Nous sommes en 1963, et Elisa Esposito survit tant bien que mal. Née muette, abandonnée par sa famille, elle travaille de nuit comme femme de ménage au Centre Occam de recherche aérospatiale.Un soir, elle surprend quelque chose qu'elle n'était pas censée voir : un homme amphibie prisonnier d'une cuve, qui doit être étudié par les scientifiques pour faire avancer la course à l'espace de la Guerre Froide. La créature est terrifiante, mais aussi magnifique – elle fascine Elisa. Utilisant la langue des signes, celle-ci établit une communication. Bientôt, la créature devient sa seule raison de vivre.Pendant ce temps, Richard Strickland, le militaire brutal qui a capturé la créature en Amazonie, envisage de la disséquer avant que les Russes ne tentent de s'en emparer.Elisa doit tout risquer pour sauver la créature. Avec l'aide d'une collègue qui souffre du racisme ambiant et d'un voisin malchanceux qui n'a plus rien à perdre, elle met au point un plan d'évasion. Mais Strickland ne l'entend pas de cette oreille. Et les Russes sont bel et bien sur l'affaire…Le fantastique, la romance et l'horreur s'entremêlent dans une histoire d'amour obsédante et tragique, qui a remporté le Lion d'or du meilleur film à la Mostra de Venise en 2017.« Un évident triomphe artistique, qui réunit les deux facettes du cinéaste : le poète ultra-sensible et l'entertainer universel. » Première« Plus que tout autre chose, cette histoire est une ode à l'idée que la liberté et la grâce peuvent être conquises, mais seulement après avoir brisé les chaînes de la défiance et de la peur. La Forme de l'eau nous entraîne dans un rêve profond. » Time« Ce joyau méticuleusement taillé est l'œuvre la plus réussie de Guillermo del Toro depuis Le Labyrinthe de Pan. » Hollywood Reporter« Un portrait tout en sensibilité des amours hors des sentiers battus, dont le côté transgressif n'entame ni le réalisme ni la force. » Vanity Fair« Vibrant et enchanteur. » Variety