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Depuis son arrivée au pouvoir en 2013, Xi Jinping ne cache pas ses ambitions de puissance. Cependant, il peine à séduire la communauté internationale, notamment à cause de la gestion autoritaire de la Covid-19. Dès lors, il souhaite donner sa version de l'histoire de la Chine afin de présenter le pays comme l'acteur d'une mondialisation alternative à celle de l'expansion européenne.
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Comment définir le lien de la Corse avec la France et quel est son fil conducteur ? Pourquoi ces deux entités si disparates ont-elles uni leurs destinées alors que, culturellement parlant, la Corse était plus proche de l'Italie ? L'union entre la France et la Corse commence par le mariage forcé du traité de Versailles de 1768. Peu après, Bonaparte intègre la Corse à l'administration française. Le mariage forcé se transforme en mariage d'amour sous Napoléon III, qui entretient une relation personnelle avec l'île. Cette union perdure jusqu'à de Gaulle, dernier chef d'État admiré en Corse. La fin de l'Empire colonial et de l'Algérie française, où tant de Corses sont impliqués, marque les débuts d'une prise de distance avec la France. À la fin des années 1950, les insulaires se sentent délaissés tant leur région reste sous-développée. Durant les années 1970, un nationalisme aux multiples facettes prospère dans les esprits. Après des années de violence et de nombreuses réformes, la Corse acquiert un statut d'autonomie tandis que les nationalistes accèdent au pouvoir institutionnel en 2015. Si le leitmotiv de l'indépendance est loin d'avoir disparu, surtout parmi les jeunes, aucun projet crédible n'a été proposé à ce jour. Dans cet essai enlevé, Paul-François Paoli n'écrit pas l'histoire de la Corse française mais bien « une » histoire de la Corse française. Une histoire indéniablement subjective mais qui se veut aussi impartiale que possible.
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Une analyse de dix questions de politique internationale d'actualité telles que la puissance chinoise, les accords de Paris sur le climat ou encore la situation stratégique de la zone Méditerranée, pour tenter d'en saisir tous les enjeux.
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« Quand on a de tels alliés, on n'a pas besoin d'ennemis ! » constate Gérard Araud dans cette relecture inédite de l'entre-deux-guerres. Un regard passionnant sur cette période cruciale où la France, lucide et terriblement seule, se battait pour sauver la paix. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la France sort victorieuse mais épuisée, durablement blessée dans sa chair et sur son territoire. L'Allemagne n'accepte pas sa défaite et se sent humiliée par le traité de Versailles. L'Angleterre, qui a limité les pertes grâce à sa géographie, trouve que la France se plaint trop. Quant aux États-Unis, ils n'ont qu'une obsession: récupérer l'argent prêté. Et en ne ratifiant pas le traité, les Américains rendent caduque la sécurité de notre frontière. Le rêve de Clemenceau d'une entente à trois s'évanouit, trahi par ses alliés. C'est en diplomate que Gérard Araud retrace cette histoire, agrémentée de savoureux portraits : Poincaré, Briand, Berthelot, Lloyd George dont Clemenceau dit qu'il est « capable de mentir huit fois dans la même journée ! », Saint-John Perse, Keynes, Barthou ou Daladier. Il raconte les avancées, les reculades, les espoirs et les trahisons de chaque acteur jusqu'au précipice de la Seconde Guerre mondiale. Au moment où la guerre est de retour en Europe et où pèse l'ombre du passé, voici une formidable et nécessaire leçon d'Histoire.
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