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Moi, je suis un grand frère.Ma soeur, une petite soeur.Ce que j'aime le mieux quand il fait beau, c'est lire tranquillement à l'ombre d'un arbre, assis dans l'herbe fraîche. Quand il n'y a pas ma soeur…Quand on aspire à une vie tranquille et douce, pas facile d'être le grand frère d'une petite soeur aussi rusée qu'infatigable, et qui peut carrément se révéler terrifiante (n'est-ce pas, le chat... ?). Un album à la fois tendre et drôle à mettre entre lesmains de toutes les fratries !
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2028. Depuis son observatoire de la cordillère des Andes, un astrophysicien identifie une planète jusqu'alors inconnue. Sur la surface parfaitement lisse du corps céleste, on peut lire en lettres noires : « Qui êtes-vous ? ». L'humanité tout entière se mobilise pour y répondre… 2056. Le premier « homme augmenté » conçu par Google voit le jour. Il court le cent mètres en 4,5 secondes, soulève six cent kilos au développé-couché et son esprit calcule à la vitesse d'un ordinateur quantique. Seuls les plus riches peuvent prétendre à ces améliorations. Des émeutes éclatent…2120. Les voyages n'existent plus, on parle désormais de « déplacements éducatifs ». Un jeune couple part « fêter » son mariage à bord de l'Oiseau de des îles, un avion solaire ultra-rapide censé leur faire découvrir les Sept merveilles du monde. Les mariés sont loin d'imaginer ce qui les attend… 2121. Annoncé depuis plus d'un siècle, le cataclysme climatique tant redouté commence.Typhons, volcans et tsunamis ravagent la planète. En secret, le « réseau Sénèque » s'organise pour sauver ce qui peut l'être…Quelles nouvelles attendre du futur ? L'avenir sera-t-il à la hauteur de nos espoirs ? Et si les progrès rêvés d'aujourd'hui devenaient les cauchemars bien réels de demain ? Dans le sillage d'Orwell et de Huxley, Patrice Franceschi dessine pour nous, en quinze fables pleines d'humour, d'imagination et tendresse, le portrait-robot d'une humanité qui a perdu la raison.
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Voici le roman le plus singulier de Dany Laferrière  : un roman dessiné. Et écrit à la main  ; comme tous les précédents, mais dans cet Autoportrait de Paris avec chat son écriture est reproduite en même temps que ses dessins, dans ce volume de grand format et de grande ambition. Et c’est guidés par la main du plus charmeur des académiciens français, ses lettres et ses couleurs, que nous pénétrons dans un Paris à son image, un Paris qui, d’une certaine façon, n’est autre que lui-même.Plutôt que «  À nous deux Paris  !  », voici «  Nous deux à Paris  !  ». Le narrateur, un grand rêveur, arrive dans la ville la plus réaliste du monde. Il en fait la découverte et nous avec lui, remontant ses rues et le temps à la rencontre de ceux qui ont fait sa gloire. Paris, ses monuments de pierre et d’intelligence, l’arc de Triomphe aussi bien que Balzac, ses cafés aussi bien que ses créateurs de mode, le Flore aussi bien que Gabrielle Chanel. Paris se nourrit aussi des étrangers qui cessent d’en être dès qu’ils l’aiment et contribuent à faire ce qu’il est. Et voici donc Hemingway, et voici donc Noureev, et voici donc Apollinaire… Et puis il y a Chanana. Qui est cette mystérieuse chatte en manteau rose qui arrive chez le narrateur à minuit  ?
