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«  J'ai la satisfaction de pouvoir t'annoncer enfin, qu'à l'aide du perfectionnement de mes procédés je suis parvenu à obtenir un point de vue tel que je pouvais le désirer (…) L'image des objets s'y trouve représentée avec une netteté, une fidélité étonnantes, jusque dans ses moindres détails, et avec leurs nuances les plus délicates.  »Nicéphore Niépce  «  Messieurs, je viens vous annoncer une bonne nouvelle  : la voix humaine s'écrit elle-même.  »Édouard-Léon Scott de Martinville  En capturant l'image et en reproduisant le son, les inventeurs de la photographie et de la phonographie ont changé le monde. N'ont-ils pas pris le risque, aussi, de ressusciter les morts  ? Sinon, par quel maléfice Nicéphore Niépce et Scott de Martinville ont-ils été privés de la gloire et de la fortune qui leur étaient promises  ?C'est le mystère de cet empêchement, caché dans leurs vies intimes, que dévoile ce roman.
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Une sélection de 17 textes très rythmés, poétiques et grinçants, qui racontent avec humour les choses et les rêves de la vie : un départ en "ouiquenne", "you spique angliche", le zizi perpétuel, etc. ©Electre 2021
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VNR

Le livre s'ouvre sur le monologue fou et halluciné d'un homme qui explique à un autre, qu'on devine son otage bailloné, les raisons de sa colère. Le lecteur, attrapé par les cheveux, saisi d'effroi, est placé d'emblée dans la situation d'une victime muette qui cherche à comprendre ce qui se joue dans ce huis-clos.Petit blanc mâle quinqua sans emploi, rejeté par ses enfants et quitté par sa femme, Alain est un homme « en fin de droits », qu'il s'agisse de son assurance chômage ou de sa vie conjugale.Il a décidé de se venger des trois personnes auxquelles il estime devoir sa chute: le cadre sup qui a harcelé sa femme au travail ; l'homme politique responsable de la délocalisation des industries de la région et de l'effondrement de sa ville ; la psychologue qui a introduit des idées d'émancipation féministe dans le cerveau de son épouse.Chacun à leur tour, Alain va les enlever et les séquestrer, bien décidé à leur faire passer une mauvaise nuit. Leur dernière. Seulement voilà, comme il le dit lui-même, Alain n'a pas « pris option serial killer au bac ». Sa mise en application du hashtag #KidnappeTonPorc s'avère donc moins simple que prévu. Tout à la fois opéra grand guignol en trois actes, stand up de l'assassin sous forme d'un long monologue adressé à ses différentes victimes, one-man show du bourreau, hommage aux pulps qu'il détourne et allusion affectueuse aux poissards absolus de David Goodis et aux psychopathes débonnaires de Jim Thompson, VNR ajoute une nouvelle couleur, plus grinçante, plus sombre et plus sociale, à la...
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« L'origine de ce livre tient dans une entreprise un peu folle : traverser l'histoire de la culture française, à la radio, en quarante modules de trois à quatre minutes. Notre point de vue ? Celui de praticiens de la culture, champ dans lequel nous avons œuvré durant toute notre vie professionnelle, et même au-delà. La perspective ? Non pas embrasser en vain toute l'histoire de la civilisation française, mais sélectionner quelques évènements majeurs qui nous marquent encore aujourd'hui. Du Serment de Strasbourg à la Galerie des glaces, de la naissance de La Marseillaise aux immeubles avant-gardistes de Le Corbusier, des premiers films de Méliès au cinéma de la Nouvelle Vague, nous avons essayé de mettre en lumière les moments forts qui ont fait de notre culture ce qu'elle est : un patrimoine vivant qui brille par de-là nos frontières. » Dans cette Brèves histoires de la culture, Jérôme Clément et Jean Rozat nous invitent à découvrir et redécouvrir les grands chapitres de notre roman national. Un ouvrage idéal pour se cultiver sans en avoir l'air.
