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Tristan Talberg, écrivain reconnu, se voit décerner le prix Nobel. Mais… il n'en veut pas. Misanthrope, en deuil d'une épouse aimée, il est pris de panique devant le vacarme médiatique provoqué par le prix et décide de s'enfuir de Paris. Réfugié chez des amis, traqué par la police qui pense à un enlèvement et par une meute de journalistes en quête d'un scoop, il doit encore fuir vers des horizons dont il ignore tout. Sur la route de Compostelle, il retrouvera le goût de vivre.Bouleversant et drôle à la fois, c'est le roman d'un amour fou où s'entrecroisent récit et lettres à une femme aimée. 
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« Ce livre, écrit au jour le jour pendant et après les attentats contre Charlie Hebdo et à l'Hypercacher, ne sort que deux ans après les événements : il fallait respecter le temps du deuil ; et me donner la faculté de suspendre celui de la réflexion. "Penser" les attentats est une gageure, parfois même un oxymore : le risque est soit de donner trop de sens à ce qui n'en a pas, soit de rater les étapes d'un processus plus complexe qu'il n'y paraît. Penser les attentats, c'est possiblement se tromper. Ce livre est un cheminement, une progression, une interrogation, un questionnement sur la radicalité, la radicalisation, la jeunesse, l'islamisation, la violence, le nihilisme. Autant de termes qu'on ressasse à longueur de journées sans jamais s'arrêter pour les creuser, les approfondir jusqu'à la nausée. Ce petit essai est obsessionnel : revenir à l'infini sur les actes, les causes, les effets, les acteurs, les conséquences, sans jamais se raturer, au risque même, çà et là, de se contredire. Les frères Kouachi, Amédy Coulibaly sont les tristes protagonistes d'un événement originel, matrice de tous les attentats qui suivirent : les notes et scolies rédigées à chaud et publiées maintenant, doivent se plaquer sur tous les attentats qui suivirent, et qui sortent tout droit, peu ou prou, de janvier 2015.Car ce qui me frappe à la relecture d'un texte rédigé il y a deux ans, c'est à quel point ce qui y était prévu est déjà advenu ou encore, hélas,  à advenir . Je n'ai donc rien censuré des passages prophétiques qui me donnent aujourd'hui le sentiment d'une réflexion rattrapée par le réel, au prétexte qu'ils pourraient être lus comme ayant été rédigés rétroactivement à partir du réel : on ne s'excuse pas d'avoir eu raison trop tôt. "Nous sommes en guerre" a dit le président de la République. Les écrivains ont toujours voulu dire la guerre. Je n'échappe ni à la règle, ni à la tradition. »Y.M.
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« Bonjour à tous, bonjour chers assistés, bonjour les patrons qui prennent des risques et bonjour les rentiers, les planqués, les gens de l'arrière, les salariés, ceux qui ignorent la compétition !Et si la France était un pays d'assistés ?« Ce magnifique pays d'assistés », c'est ainsi que nous voit The Guardian de Londres. Pays de fonctionnaires, de retraités, de profiteurs de l'État-providence. Certes, The Guardian reconnaît que grâce au système de Sécurité sociale il y a moins d'écart entre les riches et les pauvres en France qu'au Royaume-Uni ; mais ce système de providence étatique diminue notre esprit de conquête. Il faut redonner l'esprit d'audace à notre pays dit Jacques de Chateauvieux, un grand patron français du sucre et du pétrole. Refus du risque égale rente, égale peur ? Bureaucratie égal inefficacité ?Vraies ou fausses questions ? Elle sont au cœur des reproches des patrons, qui ne cessent de râler contre les formulaires qu'on leur demande sans cesse de remplir et contre cette bureaucratie… qui ne se laisse pas faire. »B. M. Ce mélange unique d'histoire économique, de liberté pamphlétaire, de traditions bousculées, de foucades, de bagarres utiles ou de mécontentements joyeux : c'est la parole de Bernard Maris ; et son regard incomparable. Mais oui, souriez, vous êtes Français ! Traversez notre beau et bizarre pays, comprenez-le, aimez-le, changez-le… 
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Revenant sur le concept de la mort de l'homme, cher à Michel Foucault et prôné par les tenants de l'anti-humanisme, le philosophe y oppose les idées de Camus et Platon, dont les sensibilités humanistes ont largement influencé son approche philosophique. Il réfléchit aussi sur la conséquence de la déconstruction de l'homme, de son âme, son corps et son sens, qui aboutit à la perte de son humanité.
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Un narrateur contemporain déniche chez un antiquaire un livre rare du xvie siècle : les Mémoires du peintre florentin Bronzino.Les enfances de l'artiste auprès de son maître Pontormo, les leçons de vie que lui prodigue ensuite ce casse-cou de Benvenuto Cellini, la manière dont Bronzino devient peintre officiel des Médicis tout en s'affranchissant habilement des contraintes : à travers la vie trépidante d'une génération de génies entravés, pourchassés, menacés de mort pour leurs pensées hérétiques ou leurs amours interdites, Dominique Fernandez peint à fresque une époque de violences où la férule des Médicis et les dogmes catholiques imposent aux créateurs un carcan qui les contraint à crypter, chiffrer, coder et contrefaire. Le lecteur est introduit dans cette « Société du mystère » qui contourne la censure et atteint au sublime par la transgression : l'envers de la Renaissance à Florence telle que le vernis officiel nous en a légué l'histoire.Au confluent de deux grandes passions de Dominique Fernandez, l'Italie et la peinture, cette autobiographie fictive, véritable roman de cape, d'épée et de pinceau, se situe dans la lignée de Porporino ou les mystères de Naples (Grasset, 1974, prix Médicis), de Dans la main de l'ange (Grasset, 1982, prix Goncourt) et de La course à l'abîme (Grasset, 2003).
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« C'est en compagnie de Montaigne et de son merveilleux essai sur les « Cannibales » que j'ai choisi d'écrire ce Journal philosophique – car c'est chez lui que j'ai trouvé un point d'appui très fiable pour mon éthique minimale. Au fil des semaines et des ans, j'ai ainsi esquissé un ensemble de réflexions sur les multiples significations du relativisme moral. Et j'y ai ajouté, entre autres, quelques considérations sur la prétendue « guerre des civilisations » ou sur la difficulté de transmettre les « valeurs de la République » dans une école infidèle à sa vocation.On y trouvera également, des observations irrespectueuses sur la tendance, chaque jour plus vive, à poser des limites à la liberté de création et sur la persistance des politiques autoritaires dans les affaires de sexe, de filiation et de procréation…Au fond, ce que j'ai voulu montrer dans ce Journal écrit au fil de l'actualité, c'est qu'il est possible de penser notre monde en évitant les deux maux qui frappent tant de bons esprits d'aujourd'hui : l'optimisme béat et le catastrophisme dépressif. »R. O.
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A force d'être invoquée, la laïcité se brouille. Dans cet essai précis, pédagogique et vivant, Caroline Fourest clarifie les lignes de fracture. Entre le sécularisme à l'anglo-saxonne et la laïcité à la française. Un face à face qui va jusqu'à la guerre culturelle. Le « Soft power américain », aidé par des intellectuels multiculturalistes ou néo-laïques, conteste notre modèle, laïque et républicain, l'accuse d' "islamophobie" et même de favoriser parfois le terrorisme….L'auteure apporte un démenti cinglant à cette propagande. Chiffres à l'appui, elle démontre que la laïcité française résiste mieux qu'on ne le dit au racisme et au radicalisme. De façon très synthétique, ce livre retrace l'histoire de cet équilibre, presque unique au monde, entre exigence républicaine et liberté de conscience, ayant abouti à la loi de 1905 et à  celle de mars 2004 sur les signes religieux à l'école publique. Loin des clichés sur cette loi présentée comme « d'exception », ce détour par l'histoire explique pourquoi la France et les Etats-Unis ont pris des chemins si différentes depuis leurs Révolutions. Caroline Fourest met aussi en cause, sévèrement, le rôle joué par certains sociologues du fait religieux, qui donnent une image déformante de notre laïcité pour mieux la renégocier… mais dans un sens « ouvert » au radicalisme qui monte…Elle dessine trois grandes familles se disputant selon qu'elles jugent le racisme ou l'intégrisme comme le danger prioritaire : les laïques (issus de l'esprit émancipateur de 1905), les accommodants (défendant un modèle plus ango-saxon) et les identitaires (instrumentalisant la laïcité contre l'Islam). Enfin, l'auteure propose un compromis ambitieux mais apaisé entre exigence et liberté, selon les « sphères de laïcité » : une laïcité ni fermée ni « ouverte », ni négative ni positive, ni accommodante ni identitaire, simplement fidèle à son histoire, faite d'exigence et d'équilibres, et d'un peu de ce « génie français » dont parlait Jean Jaurès.
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Le témoignage de l'auteure sur son handicap et sa volonté de vivre tout au long des années : à l'école, à Londres, en sortant dans des bars à Paris ou encore pendant ses études de communication.
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En racontant la vie et les aventures des dix-huit personnages qui se sont succédé au 29e fauteuil de l'Académie française depuis 1634, Amin Maalouf ne retrace pas seulement cette « généalogie en partie fictive » dont parlait son prédécesseur Lévi-Strauss ; il nous fait revivre de manière charnelle, incarnée, quatre siècles d'histoire de France.Si « un roman est un miroir que l'on promène le long d'un chemin », selon le mot de Stendhal, le roman de la France que nous relate ici l'auteur est une Légende des Siècles à partir d'un fauteuil.Son premier occupant se noie dans la Seine, Montherlant se suicide dans son appartement avec vue sur la Seine, et l'Académie elle-même siège dans un petit périmètre longé par la Seine, entre le Louvre et le quai Conti ; unité d'un lieu à partir duquel se déploie le kaléidoscope d'une histoire en train de se faire.Le pouvoir des rois et des cardinaux, des hommes d'épée et des négociateurs, l'autorité grandissante ou déclinante des philosophes et des savants, l'influence des poètes, des librettistes, des dramaturges et des romanciers : autant de visages de la gloire qui nous parlent des âges différents de la Nation.Les conflits d'idées et d'égos, les cabales pour faire trébucher Corneille, Voltaire ou Hugo, les intrigues de couloir et les histoires d'amour contrariées tissent la trame de cette si singulière histoire de France. On revisite ici la querelle du Cid et la révocation de l'Edit de Nantes, la Fronde et le jansénisme, l'expulsion des jésuites et l'émergence de la franc-maçonnerie, la Révolution de 1789, l'insurrection du 13 Vendémiaire et le coup d'état du 18 Brumaire, le Second Empire, la guerre de 1870 et la Commune de Paris, l'invention de l'anesthésie et celle des funérailles nationales, l'Affaire Dreyfus et les grandes guerres du XXe siècle...À partir d'un simple fauteuil, lieu de mémoire fragile et chaleureux posé sur les bords de la Seine, Amin Maalouf nous fait redécouvrir les riches heures du passé de la France, la...
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Pâques, 1991. Nicolas, un étudiant de 23 ans, roule en vélomoteur jusqu'à une plage déserte du cap Kalafatis, sur l'île de Mykonos. Barbara, même âge, y bronze très dénudée et apparemment seule. Il tente en vain de la séduire jusqu'à ce que José, un quinquagénaire de 90 kilos, débarque en planche à voile. Une relation étrange se tisse entre les membres du trio. ©Electre 2017
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« Quand j'ai rencontré Max Gallo en 1993, et quand il a chanté Bella ciao pour me séduire, je ne pensais qu'à l'amour, à la vie, et à la politique aussi – puisqu'elle nous avait réunis…L'âge ? La maladie ? Je n'y songeais guère. Je croyais même que ni l'un, ni l'autre, n'atteindrait jamais le colosse, l'historien prolixe, l'Immortel, que j'aimais…Je me trompais.Alors, quand la maladie s'est imposée, nous avons dû faire face à “Miss P”, comme l'appelait François Nourissier.Enfin, nous avons essayé, car le désespoir, chaque jour, était en embuscade.Puis je me suis mise à écrire, à raconter les choses comme elles sont.Avec mon désarroi.Avec ma sincérité… »M. G.
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Des Bronzés à Papy fait de la résistance, leurs films, leurs personnages et leurs répliques sont devenus cultes. Qui ne connait Jean-Claude Dusse, le kloug ou Le père Noël est une ordure ? Michel Blanc, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, sont aujourd'hui des stars du grand écran, mais c'est une bande de zozos anonymes qui créent pour commencer le Splendid' et son café-théâtre, avec un seul but : faire rire. Leurs premiers pas furent loin d'être faciles, et leur histoire est à l'image de leur amitié : hilarante et improbable.Gérard Jugnot raconte ici de son point de vue la formidable aventure de la troupe avec laquelle il a grandi, ri, appris et connu le succès. De son enfance dans une famille sans fantaisie aux bancs du lycée Pasteur où il a rencontré Clavier, Lhermitte et Blanc, de leur premier film amateur au Splendid' originel qu'ils ont construit de leurs mains, du Club Med aux Bronzés, il retrace la manière dont une bande de turbulents farceurs, à force de travail, de persévérance et de fou-rires, a réussi. Et il dit tout : la découverte précoce de sa vocation, les premiers spectacles joués dans des salles improvisées, leur apprentissage aux côtés de l'immense Tsilla Chelton,  leur rencontre avec Coluche et la famille du café-théâtre, en plein essor en ces années post-68 … mais aussi les échecs, les galères des petits rôles, les frictions et les doutes de chacun, à commencer par ceux de son propre père.Merveilleuse histoire d'amitié, traversée d'une époque oubliée et récit intime, ce livre révèle mille anecdotes inédites et savoureuses (les scénarios de films jamais tournés, les amours et les emmerdes…)En revenant avec tant de franchise mélancolique et de simplicité rieuse sur son enfance et sa carrière, Jugnot fait mouche : à l'écrit comme à l'écran, il nous fait passer du rire aux larmes.  
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Quand on avance dans la vie, il est une question qu'on ne peut plus, peu à peu, ne pas se poser : pourquoi est-ce que je continue de vivre ?Cette question, on peut la maintenir au niveau bas du développement personnel, affublé en « sagesse », et du marché du bonheur.Ou bien l'affronter philosophiquement pour y chercher une issue plus ambitieuse qui soit la promotion d'une « seconde » vie.Une seconde vie est une vie qui, du cours même de la vie, se décale lentement d'elle-même et commence de se choisir et de se réformer.Pour y accéder, il faudra penser ce que sont des vérités, non pas démontrées, mais décantées à partir de la vie même ; ou comment, de l'expérience accumulée, on peut à nouveau essayer ; ou comment la lucidité est ce savoir négatif (de l'effectif) qui nous vient malgré nous, mais qu'on peut assumer ; ou comment la vie peut ouvrir, non sur une conversion, mais sur une vie dégagée.Ou comment un second amour, fondé, non plus sur la possession, mais sur l'infini de l'intime, peut débuter.Puis-je, non plus répéter ma vie, mais la reprendre, et commencer véritablement d'exister ? F.J.
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Jamais, dans l'histoire du Festival de Cannes, qui soufflera en 2017 ses soixante-dix bougies, l'homme qui préside à la Sélection officielle n'avait ainsi tenu son Journal au jour le jour en vue d'une publication.De la clôture de Cannes 2015 à celle de 2016, voici une année dans la vie d'un boulimique qui aime aimer.Nous sommes conviés au cœur de la machine du plus important festival du monde : les équipes, le fonctionnement interne, le jury, les relations avec les critiques et les médias, mais surtout avec les artistes – scénaristes, réalisateurs, acteurs – du monde entier, les producteurs, les agents, les festivals concurrents, jusqu'à l'élection, à partir des mille huit cents films visionnés, de ceux qui feront la « Sélection officielle ».Nous sommes aussi au poste de pilotage de l'Institut Lumière de Lyon et à son festival Lumière, aux destinées desquels préside le même homme, qui nourrit pour sa ville de cœur une passion communicative.Mais au-delà de la communauté du cinéma qui trouvera ici un des plus beaux livres d'hommage au septième art et à ceux qui vivent dans son culte (les portraits qui émaillent le texte sont étincelants), le lecteur sera emporté par la diversité des curiosités et la puissance d'un style, tant ce Journal de mémorialiste est avant tout celui d'un grand vivant. On comprend mieux, au fil de ces pages, qu'il n'est de passion du cinéma que nourrie par toutes les autres.
