Biographie de Christine de Pizan, née à Venise vers 1365 et décédée vers 1430. Veuve à l'âge de 23 ans avec trois enfants à charge, elle est contrainte de travailler pour vivre et assure sa subsistance en écrivant. Elle devient critique littéraire, historienne, poète, incarnant une féministe avant l'heure.
Louise et Madeleine. Deux écrivaines, deux générations. L'une écrit pour fuguer, l'autre fugue pour écrire. L'une débute dans l'écriture, l'autre n'écrit plus.À travers une correspondance intime, elles partagent leurs doutes face à la création et à leurs vies de femmes artistes, d'épouses et de mères. Être prête à décevoir, à déplaire, à oser dire ce que l'on pense et à faire ce qui doit être fait pour devenir – au-delà des injonctions, de la culpabilité, des injustices sociales et de genre – la personne que l'on devait être. Une ode à la transmission, à la nature et à la liberté qui pose la question brûlante : quand on a pris certains chemins dans la vie – travail, mariage, enfants –, a-t-on encore le droit d'être soi ? À travers cette amitié épistolaire, qui nous plonge dans les abîmes de la création et dans la solitude de la vie d'écrivain, Aurélie Valognes nous livre son roman le plus intime.
Le Prix du Quai des Orfèvres, fondé en 1946 par Jacques Catineau, est destiné à couronner chaque année le meilleur manuscrit d'un roman policier inédit, œuvre présentée par un écrivain de langue française.• Le montant du prix est de 777 euros, remis à l'auteur le jour de la proclamation du résultat par M. le Préfet de police. Le manuscrit retenu est publié, dans l'année, par les Éditions Fayard, le contrat d'auteur garantissant un tirage minimal de 50 000 exemplaires.• Le jury du Prix du Quai des Orfèvres, placé sous la présidence effective du Directeur de la Police judiciaire, est composé de personnalités remplissant des fonctions ou ayant eu une activité leur permettant de porter un jugement qualifié sur les œuvres soumises à leur appréciation.• Toute personne désirant participer au Prix du Quai des Orfèvres, peut en demander le règlement au :Secrétariat général du Prix du Quai des Orfèvres 36, rue du Bastion 75017 ParisSite : www.prixduquaidesorfèvres.frE-mail : prixduquaidesorfevres@gmail.comLa date de réception des manuscrits est fixée au plus tard au 15 mars de chaque année.
« On dit toujours qu'un sportif meurt deux fois : à la fin de sa carrière et à la fin de sa vie. Moi, je mourrai trois fois : à la fin de ma carrière, à la fin de ma vie et à la fin de ce livre. Adieu ma honte. » Ouissem a grandi dans une cité au soleil, à Aix-en-Provence. Espoir de la génération dorée du centre de formation du Toulouse Football Club, il gravit tous les échelons, jusqu'à disputer la Coupe d'Afrique des nations sous les couleurs de la Tunisie. Mais son homosexualité, contraire à sa religion et à son sport, le privera de la carrière professionnelle à laquelle il était destiné.Ce livre est celui que personne n'a jamais osé écrire. Dans un récit aussi intime que puissant, Ouissem Belgacem est le premier joueur à raconter de l'intérieur l'homophobie qui gangrène le football et à s'attaquer à l'un des derniers tabous de notre société.
Rassemble le journal d'une femme à l'écoute du monde : rencontres, lectures, réactions à l'événement, remémorations, notations intimes, piques et colères, nostalgies et joies. Son journal s'achève à quelques jours de sa mort, par une fête intime donnée pour les 60 ans d'un autre journaliste qui aura marqué sa génération, Serge July, patron de Libération.
Nathan Oliver, écrivain réputé, est retrouvé mort, pendu, au phare de Combe Island. Cette île au large de la Cornouailles, destinée au repos des VIP, abrite une fondation et son accès est très filtré et sécurisé. Chargé de mener une enquête, rapide et discrète, le commandant Dalgliesh, aidé de Kate Miskin et de Francis Benton-Smith, a très vite la certitude qu'il s'agit d'un crime.
Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu'à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu'elle ne déborde pas d'affection pour les personnes âgées. Et dire qu'elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d'imaginer qu'on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n'avait pas atterri là par hasard ? Et si l'amour se cachait là où on ne l'attend pas ?C'est l'histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire. C'est une histoire d'amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur. Un humour décapant, des personnages attachants et une profonde humanité.En le refermant, on n'a qu'une envie : celle de se délecter des petits bonheurs qu'offre la vie. Virginie Grimaldi passe son temps à écrire : de la liste des courses aux livres, en passant par son blog à succès.Auteur d'un best-seller irrésistible, Le Premier Jour du reste de ma vie, et lauréate du prix E-crire Aufeminin 2014, elle signe là un magnifique deuxième roman.
« Post-scriptum, c'est le démarrage d'une autre vie. C'est le début de ma vie avec Lou… de mon union avec Jacques Doillon… Kate qui était enfant dans le premier tome est maintenant teenager, Charlotte a neuf ans…C'est une autre ouverture, une autre balade, plus curieuse des autres, découvrant une trajectoire, des concerts, des tournées, des pièces de théâtre, voyageant, parfois m'attachant à des personnes qui n'étaient pas seulement mes parents, ma sœur Linda, mon frère Andrew, les enfants… Mais l'amour est toujours l'amour, peut-être même qu'il y en avait un autre dans cette vie vieillissante, dans mon cas solitaire, accompagnée par mes amis… Il me semble que j'ai plutôt navigué dans un optimisme absolument infondé. J'ai cessé d'écrire ce journal à Besançon le 11/12/13… en apprenant la mort de Kate… » Après les Munkey Diaries, qui retraçaient la vie de Jane Birkin de 1957 à 1982, ce second volume de son journal intime, débutant après sa séparation d'avec Serge Gainsbourg, traverse les années 1980 à 2000 avec une fantaisie et une grâce qui lui permettent de surmonter bien des épreuves. On retrouve avec bonheur une mère dévorée d'amour pour ses trois filles qui s'émancipent et entrent dans l'âge adulte, une amoureuse tiraillée entre passion, jalousie et nostalgie, une artiste engagée qui s'épanouit et enchante le monde entier.
Mourad quitte Nice pour enseigner à Montreuil. Loin de ses proches, il navigue entre ses élèves et son cousin Miloud, gigolo installé dans les beaux quartiers.
PRIX DU QUAI DES ORFÈVRES Le Prix du Quai des Orfèvres, fondé en 1946 par Jacques Catineau, est destiné à couronner chaque année le meilleur manuscrit d'un roman policier inédit, œuvre présentée par un écrivain de langue française.• Le montant du prix est de 777 euros, remis à l'auteur le jour de la proclamation du résultat par M. le Préfet de police. Le manuscrit retenu est publié, dans l'année, par les Éditions Fayard, le contrat d'auteur garantissant un tirage minimal de 50 000 exemplaires.• Le jury du Prix du Quai des Orfèvres, placé sous la présidence effective du Directeur de la Police judi ciaire, est composé de personnalités remplissant des fonctions ou ayant eu une activité leur permettant de porter un jugement qualifié sur les œuvres soumises à leur appréciation.• Toute personne désirant participer au Prix du Quai des Orfèvres peut en demander le règlement au :Secrétariat général du Prix du Quai des Orfèvres 36, rue du Bastion 75017 ParisSite : www.prixduquaidesorfèvres.frE-mail : prixduquaidesorfevres@gmail.comLa date de réception des manuscrits est fixée au plus tard au 15 mars de chaque année.
Les résultats de la recherche en sciences sociales sont unanimes à montrer que les personnes les plus décisives dans l'avenir d'un enfant, après ses parents, ce sont ses enseignants. Leur impact sur les générations futures est le plus grand levier politique pour lutter contre les inégalités sociales.Pour autant, trop souvent, ce rôle ne se reflète ni dans le débat public, ni dans les décisions politiques. Alors que près de 60% des dépenses éducatives sont consacrées aux enseignants, il est temps de se demander comment les politiques éducatives à leur égard contribuent à la perpétuation alarmante des inégalités scolaires en France.À rebours des discours réactionnaires et défaitistes, ce livre montre qu'il est possible, avec des politiques publiques volontaristes, de renverser la tendance. Il met à disposition du débat public, parents d'élèves, décideurs politiques, et aussi enseignants eux-mêmes, les tout derniers résultats de la recherche et en tire des pistes innovantes pour que les enseignants puissent enfin contribuer pleinement à la construction d'une école, et d'une société, plus justes.