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Mon premier raconte l'histoire d'une bande de faux-monnayeurs – petits truands, trafiquants en tous genres, caïds de la haute – que leurs femmes et leurs compagnes, souvent exceptionnelles, ne sauveront pas.Mon deuxième décrit l'aventure du scénario de la série télévisée qu'un écrivain, sollicité par une grande maison de production internationale, construit à partir de l'enquête qu'il mène sur le terrain à Marseille.Mon troisième nous fait pénétrer dans les coulisses d'un tournage mouvementé.Mon tout est un roman virtuose à double face : d'un côté, l'efficacité implacable du thriller ; de l'autre, l'arrière-monde de la création où le magicien s'amuse et nous enchante à révéler ses ficelles.Pile le réel, face la fiction ?Pas si simple : les faux-monnayeurs ne sont pas toujours ceux que l'on croit…
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Ce livre est le premier récit intime de Marc-Olivier Fogiel sur un sujet qui lui tient à cœur et tient toute la société française en haleine, la gestation pour autrui. Avec son mari François, il est devenu père de deux petites filles nées d'une GPA éthique aux États-Unis. Il nous raconte les origines de cette décision, comment il a dépassé ses propres a priori et pris le parti de la famille. Les obstacles. Les inquiétudes. Les joies. Si le père de famille est un aventurier du monde moderne, comme l'a dit un penseur, être père par GPA est une aventure avec plus d'obstacles qu'aucune autre, et d'autant plus de bonheurs.Père, et mère. Hétérosexuel, gay, ou lesbienne. Il n'existe pas de modèle, qui ferait de la GPA un mode de procréation pour «  bobos  », comme disent ceux qui méprisent. Et voilà pourquoi ce livre est bien plus qu'un récit intime. Marc-Olivier Fogiel est allé à la rencontre de dizaines de Français, hommes et femmes de toute condition, à Paris et en province, pour raconter «  d'autres GPA que la mienne  », comme il dit. Loin des fantasmes, voici des faits. Un livre qui permet de se faire une opinion en connaissance de cause. Ecoutez les histoires de Jules et d'Alexandra, enseignants, de Mathieu, célibataire, et de Thierry et Pascal, qui vivent ensemble, de tant d'autres…Personnel et pédagogique, compatissant et combatif, dépassionné et passionnant, voici un livre majeur pour une société détendue – et qui l'est déjà plus qu'on ne veut bien le croire.  
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Jézabel Thevanaz,  jeune professeure de mathématiques,  doit quitter les cimes paisibles de la Haute-Savoie  pour se rendre au Canada. Son père, ancien pasteur et horloger amateur, lui a fait jurer, sur son lit de mort, d'aller porter à un ami au Québec la montre qu'il a conçue. Une pièce unique dont la caractéristique n'est pas de donner l'heure mais de détruire le temps.Alors que Jézabel  survole le Groenland, l'avion est pris dans une effroyable tempête. Forcé de dévier sa trajectoire, l'appareil se pose dans un aéroport de fortune, perdu  au nord des Etats-Unis. Il fait nuit noire,  la neige, épaisse et lourde, tombe drue. Résignée, la jeune femme  trouve refuge au Plazza : Un vieil hôtel aux proportions immenses,  tortueux comme une cathédrale.  Brisée par la fatigue, Jézabel y loue une chambre, croyant pouvoir repartir dès le lendemain.  A son réveil, le cauchemar commence. On lui annonce qu'elle n'a pas séjourné au Plazza pendant un jour mais... un an!Parviendra-t-elle à retrouver la liberté ? La supportera-t-elle ? Aura-t-elle vraiment été cloitrée un an, une nuit ?Le lecteur n'en sait pas plus que le personnage, perdu dans cet univers d'inquiétante étrangeté.
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Comment un magicien malfaisant qui transforme les animaux se trouve pris à son propre piège et ramené à de meilleurs sentiments. Avec, en filigrane, une réflexion sur le respect de la nature.
