Keller est comme tout le monde : il travaille, il se repose, il va au cinéma et s’occupe sérieusement de sa collection de timbres. Quand on l’appelle pour siéger au tribunal en tant que juré, il fait son devoir de citoyen. Et si sa patronne l’appelle de White Plains pour aller tuer quelqu’un, jamais il ne rechigne et toujours s’acquitte de sa tâche avec les honneurs.
Jusqu’au jour où tout commence à aller de travers : un individu s’amuse -si l’on peut dire- à lui jouer de sales tours. Au début, Keller se montre patient. Puis, tout allant de plus en plus mal, il est bien obligé de se demander s’il est le seul tueur à gages à officier...
Plein d’humour, de jeux de mots et de considérations loufoques et souvent étonnantes sur la vie et la mort, Le Pouce de l’assassin est un des meilleurs romans de Lawrence Block dans la série Keller.