belle-Île-en-Mer allait être fermé. Ce mot désignait en fait une colonie pénitentiaire pour mineurs. Entre ses hauts murs, où avaient d’abord été détenus des Communards, ont été«  rééduqués »à partir de 1880 les petits voyous des villes, les brigands des campagnes mais aussi des cancres turbulents, des gamins abandonnés et des orphelins. Les plus jeunes avaient 12 ans.
  Le soir du 27 août 1934, cinquante-six gamins se sont révoltés et ont fait le mur. Tandis que les fuyards étaient cernés par la mer, les gendarmes offraient une pièce de vingt francs pour chaque enfant capturé. Alors, les braves gens se sont mis en chasse et ont traqué les fugitifs dans les villages, sur les plages, dans les grottes. Tous ont été capturés.Tous  ? Non  : aux premières lueurs de l’aube, un évadé manquait à l’appel.
  Je me suis glissé dans sa peau et c’est son histoire que je raconte. Celle d’un enfant battu qui me ressemble. La métamorphose d’un fauve né sans amour, d’un enragé, obligé de desserrer les poings pour saisir les mains tendues. » S.C.
Veuillez-vous connecter
ImpriméDisponible
« Je n'ai pas le droit aux sentiments. Les sentiments c'est un océan, tu t'y noies. Pour survivre ici, il faut être en granit. Pas une plainte, pas une larme, pas un cri et aucun regret. Même lorsque tu as peur, même lorsque tu as faim, même lorsque tu as froid, même au seuil de la nuit cellulaire, lorsque l'obscurité dessine le souvenir de ta mère dans un recoin. Rester droit, sec, nuque raide. N'avoir que des poings au bout de tes bras. Tant pis pour les coups, les punitions, les insultes. S'évader les yeux ouverts et marcher victorieux dans le sang des autres, mon tapis rouge. Toujours préférer le loup à l'agneau. » Dans la nuit du 27 août 1934, cinquante-six gamins se révoltent et s'échappent de la colonie pénitentiaire pour mineurs de Belle-Île-en-Mer. Voici ouverte la chasse aux enfants. Tous sont capturés. Tous ? Non : aux premières lueurs de l'aube, un évadé manque à l'appel. Voici son histoire…
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Le destin de Roger Henrard, un pilote exceptionnel qui a été le premier à photographier Paris à basse altitude, des années 1920 aux années 1950. Il s'est aussi illustré pendant la Seconde Guerre mondiale en réalisant des missions d'espionnage aérien au-dessus de l'Allemagne.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
  «  En 1977, alors que je travaillais à Libération, j'ai lu que le Centre d'éducation surveillée de Belle-Île-en-Mer allait être fermé. Ce mot désignait en fait une colonie pénitentiaire pour mineurs. Entre ses hauts murs, où avaient d'abord été détenus des Communards, ont été «  rééduqués  » à partir de 1880 les petits voyous des villes, les brigands des campagnes mais aussi des cancres turbulents, des gamins abandonnés et des orphelins. Les plus jeunes avaient 12 ans.  Le soir du 27 août 1934, cinquante-six gamins se sont révoltés et ont fait le mur. Tandis que les fuyards étaient cernés par la mer, les gendarmes offraient une pièce de vingt francs pour chaque enfant capturé. Alors, les braves gens se sont mis en chasse et ont traqué les fugitifs dans les villages, sur les plages, dans les grottes. Tous ont été capturés.Tous  ? Non  : aux premières lueurs de l'aube, un évadé manquait à l'appel.  Je me suis glissé dans sa peau et c'est son histoire que je raconte. Celle d'un enfant battu qui me ressemble. La métamorphose d'un fauve né sans amour, d'un enragé, obligé de desserrer les poings pour saisir les mains tendues.  » S.C.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver