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En novembre 2019, en réaction à une révolte populaire, les dirigeants de la République islamique coupent la connexion Internet du pays. Ils massacrent à huis clos, en moins de trois jours, au moins 1 500 manifestants pacifiques. Depuis 1979, l'Iran est devenu l'un des pays les plus fermés au monde, et son régime l'un des plus dictatoriaux. L'économie est exsangue, les désastres écologiques accablent la population, par ailleurs ravagée par la Covid-19. La plupart des journalistes iraniens sont en prison et les femmes qui résistent à la domination religieuse sont réprimées. Privés de leurs droits fondamentaux, et en l'absence de libertés politiques, les Iraniens ont pour seul espace d'expression les réseaux sociaux. Le contrôle d'Internet est ainsi devenu un enjeu majeur pour les responsables politiques, obligés de s'en réapproprier les codes pour diviser la société. La mobilisation virtuelle annoncerait-elle un soulèvement populaire ? Mahnaz Shirali a mené l'enquête au cœur de ces réseaux sociaux. À la lumière de l'histoire et de la culture iraniennes, son analyse des réactions et des comportements des internautes révèle un peuple iranien bien différent de celui habituellement représenté dans les médias, et dont les récits semblent être autant d'appels à l'aide.
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Alors que notre société vieillit, nous avons un problème avec les vieux en général et les vieilles en particulier, soumises à une double injonction contradictoire : être authentiques et naturelles, mais rester minces et jolies. Si elles sont moins regardées, invisibilisées, mises de côté passé un certain âge, de nombreuses vieilles se découvrent en contrepartie une liberté nouvelle. Est-ce cette émancipation qui nous rend parfois méfiants vis-à-vis d'elles ? Pourquoi la peur de vieillir est-elle toujours d'actualité ? Mêlant témoignages, analyses historiques et sociologiques, références culturelles et réflexions de l'autrice sur son propre rapport à la vieillesse, Qui a peur des vieilles ? apporte un regard rafraîchissant sur une question politique toujours tabou et démonte les stéréotypes sur les femmes ménopausées.
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À la naissance de leur deuxième enfant, Sophie Adriansen et son mari ont fait un choix : elle continuerait à travailler, il deviendrait père au foyer. Ils trouvaient cette décision logique et confortable, la société leur a répondu qu'elle était radicale. De l'envie d'enfant à l'organisation de la vie domestique, en passant par la grossesse, l'accouchement et la dépression du post-partum, Sophie Adriansen décrypte les différents sujets auxquels sont confrontés les parents. Questionnant habilement la répartition genrée des rôles, les congés parentaux, le rapport au travail, la culpabilité maternelle, l'argent, le mode de garde ou encore la charge mentale, l'autrice ouvre des pistes de réflexion enrichissantes et nous invite avec bienveillance à nous interroger sur les multiples manières de faire famille. Sophie Adriansen a publié plus de 70 ouvrages de littérature jeunesse et générale, traduits en différentes langues et lauréats de nombreux prix littéraires. La maternité est le sujet de plusieurs de ses livres, dont La Remplaçante (First, 2021), roman graphique sur la dépression du post-partum qui a participé à briser le tabou sur ce sujet.
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Il n'existe aucun mot dans la langue française pour désigner la fratrie au féminin. Un oubli dont on peut aisément déterminer les causes : une fratrie uniquement composée de filles a longtemps été considérée comme un échec dans nos sociétés où la descendance passe par les fils. Pourtant, des Petites filles modèles à Kate et Pippa Middleton, de Simone et Hélène de Beauvoir à Venus et Serena Williams, des sept Pléiades antiques aux soeurs Halliwell de Charmed, les exemples héroïques et ordinaires sont nombreux. Sœurs rivales, complices ou sorcières : ce livre nous plonge dans un univers familier et mystérieux, plus politique qu'on ne le pense, où l'on entrevoit les prémices de la solidarité féminine. Par cette traversée à la fois intime et universelle, Blanche Leridon, elle-même cadette d'une fratrie de fi lles, explore un impensé du féminisme et se livre à une passionnante archéologie de la sororité.
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Médiocre : de qualité moyenne, qui tient le milieu entre le grand et le petit. La normalité, version péjorative, avec un arrière-goût de nullité. Pour Guillaume Meurice, ardent défenseur du 10/20, du « peut mieux faire », du « bof bof », la médiocrité est non seulement un mode de vie, mais aussi un formidable facteur d'émancipation. Elle autorise l'action sans la pression du résultat, pour le simple plaisir de se mettre en mouvement, pour la beauté du geste. Il faut la revendiquer en tant que résistance politique, car elle porte en elle le refus de la hiérarchie, de la compétition et du catéchisme capitaliste. À la fois manifeste en faveur de la contre-performance et anti-manuel de développement personnel, ce Petit éloge nous invite à accepter avec sérénité notre médiocrité. Décomplexant ! Guillaume Meurice est humoriste sur scène et à la radio, sur France Inter. Il est l'auteur de plusieurs romans dont Le roi n'avait pas ri (JC Lattès, 2021). Il est médiocre, comme tout le monde, mais il le vit plutôt bien.
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Ce récit-enquête illustré d'anecdotes culinaires historiques ou culturelles et de témoignages met en lumière les représentations sociales du lien des femmes à la nourriture, entre le rôle de cuisinière qui leur est assigné, le diktat de la minceur et les troubles alimentaires. ©Electre 2024
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