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Dans son Journal d'un Infréquentable, Stéphane Guillon, avec son regard acéré et sa plume mordante, nous entraîne dans une balade insolite et exaltante au cœur de ce que fut cette année si particulière qui débute en septembre 2016 et s'achève en 2017.Une saison émaillée de scandales politico-financiers, de coups d'éclats, d'élections, de rebondissements, de faits divers et de faits « people »… Douze mois qui coïncident avec un changement radical du paysage politique français.Dans son récit personnel de « la grande Histoire », Stéphane Guillon mêle habilement ses souvenirs intimes. Des souvenirs d'enfance comme la disparition cruelle de son hamster Diabolo…, des rencontres marquantes : Jean-Paul Belmondo dans une boutique de prêt à porter, Charb directeur de Charlie Hebdo quelques mois avant sa mort…Au fil des pages, le lecteur accompagne au plus près « l'Infréquentable » et croise ceux qui émaillent sa vie quotidienne en tournée, dans les coulisses de la télévision, au sein de sa famille…On y découvre des personnages connus ou anonymes, mais toujours hauts en couleur : son patron, monstre télévisuel dépourvu d'affect, son assistant Antoine, féru d'humour noir, au point de choquer Guillon lui-même, Jacques, le régisseur des tournées, le papa poule aux petits soins avec l'artiste, gérant ses caprices et ses névroses, sa femme Muriel, son double, sa muse, son metteur en scène mais qui au fil de la saison tombera sous le charme d'Emmanuel Macron, obligeant Guillon à écrire ses punchlines en cachette…Et bien entendu,...
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  Il faut prêter attention aux analyses d'Amin Maalouf  : ses intuitions se révèlent  des prédictions, tant il semble avoir la prescience des grands sujets avant qu'ils n'affleurent à la conscience universelle. Il s'inquiétait il y a vingt ans de la montée des Identités meurtrières  ; il y a dix ans du Dérèglement du monde. Il est aujourd'hui convaincu que nous arrivons au seuil d'un naufrage global, qui affecte toutes les aires de civilisation.L'Amérique, bien qu'elle demeure l'unique superpuissance, est en train de perdre toute crédibilité morale. L'Europe, qui offrait à ses peuples comme au reste de l'humanité le projet le plus ambitieux et le plus réconfortant de notre époque, est en train de se disloquer. Le monde arabo-musulman est enfoncé dans une crise profonde qui plonge ses populations dans le désespoir, et qui a des répercussions calamiteuses sur l'ensemble de la planète. De grandes nations «  émergentes  » ou «  renaissantes  », telles la Chine, l'Inde ou la Russie, font irruption sur la scène mondiale dans une atmosphère délétère où règne le chacun-pour-soi et la loi du plus fort. Une nouvelle course aux armements paraît inéluctable. Sans compter les graves menaces (climat, environnement, santé) qui pèsent sur la planète et auxquelles on ne pourrait faire face que par une solidarité globale qui nous fait précisément défaut.Depuis plus d'un demi-siècle, l'auteur observe le monde, et le parcourt. Il était à Saigon à la fin de la guerre du Vietnam, à Téhéran lors de l'avènement de la République islamique. Dans ce livre puissant et ample, il fait œuvre à la fois de spectateur engagé et de penseur, mêlant récits et réflexions, racontant parfois des événements majeurs dont il s'est trouvé être l'un des rares témoins oculaires, puis s'élevant en historien au-dessus de sa propre expérience afin de nous expliquer par quelles dérives successives l'humanité est passée pour se retrouver ainsi au seuil du naufrage.
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Inspiré d'un proverbe traditionnel russe, cette réinterprétation contemporaine est un conte qui traite de la rumeur, du jugement, et de la façon dont les opinions des autres peuvent influencer notre propre comportement. Sur le chemin de Bonvent, un homme, un garçon, et un singe traversent de nombreuses villes. Dans chacune d'elles, les habitants donnent leur point de vue sur la façon dont ils devraient mener leur journée. Le trio suit les « avis » mais, comme les jugements changent d'une ville à l'autre, peu importe ce que feront nos protagonistes, ils feront toujours fausse route… Alors, à votre avis, quelle est la meilleure solution ?La question est ouverte : au lecteur de se faire son opinion !