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De Simone Veil, on réduit trop souvent la biographie à quelques dates phares, dont, évidemment, celles du débat sur l'IVG, en 1974. De même de son image et des rares signes électifs qui l'incarnent aux yeux des Français  : un chignon fidèle qu'elle n'acceptera de défaire qu'une seule fois en public, un immuable tailleur Chanel, dont ne varie que la couleur, un collier de perles porté sur une lavallière. A la différence sans doute des simplifications biographiques, cette austérité est délibérée. Elle est aussi comme la cuirasse d'une femme parvenue au sommet de l'Etat, soucieuse d'opposer à la curiosité du public et des journalistes une image qui n'offre aucune prise, aucune perspective personnelle.Tout au long de sa vie publique, Simone Veil a soigneusement protégé son intimité familiale et amicale. Antoine, son mari, apparaît parfois au cours de ses campagnes, mais toujours saisi comme une apparition «  officielle  ». De même de ses enfants, photographiés publiquement, par exemple au ministère de la Santé  juste avant les débats sur l'avortement, autour d'une table qui réunit la ministre et son cabinet.Certes, depuis sa retraite politique, avec le succès de ses mémoires, l'entrée à l'Académie française et la Panthéonisation, la multiplication des hommages de toutes natures, se sont multiplié les incursions médiatiques dans la sphère privée de celle qui est restée si longtemps une des personnalités préférées du public. Simone Veil ne s'y est jamais prêtée volontiers. Aujourd'hui, ses deux fils ont accepté pour la première fois que soient publiées autant de photographies pour la plupart inédites.Cet album fait  comprendre quelles étaient les racines de ses engagements, les figures familières, parents, frère et sœurs, enfants et petits-enfants, amis, lieux aimés où elle se ressourçait. Commentés par ceux-là mêmes qui lui furent si chers, ses deux fils, Jean et Pierre François.
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Tome :
3
Une nuit perpétuelle envahit Londres. L'étrange famille Ferrayor a laissé derrière elle les ruines fumantes de Fetidborough pour s'installer dans la capitale. Depuis leur emménagement, la jeune Eleanor et les Londoniens observent d'étranges phénomènes : des disparitions, des objets qui apparaissent, d'autres qui se transforment. Et cette obscurité qui règne à présent.La police est à la recherche des Ferrayor pour essayer d'éradiquer le fléau, et tous les moyens sont bons pour mettre la main sur ces dangereux personnages. Le jeune Clod va devoir choisir son camp, déchiré entre sa famille et les habitants de Londres, entre ses affreux semblables et la ville qui ne survivra pas aux ténèbres. À moins que la lumière ne vienne finalement d'un amour que Clod pensait enseveli… Dernier volume de la « Trilogie des Ferrailleurs », La Ville tient toutes ses promesses en concluant l'incroyable épopée de la famille Ferrayor. Après Le Château et Le Faubourg, Edward Carey déploie tout son talent d'écrivain et de dessinateur au service d'un univers inoubliable.
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«  Cela ressemblait moins que jamais à une jungle, ou alors une jungle froide, de bois et de boue, avec des animaux crottés, et des monstres de métal au loin, sous le crachin. Pas le genre qui fait rêver, avec les perroquets et les feuilles vertes et grasses, où on transpire dans une odeur d'humus. Une jungle du pauvre. Ici, il n'y avait pas un arbre, pas une feuille, pas de chaleur. Et aujourd'hui, c'était silencieux. Cette jungle qui avait été un chaos où des milliers de personnes vivaient, mangeaient, parlaient, se battaient, était devenue un désert, où ils étaient seuls, tous les six.Six enfants et adolescents dans une ambiance de fin du monde.  »
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«  Ce matin, je sors, plutôt pressé, et j'ai pas fait trente mètres, que paf… une rouge avec sa marmaille me rentre dedans au coin de la rue. Elle se casse la figure et me gueule dessus. Elle me dit que je l'ai fait exprès, que c'est une agression. En temps normal, on se serait excusés, j'aurais fait mon sourire de faux cul et tout serait rentré dans l'ordre. Mais non, je trouve rien de mieux que de lui cracher  : “fais pas chier sale rougeaude” et manque de pot, une passante qui arrive derrière moi a tout entendu. C'était puni par la loi du genre super sévère depuis les événements, à égalité avec viol de gamin ou presque. On était à trente mètres de chez moi, ils m'ont facilement retrouvé. Et là mes amis, mes problèmes ont commencé, et des vrais comme on n'en fait plus.  »Amédée Gourd est raciste. Il pense comme il parle. Mal.La société entreprend de le rééduquer.Grinçant par son sujet, ce roman tendre et loufoque met en scène un antihéros comme on en voit si peu dans les livres, et si souvent dans la vie.Une histoire d'amours ratées mais de haine réussie.Une fable humaine, trop humaine.   
