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"Notturno" est le premier disque de l'Escadron Volant de la Reine. Il est le résultat d'un travail de plusieurs années sur la musique italienne de la fin du XVIIe siècle et tout, depuis la recherche des partitions jusqu'à la définition du geste musical est le fruit d'un travail d'équipe. L'Escadron Volant de la Reine a choisi d'enregistrer ce répertoire (Caresana, Scarlatti, Veneziano) pour sa beauté, sa rareté, et parce qu'il correspondait exactement à l'effectif de l'ensemble. Ce sont des pièces à quatre parties instrumentales (deux violons, un alto, la basse continue) et une partie vocale. Le contrepoint ainsi formé donne la parole à chacun, les instruments dialoguant d'égal à égal avec la voix.
L'Escadron Volant de la Reine désigne les dames de compagnie recrutées par Catherine de Médicis. Par leur présence et leur conversation, elles étaient chargées de pacifier les relations humaines au sein des Cours européennes. Ce nom évoque une organisation non hiérarchisée alliant rigueur et fantaisie, deux qualités qui tiennent à coeur aux musiciens de l'ensemble dans le travail musical.
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Enfin la voilà faite, cette maudite sonate ! Plaira-t-elle, ne plaira-t-elle pas ? That is the question..." écrivait non sans humour Saint-Saëns à propos de son deuxième quadrupède pour violoncelle et piano. Le violoncelle ? Il l'adore, bien au-delà du célèbre Cygne... Il ne put pourtant terminer la troisième Sonate, restée à l'état de manuscrit et qu'Emmanuelle Bertrand et Pascal Amoyel ont restituée avec émotion et total respect. Quant au Concerto, il fait aujourd'hui partie des musts absolus du répertoire concertant pour violoncelle.
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Pendant 20 ans (de 1663 à 1683), Henry du Mont a dirigé la Musique de la Chapelle du Roi soleil ; il élabora pour la messe quotidienne du souverain un nouveau répertoire musical constitué de motets à grand choeur et de pièces plus intimes pour voix solistes. Les premiers visaient à transposer " à l'ordinaire " le format des grandes fresques conçues pour des cérémonies extraordinaires ; c'est à ces " grands motets " que Sébastien Daucé consacre une lecture renouvelée qui, tout en reliant particularités musicales et données historiques, en révèle toutes les beautés jusque dans leurs moindres détails.
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Benjamin Godard, violoniste et pianiste de grand talent, charma les salons de la Troisième République par l'élégance et la précision de son jeu. Il fut aussi un compositeur prolixe dont on ne s'étonnera pas qu'il ait dédié à ses deux instruments quatre splendides sonates qui forment un corpus de premier ordre. En effet, écrites dans la tradition beethovénienne de la sonate " sérieuse ", elles favorisent la qualité d'inspiration et l'intensité de l'émotion à une virtuosité facile que le romantisme prônait alors. Ces sonates laissent aussi voir différents visages de Godard, depuis l'opus 1 composé dans la fougue de ses 17 ans jusqu'à la quatrième sonate regardée comme un chef-d'oeuvre en la matière. L'oreille d'aujourd'hui se laissera également surprendre et toucher par la splendide Sonate n °3 dont les premières mesures suffisent à contredire les accusations d'académisme qui menacent parfois Godard. Il est étonnant qu'aucune de ces oeuvres, et moins encore l'intégralité, n'ait prêté à un enregistrement jusqu'à présent.
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Tome :
2
Après le succès du premier volume (Diapason d'or de l'année 2014), Ophélie Gaillard et Pulcinella Orchestra nous proposent un nouveau portrait du fils le plus doué et le plus surprenant de Jean-Sébastien Bach, Carl Philipp Emanuel Bach (1714-1788). Tenu en haute admiration en son propre siècle par Haydn, Gluck et Mozart, il nous apparaît de nos jours comme un génie totalement original. "Un musicien ne peut émouvoir les autres que s'il est lui-même ému : il est indispensable qu'il éprouve tous les états d'âme qu'il veut susciter chez les auditeurs ? Aux endroits langoureux et tristes, il deviendra langoureux et triste ; cela devra s'entendre et se voir." Par ces propos, Carl Philipp Emanuel Bach affirme sa vision de la musique qui se veut l'expression de sentiments personnels.
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