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Metin Arditi, amoureux comme personne de l'esprit français, examine d'une plume légère et souvent espiègle les diverses formes dans lesquelles s'incarne en France le désir de plaire. " On ne considère en France que ce qui plaît ", dit Molière, " C'est la grande règle, et pour ainsi dire la seule ". Partant de cet indiscutable constat, l'auteur de ce dictionnaire, lui-même amoureux comme personne de l'esprit français, examine d'une plume légère et souvent espiègle les diverses formes dans lesquelles s'incarne en France le désir de plaire : au fil des siècles se sont développés le goût du beau, bien sûr, mais aussi le principe d'élégance, le sens de l'apparat, le souci de légèreté, l'humour, l'art de la conversation, un attachement historique à la courtoisie, la délicatesse du chant classique " à la française ", le penchant pour la théâtralité, l'amour du juste, le goût des barricades, du panache, oui, du panache, et, surtout, une exigence immodérée de liberté. Ce dictionnaire parle de Guitry et de Piaf, de Truffaut et de Colette, mais aussi de Teilhard de Chardin, Pascal, Diderot, Renan, Péguy, les prophètes qui ont nourri les artistes de leur pensée et les ont libérés dans l'exercice de leurs talents. L'esprit français a aussi ses interdits. Ne jamais être lourd... Ne pas faire le besogneux... Comment plaire, sinon ? Au fil des pages, ce dictionnaire rappelle que le goût des belles choses a un prix, qu'un tel bonheur ne vient pas sans facture. À défaut, l'esprit français ne serait pas ce qu'il est... Sans vouloir transformer un pays qui, c'est heureux, n'est pas transformable, on pourrait peut-être imaginer, ça et là, quelques mesures aptes à diminuer le montant de l'addition. À l'heure où chacun s'interroge sur la délicate question de l'identité du pays, ce dictionnaire rappelle combien l'esprit français est un cadeau.
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L'histoire est connue et l'affaire insolite. Un matin d'été de l'année 1911 à Paris, un vol est déclaré au Louvre  : celui du portrait de La Joconde. Tandis que la police ratisse la capitale pour retrouver le coupable, un certain Géry Pieret, voleur et fanfaron, déclare dans Paris-journal être l'auteur du crime et ne pas en être à son premier. Il aurait aussi volé au même musée d'autres œuvres, dont deux têtes ibériques datant du Vème siècle avant Jésus Christ, qu'il aurait revendu à un peintre parisien. Or si l'audacieux ne donne pas de nom, quiconque sait que Pieret fut un temps le secrétaire de Guillaume Apollinaire pourra déduire que le dit peintre n'est autre que Pablo Picasso. Voilà le peintre mouillé, alerté par son ami poète, et le décor planté. Le roman peut commencer.Imaginez à présent Guillaume Apollinaire et Pablo Picasso en cavale dans Paris, une valise en carton à la main, passant de lieu en lieu pour essayer de se débarrasser des deux têtes qui inspirèrent les célèbres Demoiselles d'Avignon et qui manquèrent de les envoyer en prison, ou pire, de les faire expulser de France. Après avoir renoncé à les jeter sous le pont Mirabeau, et déclamé quelques vers, ils se rendent chez Le Douanier Rousseau, trop occupé à jouer à cache-cache avec un lion pour que lui soient confiés les trésors. Les deux compères repartent vers La Rotonde. Et nous voilà avec eux embarqués dans une balade imaginaire à travers Paris, où l'on croise tour à tour Utrillo, Max Jacob, Soutine, Modigliani, Marie Laurencin ou Chagall, où l'on rend visite à Matisse, Jarry ou Gertrude Stein, et ainsi quatre jours durant. Avant l'arrestation finale. De la Rotonde au Vésinet, en passant par Montmartre et le fameux Bateau-Lavoir, on suit Dan Franck, véritable personnage du roman, narrateur omniscient et tout puissant qui fait fi de la chronologie avérée pour mêler les anecdotes, brouiller les repères chronologiques et nous faire traverser les vies du poète et du peintre en même temps que la...
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«  Sur le bateau, dans les yeux épuisés de ma mère, je vois les bottes françaises, les tirailleurs français, les soldats de la pacification ; dans ceux de mon père silencieux, la traîtrise d'avoir manqué à son pays pour survivre en France. Ils sont vivants et veulent être heureux là-bas, là-bas d'où venaient ceux qui les ont mis à genoux au pied des Aurès.  »Dans ses  montagnes berbères, Vendredi, l'effrontée, cabriole parmi les chèvres pour faire rire son père adoré et subit à la maison l'œil redoutable et la main leste de sa mère. Jusqu'au jour où on la marie à un homme qui lui répugne et l'emmène vivre de l'autre côté de la Méditerranée. A seize ans, désespérée d'être enceinte, elle accouche d'une petite fille à qui elle portera un amour étonné et brutal.Impasse Verlaine, en Auvergne, la fille de Vendredi remplit les dossiers administratifs pour la famille et les voisins, fait des ménages avec sa mère, arrive parfois en classe marquée des coups reçus chez elle. En douce, elle lit Dostoïevski et gagne des concours d'écriture, aime un Philippe qui ne la regarde pas et l'école qui pourtant ne veut pas voir la violence éprouvée.C'est l'histoire de deux enfances cruelles et joyeuses, l'histoire d'une mère et de sa fille liées par un amour paradoxal. Un récit unique et universel où l'humour côtoie la poésie dans un élan d'une vitalité impérieuse et magnifique.
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  Quelque part vers le centre de l'Australie, la cité minière de Salinasburg s'étale en bordure du désert. Tout au bout, une petite maison de bois se cache dans un jardin à l'abandon. Deux femmes se racontent depuis cet endroit que les Aborigènes nommaient « le lieu d'où les morts ne partent pas ».  Tout commence dans les années 30. Ann, née dans la bonne bourgeoisie de Sydney, choisit contre l'avis de sa famille de suivre son mari aux confins du désert. Elle aura toute sa vie le projet fou d'y faire pousser un parc luxuriant. Soixante-dix ans plus tard, une jeune Française, Valérie, dirige un festival d'art contemporain dans la même région reculée. Sur un coup de coeur, elle s'installe dans une maison décrépie mais envoûtante, entourée de plantations désormais  délaissées. Valérie est très inquiète pour sa petite fille Elena. A trois ans, Elena ne se décide pas à parler. Après sa mort solitaire, Ann veille secrètement sur ce qui reste de son jardin et sur ses nouveaux habitants....  Si éloignées, si dissemblables, Ann et Valérie affrontent toutes deux l'adversité et trouvent un vrai réconfort là, au bout du monde. Et bien qu'elles ne puissent se connaître ni même se croiser, elles se rencontrent par-delà les années dans cet envoûtant coin de verdure. Un havre de liberté. Un jardin à soi. 
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Une femme rencontre un homme, ils s'aiment. Ils ont la vie de tout le monde. Un couple, un enfant, une certaine lassitude qui n'est pas désagréable, aussi. Un jour, Dan annonce qu'il va voir ses parents aux Etats-Unis. Seulement voilà, il n'y va pas. Il disparaît même complètement de la vie de la narratrice.Quinze ans après, l'obsession de la disparition s'étant émoussée, leur fille ayant grandi, d'autres hommes étant entrés dans sa vie, elle tente de gérer l'inexplicable. Peut-on vivre avec un fantôme  ?    
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«  L'autre jour, ma fille m'a demandé si on pourrait te voir quand tu ne seras plus morte. Elle est encore petite, tu sais, alors elle a insisté - et pourquoi ton cœur s'est arrêté, et pourquoi tu es morte dans ta salle de bain... Mourir à 33 ans, elle ne comprend pas, et elle a peut-être senti dans ma réponse mon aversion à parler de toi, à penser à toi. J'avais tout emmuré mais te revoilà sans cesse…  »  Il aura fallu trente ans pour que Clémentine Autain écrive sur sa mère, la comédienne Dominique Laffin, morte en 1985. Clémentine en avait 12 et déjà un long et douloureux chemin avec cette mère en souffrance, égarée, incapable de prendre soin de sa fille. Clémentine Autain s'est construite en fermant la porte aux souvenirs, en opposition avec cette mère dont, petite fille, elle avait parfois dû s'occuper comme d'un enfant. Aujourd'hui, elle n'occulte rien, dit avec justesse le parcours tragique d'une femme radieuse et brûlée, passionnée de vie, actrice magistrale, féministe engagée mais dévorée par ses angoisses et prise au piège d'une liberté dangereuse.Dites-lui que je l'aime  : dans ce récit poignant dont le titre rappelle le film éponyme, Clémentine Autain rend justice à une figure oubliée des uns, culte pour les autres. Elle retrouve ce qu'elle lui doit, son féminisme, sa propre maternité peut-être. Et malgré l'âpreté des souvenirs, elle écrit un récit d'une grande douceur, une lumineuse lettre d'amour.