« Il faut beaucoup aimer les chiens. Beaucoup, beaucoup. Beaucoup les aimer pour les pomponner. Sans cela, ce n'est pas possible, on ne peut pas les supporter. » À Dax, Eddy s'est bâti une solide réputation de toiletteur canin. Il prend non seulement soin des bêtes, mais aussi de leurs propriétaires, en majorité des femmes d'âge mûr. Elles adorent quand il les emmène danser à la Musardière, ou plus si affinités.Sa moustache affriolante ne laisse pas Maryse indifférente. Cette ancienne speakerine des années 80 croque la vie et les hommes à pleines dents. Mais le regard sombre de sa fille, Chloé, ne cesse de lui rappeler que tout dans son passé n'est pas paillettes et feux de la rampe, laissant transparaître une dangereuse rancœur... Un texte mordant à la plume incisive,où quand la rencontre entre trois personnes révèle le côté le plus chien de la nature humaine.Après Roland est mort, Je ne sais pas dire je t'aime, Une folie passagère et La Claque, Nicolas Robin nous transporte dans un nouvel univers haut en couleur, où les caniches abricot côtoient les teckels à poil long et leurs maîtresses avides de sensations fortes.
L'existence ordonnée et protégée du domaine de la famille Darcy ne saurait être troublée. Mais, suite à un drame, Lydia, la soeur d'Elizabeth, la maîtresse des lieux, et son mari Wickham débarquent à Pimberley, endroit qui leur était interdit à cause de leurs frasques passées. Avec eux s'invitent la mort et la suspicion. Une suite "criminelle" d'Orgueil et préjugés de Jane Austen.
« Bienvenue, cher visiteur, dans une nation fière et chargée d'Histoire. Quand vous reposerez ce guide, regardez autour de vous. Une nation n'est pas une terre. Une nation, ce sont ses habitants. » « Matthew Baker peint avec un œil avisé le mythe américain, entre usure et fantasme. Aussi bien dans leur forme que dans leur intention, ces nouvelles évoquent celles des grands fabulistes Italo Calvino, Luis Borges et Shirley Jackson. » Guernica Traduit de l'anglais (États-Unis) par Santiago Artozqui
Entre une mère et sa fille, l'amour reste toujours fragile. Entre bienveillance et malentendus, envie d'être ensemble et désir d'émancipation, portraits croisés d'une mère célibataire et de sa fille unique. D'abord fusionnelle, leur relation se distend quand l'école puis l'ascension sociale de la fille viennent heurter les rêves plus modestes de la mère. Un roman touchant, beau et émouvant sur l'amour filial, qui interroge les différences de classes, les notions de réussite et de bonheur, et qui pose surtout la question que nous avons tous dû affronter : peut-on grandir sans trahir ?
Que reste-t-il comme modèle pour les femmes, mon oncle ? À quel idéal féminin peuvent-elles prétendre ? Vierge ? Religieuse ? Mère de famille ? Et si la moitié de l'humanité ne se retrouvait pas dans l'un de ces trois modèles ?1589. Au coeur des tumultueuses guerres de religions qui secouent la France, Jeanne de Lestonnac perd son mari, le baron de Landiras. Dès lors, son entourage la presse de se remarier et de laisser la gestion de son domaine à un homme. Mais Jeanne va leur tenir tête : désormais elle sera maîtresse de ses choix et de sa vie. Tandis qu'elle fait ses premiers pas de femme indépendante, une série d'événements la confronte brutalement à la réalité de son époque. Jeanne se rebelle alors contre l'ordre établi malgré les menaces et les répercussions sur ses enfants. La nièce de Montaigne ne va pas seulement affronter ses contemporains, elle va aussi défier l'autorité de l'Église catholique et celle du roi de France dans l'unique but d'offrir aux filles une éducation que l'époque leur refuse.Actrice, réalisatrice et scénariste, Bénédicte Delmas s'attaque au cinquième art avec Jeanne, la rebelle de Dieu. Dans ce premier roman, Bénédicte Delmas reprend ses domaines de prédilection et nous fait découvrir un éventail de personnages féminins forts, dans une France encore marquée par les guerres de religion.