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Mais quel bazar toutes ces idées ! A peine la nuit tombée, elles entrent une à une, se bousculent, dansent, se suivent, s'installent sur l'accoudoir du canapé, couinent, meuglent et hop, c'est parti ! Bienvenue au grand cirque des idées ! Le point de départ de cet album est une série de créatures imaginaires dessinées par l'illustrateur égyptien Walid Taher. Ramona Badescu, la créatrice de Pomelo, s'est emparée de ces créatures et elle en a fait ses idées, des idées folles, des idées libres, des idées délurées, elle leur a attribué un sentiment, un cri primal ! Et pour finir, les créatures nées en Egypte se sont retrouvées mêlées dans un grand cirque d'idées universelles. Alors en retour, Le port a jauni a imaginé une maquette comme une pièce de théâtre : on entre dans le livre par le noir, et on attend que le spectacle commence. Une à une les idées entrent en scène, surprenantes, effrayantes, toujours émouvantes. Le petit lecteur, petit voyeur, est invité à être pleinement, lui aussi, créateur par cet ouvrage totalement innovant. Et l'on ressort du spectacle avec son âme d'enfant...
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Comment est-elle, votre maison ? Dans la maison de Walid Taher, il y a des boîtes magiques cachées dans des boîtes magiques sous le lit de la chambre à coucher...etc Notre maison évoque les souvenirs sensoriels de l'enfance. Comme dans le poème de Mahmoud Darwich dédié au café, la maison devient le lieu de convocation de la mémoire. Chaque odeur, chaque objet, chaque son... rappelle l'illustrateur à lui-même, notre maison est le lieu dans lequel nous nous sentons pleins.
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Un recueil de poèmes en quatrains consacré au printemps, période de transition et de renouveau, qui permet de méditer sur le caractère éphémère de la vie.
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Les herbes folles est une promenade comme la vivent les enfants, en portant attention aux détails d'un épi de blé, à une flaque d'eau, au chant d'un oiseau, au déplacement d'un colimaçon, par les chemins. La poésie d'Angélique Villeneuve suit les sensations du corps, une paille entre les dents. La marche, le sol, le ciel, elle sautille et elle roule, alors le chemin deviendrait rivière, elle explore les éléments. La poésie est épurée et enfantine, elle a été écrite à partir d'un cahier de dessin d'Eugénie Rambaud, qui a tracé un fil continu, de page en page. Un fil dessiné, cousu, collé, pour accompagner peu à peu le lecteur parmi Les herbes folles.
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Un poème en forme de méditation sur la matière évoquant la rencontre de la pierre et du temps. Il est accompagné d'illustrations privilégiant les masses lumineuses, colorées et arrondies en contraste avec la langue rugueuse de l'auteure. ©Electre 2020
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Ce recueil est conçu comme un jeu spatial particulièrement adapté à la petite enfance. Bernard Friot explore en mots poétiques et truculents les adverbes de lieu : où ? ici, là, dessous, derrière, dessus, en haut, en bas, dedans, partout, à travers, etc. Treize poèmes s'enchaînent comme une promenade, se répondent, se font écho comme des éléments dans l'espace. L'écriture de Bernard Friot est tout à la fois ludique, humoristique et par cette composition spatiale, elle devient philosophique. Nous avons longtemps chercher l'illustration de ces poèmes : est-ce qu'une image narrative avec, par exemple, un chat en haut d'une armoire pour en haut, serait bienvenue ? Sans doute le corps enseignant apprécierait cette spatialisation graphique comme outil pédagogique. Mais nous avons finalement choisi le travail graphique de Jérémie Fischer, qui est le premier illustrateur auquel nous avons pensé en lisant ces poèmes. Jérémie Fischer marche en montagne et, au retour de ses marches, colle des papiers. Ses collages sont presque abstraits, mais paradoxalement, en face des poèmes de Bernard Friot, ils deviennent presque narratifs et dans tous les cas, ils nous parlent d'espace. Héritier de Leo Lionni dans "Petit-bleu et Petit-jaune", les masses colorées de Jérémie Fischer libèrent ici l'imaginaire du (jeune) lecteur, et le recueil nous semble plus riche.
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Comme beaucoup d'enfants, Zoé n'aime pas la soupe... Mécontente, elle se réfugie dans les toilettes. Là, elle s'endort, et se perd en imagination dans la campagne. Un petit album ludique et original !
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Les Lettres du jardin est le premier titre de la collection Racines, inspirée par la structure linguistique des langues sémitiques : en arabe comme en hébreu, la plupart des mots ont pour origine trois sons, une racine qui se retrouve dans tous les mots d'une même famille. À partir de cette racine se fabriquent des mots selon des schèmes, en rajoutant des lettres avant, après, au milieu, de nouveaux sons. Comme un motif musical autour duquel on brode. Comme une formule qui se complexifie. Parfois, la racine est très claire, très simple. Mais d'autres fois, on se demande ce qui peut bien avoir fait pousser ces mots dans le même champ, dans la même famille, à partir de la même racine tant leur sens semble éloigné ! Les lettres du jardin explorent la racine J•N•N qui nous a parue évidente pour ouvrir joyeusement la collection ! Elle rassemble dans une même famille les mots jardin – junayna, paradis – janna, fou – majnoun, djinn ou esprit malin et le bébé dans la ventre de sa mère – janine. Layla Zarqa s'est emparée des mots de façon ludique, elle a créé des étiquettes pour chaque mot, puis les a assemblés, combinés, déplacés à souhait jusqu'à entendre sonner le poème. Clothilde Staës a créé des tampons, des formes en linogravure et comme Layla Zarqa avec les mots, elle joué et cherché le sens de chaque mot en image.
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