497 résultat(s)
Les pensées et les souvenirs se bousculent durant l'expérience de solitude extrême. Là-bas, dans l'immensité glacée, les corps tournent en rond alors que l'esprit de l'hivernant marche à plein. Une seule chose est sûre se dit-il : pas besoin d'autres mondes, seulement de miroirs.
Hommage à l’astrophysicien Stephen Hawking, décédé le 14 mars 2018, avec cette fiction très documentée, aussi divertissante qu’instructive, qui raconte l'histoire vraie et méconnue de ses débuts. Le chercheur qui a bouleversé la théorie des trous noirs y est incarné par Benedict Cumberbatch.
En 1978, Arno Penzias et Robert Wilson se rendent à Stockholm pour recevoir le Prix Nobel de physique. Ils racontent à des journalistes l’histoire de leur découverte, en 1965, du bruit fossile de la création de l’univers il y a 15 milliards d’années. Parallèlement, en 1963, en Angleterre, un jeune étudiant en cosmologie nommé Stephen Hawking apprend qu’il est atteint de la maladie de Charcot. Hawking n’a plus que deux ans à vivre. Malgré sa maladie, qui le handicape de plus en plus, il se lance dans une recherche acharnée. Il va tenter de démontrer que la théorie de l’état stationnaire de l’univers est fausse et que le monde a eu un commencement : le big bang…
Cette fiction s’inspire de faits et de personnages réels – Stephen Hawking, notamment, qui vient de disparaître à l'âge de 76 ans. Des archives et des documents scientifiques ont servi de base à un scénario dont le premier mérite est de rendre accessibles des théories très compliquées. La découverte de Hawking est ainsi habilement dramatisée. La tête dans les étoiles est aussi le portrait d’un jeune homme en lutte contre la maladie, l’autorité de ses aînés et les idées reçues. Un jeune idéaliste qui n’écoute que du Wagner à l’époque des Beatles et séduit les jeunes filles en leur expliquant les secrets de l’univers. Hawking est un nouvel Hamlet qui cherche à apporter des réponses scientifiques à des questions métaphysiques. Le jeune savant s’abandonne corps et âme à une quête existentielle : celui qui côtoie la mort tous les jours doit justement prouver que le néant existe ; celui dont les heures sont comptées doit montrer que le temps n’est pas éternel. La vivacité du récit et l’interprétation étonnante de Benedict Cumberbatch rendent parfaitement compte de l’urgence et de l’affolement créés par la maladie.
Alexandre, trentenaire un peu paumé, décide de se lancer dans la vie active. Loris, son colocataire misanthrope, travaille sur une « méthode universelle pour réussir sa vie » et Patrick, son père, décide d’arrêter sa chimiothérapie. Jusqu’ici tout va mal, mais c’est sans compter l’arrivée de Manon…
Élevée à la campagne, Esther Blodgett rêve de percer à Hollywood. Alors qu'elle est serveuse dans un réception, elle croise le regard de Norman Maine, un acteur alcoolique et vieillissant. C'est grâce à ce dernier qu'Esther est introduite dans le monde du septième art.
Profitez d'une promenade pour ramasser des aiguilles de pin. Puis réalisez cette jolie étoile, toute simple à faire, mais qui embellira à coup sur votre sapin.
Depuis de nombreuses années, Christine vit sous un pont, isolée de tous. Par une nuit comme il n’en existe que dans les contes, un jeune garçon de 8 ans fait irruption devant son abri. Suli est Érythréen, ne parle pas français, et il est perdu, séparé de sa mère… Ensemble, ils partent à sa recherche. À travers les rues de Paris, Christine et Suli vont apprendre à se connaître et à s’apprivoiser. Et Christine va retrouver une humanité qu’elle croyait disparue.