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« Ce n’est pas seulement qu’elle mentait comme elle respirait, c’est qu’elle mentait pour respirer. Et cette manie n’a pas été pour rien dans l’attrait que tu lui as trouvé . » Comment inventer sa vie sans la perdre ? Quels fils mystérieux relient les êtres que l’on a pu aimer ? Peut-on sortir indemne de l’affolement général? Qu’est-ce que le syndrome du saint-bernard ? Mais surtout, qui était vraiment Farrah ?
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« Pour la première fois, en 2013, m'a été révélé le sens de mon prénom d'origine : Laurence ; qui signifie « l'or en soi » dans la langue des oiseaux. Prénom dont je décide de signer mes livres à venir. A quoi m'aura servi ce prénom de Lorette que j'ai porté tant d'années, sans pourtant qu'il fût mien ?Maintenant, je m'appelle Laurence. C'est mon prénom d'origine. J'ai réussi à ne pas l'égarer. J'ai tout perdu, mais j'ai retrouvé mon nom. »L. N.
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Sicile, 2020. Quatre ans auparavant, un virus a décimé la population adulte de toute l'Europe. Seuls les enfants sont protégés jusqu'à l'âge de la puberté. Anna se retrouve seule avec Astor, son petit frère de 4 ans. Elle doit affronter des cadavres, des charognards et des chiens errants et affamés pour tenter de trouver des médicaments, des bougies ou des boîtes de conserve. Mais Astor disparaît.
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Ils sont gardiens de la paix. Des flics en tenue, ceux que l'on croise tous les jours et dont on ne parle jamais, hommes et femmes invisibles sous l'uniforme.  Un soir d'été caniculaire, Virginie, Érik et Aristide font équipe pour une mission inhabituelle : reconduire un étranger à la frontière. Mais Virginie, en pleine tempête personnelle, comprend que ce retour au pays est synonyme de mort. Au côté de leur passager tétanisé, toutes les certitudes explosent. Jusqu'à la confrontation finale, sur les pistes de Roissy-Charles-de-Gaulle, où ces quatre vies s'apprêtent à basculer.  En quelques heures d'un huis clos tendu à l'extrême se déploie le suspense des plus grandes tragédies. Comment être soi, chaque jour, à chaque instant, dans le monde tel qu'il va ?
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« Je rencontrais une écriture qui crevait la surface protectrice de la vie pour toucher l'âme, le corps qui souffre ce qu'un être humain ne doit pas souffrir. Les mots peuvent dire ce qu'il est à peine supportable de voir, et de concevoir. Et ils peuvent ramener l'amour que Charlotte Delbo avait eu pour toutes celles, ceux qu'elle avait vu souffrir. La lucidité, la capacité de dire et d'écrire était là. Une langue pouvait rendre ce qui avait eu lieu. Le trou que faisait dans notre humanité la catastrophe d'Auschwitz, un écrivain me donnait le moyen de le raccommoder avec une œuvre qui en faisait le récit. Elle avait cherché la beauté de la langue dans le terrible des mots ciselés en arrêtes coupantes. Elle les disait avec la douceur qui prend quand l'au-delà de la douleur est atteint.Elle l'écrivait des années plus tard, ouvrait les images restées, elle interrogeait avec liberté les souvenirs au moment où elle les écrivait, elle découvrait la vie retrouvée ». G. D.collection littéraire dirigée par Martine Saada
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Le monde est mon langage est le tour du monde de la pensée et des émotions telles que la langue française les véhicule, par les gens les plus divers, célèbres ou inconnus, adolescents ou vieillards, haïtiens ou français. Alain Mabanckou les a rencontrés et nous les raconte, en une suite de portraits admiratifs et aimants. J.M.G. Le Clézio, un inconnu de La Nouvelle-Orléans, Sony Labou Tansi qui, au Congo, écrivait dans des cahiers à spirale devant deux posters du Che Guevara, bien d'autres encore. Ils ont ces mots en partage et ils les partagent. Leur langage est notre monde.
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