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«  La vie est une hécatombe. 59 millions de morts par an. 1,9 par seconde. 158  857 par jour. Depuis que vous lisez ce paragraphe, une vingtaine de personnes sont décédées dans le monde – davantage si vous lisez lentement. L'humanité est décimée dans l'indifférence générale.Pourquoi tolérons-nous ce carnage quotidien sous prétexte que c'est un processus naturel  ? Avant je pensais à la mort une fois par jour. Depuis que j'ai franchi le cap du demi-siècle, j'y pense toutes les minutes.Ce livre raconte comment je m'y suis pris pour cesser de trépasser bêtement comme tout le monde. Il était hors de question de décéder sans réagir.  »  F.  B.Contrairement aux apparences, ceci n'est pas un roman de science-fiction.
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Traduit de l'anglais par Pierre Demarty.L'auteur a été invitée à prononcer le fameux discours de remise des diplômes aux étudiants de Harvard en 2008.J.K.Rowling a transformé ce rite de passage d'ordinaire convenu en une leçon de vie, conduisant son auditoire de l'époque, et tous les lecteurs futurs de ce livre, à méditer sur ce qu'est une vie réussie.Ce texte inspiré aidera chaque lecteur, à chaque âge et à chaque étape de la vie. Il puise directement aux sources de l'expérience de l'auteur elle-même dans ses jeunes années pour tirer avec acuité, ironie et émotion des leçons générales que tout individu   à la croisée des chemins, confronté à des choix vitaux,   appliquera à sa propre existence.L'auteur révèle ici les bienfaits insoupçonnés de l'échec et l'importance de l'imagination.  L'échec, elle l'a connu durant   la période la plus noire de sa vie  : sept ans après avoir obtenu elle-même son diplôme, elle s'est retrouvée divorcée, jeune mère célibataire, sans métier et sans argent, «  aussi pauvre qu'il est possible de l'être dans l'Angleterre contemporaine sans être sdf  ». Ce tunnel dont elle ne voyait pas la fin a forgé sa détermination à rebâtir son existence avec «  une grande idée et une vieille machine à écrire  »…Qui vit trop prudemment pour s' épargner l'échec ne connaitra que “l'échec par défaut”.  Quant à l'imagination, ce n'est pas seulement la faculté de création, mais le pouvoir d'empathie avec autrui- notamment les “damnés de la Terre”.Seules l'humilité et l'imagination de la souffrance de l'autre donnent accès à l'empathie, sans laquelle il n'est pas de vie bonne  :l' « agoraphobie mentale  » est une forme de complicité avec le Mal.«  Vous êtes responsables du monde qui vous entoure, vous êtes une super-élite  : c'est votre privilège, c'est aussi votre fardeau…  » conclut l'auteur à l'adresse de ces jeunes privilégiés auxquels elle explique “votre CV n'est pas votre vie!”Autant dire que ce bref vade-mecum est un grand livre de sagesse.
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Dans le cœur de Maria, il y a d'abord Marcus, son petit-fils de trois ans. Ensemble, ils guettent les oiseaux, collectionnent les plumes et s'inventent des mondes. À l'arrivée d'un deuxième enfant, les parents de Marcus font un choix radical. Nul ne saura le sexe du nouveau-né.  Ni fille, ni garçon, leur bébé sera libéré des contraintes de genre. Maria est sous le choc. Abasourdie, abandonnée, elle se débat pour trouver sa place et ses mots. Reste l'éblouissement de l'amour pour Marcus, restent les oiseaux dont les ailes les abritent. Mais pour combien de temps  ?
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«  Les fresques animalières des grottes ornées, miraculeusement préservées, nous disent la cosmologie du paléolithique supérieur  : durant vingt-cinq mille ans, sur un territoire immense, la représentation des grands animaux n'a pas varié. Pour peu qu'on échappe au diktat matérialiste, où un cheval ne peut figurer qu'un cheval, ce bestiaire des grottes apporte une réponse cohérente à l'effroi des hommes qui ne savaient rien sur le jour et la nuit, la course du soleil, la disparition et la réapparition par morceaux de la lune, les éclairs, l'orage, l'arc-en-ciel, la mort dont ils présumaient qu'elle n'était peut-être pas un arrêt. Le cheval, avant qu'on ne le «  domestique  » en le contraignant à tirer de lourdes charges, était la figure du soleil…Nous avons appelé «  évolution  » cette frise qui, partant du singe, conduit par «  désanimalisation  » successive à l'homme triomphant. Le secret des grottes ornées souffle à notre cerveau poétique une tout autre leçon  : et si la «  part animale  » était ce que l'homme avait encore de divin en lui  ?  » J.R. 