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Voici l'Assemblée nationale et ses paradoxes, de l'hémicycle, où des représentants aussi divers que Marie-George Buffet et Patrick Balkany votent les lois, jusqu'à ses recoins les plus cachés, où se font les petits arrangements entre amis – et parfois entre ennemis.Cet auguste Temple de la Loi serait-il une cour d'école ? Chaque parti y joue au plus malin en soumettant des centaines d'amendements aux textes qu'il ne veut pas voir passer, chaque député y ruse, et l'insulte y est un art finissant par suppléer à toutes les rhétoriques. Ceci, pourtant, avec un but commun : aboutir aux meilleures lois possibles.Dans cette population de 577 personnes (dont à peine un quart de femmes…) qui vit quasiment en autarcie avec ses codes, son bureau de poste, son coiffeur, ses cris du cœur et ses coups de gueule, les débats-marathons s'achèvent parfois au petit matin quand les députés, la chemise chiffonnée, appuient sur le bouton qui régira la vie de 66 millions de Français.
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La Villa Kérylos, c'est une célèbre maison de la Côte d'Azur, construite au début du xxe siècle par Théodore Reinach, le frère de Joseph et Salomon. J, S, T. Je Sais Tout. Ces trois inséparables frères, aussi moustachus qu'érudits, ont fait de cette maison tout entière décorée en style grec, la caverne aux trésors de l'érudition française. Elle a permis à Achille de sortir de son milieu. Il découvre ainsi un monde de rêve et de poésie.Achille. Quel Achille ? Mais bien sûr, le fils de la cuisinière des voisins, les Eiffel ! À force d'études, il est devenu presque aussi savant que ses trois hôtes. Dans son grand âge, bien des années ayant passé, il revient à Kérylos. Pièce après pièce, il va à la redécouverte de son passé. Une porte s'ouvre sur Alexandre le Grand ; une autre, sur le Mont Athos ; une autre, surtout, sur Ariane, son si cher amour…
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Août 1914, il n'y a plus d'hommes à Paris. Les femmes s'organisent. Dans une jolie maison, à l'orée du bois de Boulogne, Colette, la romancière, la journaliste célèbre, fait venir ses amies les plus proches. Toutes appartiennent au monde de la littérature et du spectacle. Il y a Marguerite Moreno, la comédienne. Annie de Pène, la chroniqueuse et « presque sœur ». Musidora dite Musi, bientôt la première vamp du cinéma…Ces quatre femmes libres s'inventent une vie tendre, pleine de rêves et de douceur : les cheveux courts et sans corsets, elles n'oublient pas le ciel de Paris où passent les dirigeables, ni leur travail, ni les hommes. Elles vont vers l'être aimé, quel qu'il soit. Au cœur de l'histoire, sanglante et sauvage, elles affirment leur personnalité, leur tendresse et leur insoumission.Avec sensualité et talent, Dominique Bona raconte les passions de ces femmes libres, qui resteront amies jusqu'à la mort. 
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Caché par des arbres centenaires, protégé par des dizaines de caméras à infrarouge, le petit palais est invisible. Ce qui se trame au fond du parc de Versailles nous échappe : la royauté a des charmes que la démocratie ignore…Ceux qui ont été invités à La Lanterne affectent d'avoir tout oublié. François Hollande lui-même, pourtant prolixe, fait répondre qu'il peut parler de tout, tout… sauf de La Lanterne, le lieu le plus secret de la République.Quand ils s'y installent, nos élus se croient à l'abri des regards. Maîtresses, courtisans, copains, chanteurs, argent liquide et toiles de maître, ils s'adonnent ici à mille caprices, abusent de leurs privilèges et s'enivrent de ne pas avoir à rendre compte.Dans ce décor charmant, les personnages s'appellent Cécilia et Carla Sarkozy, Valérie Trierweiler et Julie Gayet, François Mitterrand, Jacques Chirac, André Malraux, sans oublier les jardiniers, serveurs, cuisiniers et gardes du corps. Les réveillons du président, les serviettes armoriées pour les amis, les visiteurs du dimanche, et les draps blancs froissés au petit matin… Cinquante ans de vie politique française dévoilés.
