1794, Messidor, an II de la République. La malle-poste en provenance de Paris arrive au relais de Tue-Loup avec plus de trois heures de retard, sans conducteur, ni passagers et vidée de son courrier. Le maître de poste, Pancrace, apprend alors qu'il s'agissait de courrier confidentiel relatif aux mouvements des troupes de l'armée française à la frontière.