Ces nouvelles parlent de fulgurance, de ces petits riens dont la blessure est d'autant plus profonde qu'elle paraît sans gravité. Elles survolent les instants de la vie ordinaire où soudain, un mot, un geste, un regard incite à la dérive.
Par un matin d'août, un équarisseur découvre dans une terrain vague le cadavre d'un travesti. Et pas n'importe lequel : l'homme était le directeur de la Banca di Verona. Une nouvelle enquête pour le commissaire Brunetti.