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Un père peut-il être un homme comme les autres ? Metin Arditi évoque le souvenir du sien, mort il y a vingt ans. En pélerinage dans les Grisons, où son père aimait aller, à sa table de travail, dans un bar d'hôtel, Metin Arditi rappelle à lui les souvenirs. Au fur et à mesure qu'ils reviennent, le portrait se précise, le non-dit s'entend, la vérité affleure.Revenant à son enfance stambouliote, il retrouve son père avec des yeux de petit garçon ébloui : un homme toujours élégant, admirable et admiré, héros d'une famille juive cosmopolite. Il revit ses onze années d'internat en Suisse, un inoubliable amour d'adolescent avec Géraldine Chaplin, les leçons de sagesse offerts par ce père qu'il voyait à peine, et notamment : « Les livres, c'est autre chose. » Au fil de l'écriture, il revient sur l'éloignement et ses déchirures, l'affrontement sur la question juive, et la quête de l'estime d'un père qu'il continue de chercher après sa mort.Un récit bouleversant, d'homme à homme.
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Montmartre, 1909. Masseïda, une jeune femme noire, erre dans les ruelles de la Butte. Désespérée, elle frappe à la porte de l'atelier d'un peintre. Un vieil homme, Théophile Alexandre Steinlen, l'accueille. Elle devient son modèle, sa confidente et son dernier amour. Mais la Belle Époque s'achève. La guerre assombrit l'horizon et le passé de la jeune femme, soudain, resurgit…Minuit, Montmartre s'inspire d'un épisode méconnu de la vie de Steinlen, le dessinateur de la célèbre affiche du Chat Noir. On y rencontre Apollinaire, Picasso, Félix Fénéon, Aristide Bruant ou encore la Goulue… Mais aussi les anarchistes, les filles de nuit et les marginaux que la syphilis et l'absinthe tuent aussi sûrement que la guerre.Ce roman poétique, d'une intense sensualité, rend hommage au temps de la bohème et déploie le charme mystérieux d'un conte. 
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Deux jeunes gens sortent sonnés de la Grande Guerre. L'un, Ernest Schoedsack, a filmé l'horreur dans la boue des tranchées  ; l'autre, Merian Cooper, héros de l'aviation américaine, sérieusement brûlé, sort d'un camp de prisonniers. Ils  se rencontrent dans Vienne occupée, puis se retrouvent à Londres où naît le projet qui va les lier pour la vie. Comment dire la guerre  ? Comment dire ce puits noir  où l'homme s'est perdu – et peut-être, aussi, révélé  ? Pas de fiction, se jurent-ils  : le réalisme le plus exigeant. S'ensuivent des aventures échevelées  : guerre russo-polonaise, massacres de Smyrne, Abyssinie, épopée de la souffrance en Iran, tigres mangeurs d'hommes dans la jungle du Siam, guerriers insurgés au Soudan…Leurs films sont à couper le souffle. On les acclame  : «  Les T.E.  Lawrence de l'aventure  !  » lance le New York Times. Eux font la moue. Manque ce qu'ils voulaient restituer du mystère du monde. Déçu, Cooper renoncera quelque temps – pour créer avec des amis aviateurs rien moins que… la Pan Am  ! – avant d'y revenir.Ce sera pour oser la fiction la plus radicale, le film le plus fou, pour lequel il faudra inventer des techniques nouvelles d'animation. Un coup de génie. Une histoire de passion amoureuse, mettant en scène un être de neuf mètres de haut, Kong, que l'on craint, qui épouvante, mais que l'on pleure quand il meurt… Le film est projeté à New York devant une foule immense, trois semaines avant qu'Hitler ne prenne les pleins  pouvoirs.Sur un air de jazz mélancolique ou joyeux, entre années de guerre et années folles, Michel Le Bris nous offre une fresque inoubliable. On y  croise des êtres épris d'idéal, des aventurières, des héros, des politiques, des producteurs, des actrices, et bien sûr un immense  singe que l'on aime craindre et aimer, moins sauvage que l'homme… 
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1949  : Josef Mengele arrive en Argentine.Caché derrière divers pseudonymes, l'ancien médecin tortionnaire à Auschwitz  croit pouvoir s'inventer une nouvelle vie à Buenos Aires. L'Argentine de Peron est bienveillante, le monde entier veut oublier les crimes nazis. Mais la traque reprend et le médecin SS doit s'enfuir au Paraguay puis au Brésil. Son errance de planque en planque, déguisé et rongé par l'angoisse, ne connaîtra plus de répit… jusqu'à sa mort mystérieuse sur une plage en 1979.Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet, trente ans durant  ?La Disparition de Josef Mengele est une plongée inouïe au cœur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d'opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l'argent et l'ambition. Voici l'odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre.
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