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Ce roman vrai est la pierre d'angle de la grande saga des Jardin. Après le portrait du père merveilleux (Le Zubial), du sombre grand-père (Des gens très bien), du clan bizarre et fantasque (Le roman des Jardin), voici l'histoire de la mère d'Alexandre. On y découvre une femme hors norme, qui ose tout, et qui s'impose comme l'antidote absolu de notre siècle timoré.Elle est dans les yeux de son fils l'héroïne-née, la tisseuse d'aventures, l'inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions – elle est le roman-même.Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la magicienne, hélas, n'est pas éternelle.Certaines femmes, pourtant, ne devraient jamais mourir.
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La vie de Mina Loy tient du roman autant que de la légende. Née dans l'Angleterre victorienne et morte dans l'Amérique des sixties, elle a traversé deux guerres, vécu sur trois continents et dans les plus belles villes, de New York à Paris en passant par Mexico, frayé avec toutes les écoles de la modernité, du futurisme au féminisme, connu, parfois aimé, les grands génies de son temps, Marcel Duchamp, Djuna Barnes, Joyce, Freud ou encore Picabia. Mariée jeune à un homme sans qualités, passionnément amoureuse du poète et boxeur Arthur Cravan qu'elle suivra, en pleine Première Guerre mondiale, jusqu'au Mexique où il disparaîtra en mer, elle aura quatre enfants dont deux mourront sans qu'elle les ait vraiment connus. Cosmopolite, intrépide et aussi seule que libre, elle fut poète, peintre, intellectuelle et essayiste, aventurière avant tout.Si Mathieu Terence n'eut rien à inventer pour livrer le portrait de cette héroïne contemporaine, il fallait son talent d'écrivain pour traduire toute sa fougue et sa modernité. D'une langue sensible et puissante, il écrit pour la première fois sa légende et nous offre, non une biographie, mais un récit haletant dans lequel on découvre la vie hors norme de cette femme d'exception.
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Trois générations de Cadjins, en Louisiane, entre 1893 et 1918... Par l'auteur de''La Vie Ripolin''et''La Dame de Berlin''. Prix Goncourt 1989.
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Tout le monde connaît le chef-d'œuvre d'Oscar Wilde tel qu'il a été publié en volume en 1891. Cette version diffère considérablement du manuscrit qu'il avait soumis quelques mois plus tôt au Lippincott's Magazine où le roman devait paraître en prépublication. Le directeur, par pruderie, l'avait sérieusement raboté, ce qui ne l'a pas empêché de provoquer un premier soulèvement d'indignation. Par la suite, Wilde a augmenté et remanié son roman, estompant ses passages les plus audacieux. La critique instruisait déjà son procès en immoralité. Il a fallu attendre 2011 pour que, en Angleterre, des universitaires rendent disponible le texte initial, avant les censures successives. C'est cette version que les Cahiers rouges publient pour la première fois en France. La trame reste inchangée. Dans le Londres fin de siècle, le peintre Basil Hallward tombe en adoration devant son modèle, le beau Dorian Gray. Leur chaste idylle commence, troublée par l'intervention d'un vieux camarade de Hallward, Lord Henry. Dandy hédoniste amoureux des bons mots, affichant avec insolence son homosexualité, il convainc Dorian de l'importance capitale de sa beauté. Un jour viendra où la vieillesse l'aura défiguré et plus personne ne le regardera. Horrifié, Dorian conclut un pacte faustien avec le portrait que Hallward a peint de lui : ce n'est plus lui que le temps abîmera, mais l'image du tableau. Le Portrait de Dorian Gray non censuré est encore plus délicieusement décadent et surtout plus ouvertement homosexuel. Le pouvoir érotique de Dorian est exacerbé, nombre de phrases rendent indubitable et intense la nature des sentiments de Hallward pour lui. On retrouvera bien sûr les saillies du spirituel Lord Henry, notamment le fameux : « De nos jours on sait le prix de tout, mais on ne connaît la valeur de rien. » 
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