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Ces onze textes entre autobiographie et essai nous font (re)découvrir l'une des écritures les plus fortes du XXe siècle italien. Qu'il s'agisse du souvenir du confinement dans un petit village du Sud ou du portrait de Cesare Pavese, d'une réflexion sur la valeur de l'argent et surtout d'une bicyclette pour un enfant, ou de son métier d'écrivain, Natalia Ginzburg écrit des « histoires » qu'elle puise dans la mémoire toujours explosive de ce siècle retentissant. Son expérience, qu'elle partage comme un devoir et une nécessité, est exemplaire et bouleversante. Sa voix et son regard sont d'une innocence privée de toute naïveté, d'une intelligence dérangeante car différente quand elle est aux prises avec le plus commun. Dans ces pages (écrites entre 1943 et 1962), nous sommes confrontés à une époque aussi lointaine qu'enfouie en nous qui resurgit simplement grâce à l'air frais et suranné du «lexique familier» de Natalia Ginzburg.
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Dans ce livre d'un genre inconnu, l'auteur nous invite à une re´flexion sur la poe´sie par une me´ditation sur la traduction & vice versa. À partir d'un poème de quatre vers vieux de 1200 ans, il nous initie au chinois classique via l'anglais, le franc¸ais et l'espagnol. Par une lecture minutieuse de 19 traductions diffe´rentes (du poète américain Kenneth Rexroth au mexicain Octavio Paz, en passant par Franc¸ois Cheng) d'un même poème chinois — e´crit au VIIe siècle par Wang Wei, le grand poète et calligraphe bouddhiste de l'e´poque de la dynastie Tang — Eliot Weinberger pose la question essentielle suivante : « Que se passe-t-il lorsqu'un poème, autrefois chinois et qui est toujours chinois, devient un poème anglais, espagnol, franc¸ais ? » Avec finesse et humour, érudition et ironie, il soulève un grand nombre de questions au sujet des difficultés (plus ou moins présumées) de la traduction de la poésie, en de´masquant les tics et les lapsus des traducteurs, et surtout en montrant la nouveauté perpétuellement changeante de tout poème.
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Imaginez Zazie dans le métro revu par Spike Lee… Avec le rythme des meilleurs jazzmen, une chaleur et une compassion qui jamais ne se démentent, ces quinze nouvelles nous font connaître et aimer toute la galerie de personnages issus de la communauté noire américaine : le vieux joueur de blues du Sud qui refuse d'aller enregistrer chez les blancs du Nord, la mère de famille jugée par ses grands enfants parce qu'elle s'amuse trop à leur goût, le groupe d'amies réunies en un truculent conseil de guerre après la fuite de l'amant d'une d'entre elles, ou encore les enfants des quartiers pauvres, qui racontent, dans une langue inimitable, leurs rêves et leurs désillusions face au racisme ou à l'incompréhension des adultes. Tout l'amour que Toni Cade Bambara porte à sa communauté transparaît dans chacune de ces nouvelles admirablement maîtrisées.
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