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Démonstration de la progression des inégalités dans nos sociétés, et de leur dangerosité pour la paix sociale, par le prix Nobel en économie (2001) J.E. Stiglitz.
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La crise mondiale, Joseph E Stiglitz, prix Nobel d'économie, l'avait annoncée. Aujourd'hui il démontre qu'elle est au système néolibéral ce que la chute du mur de Berlin, en 1989, fut à l'économie soviétique. Il ne s'agit donc pas d'y répondre dans le cadre exigu de nos références mais de faire un pas de côté et de la considérer globalement, jusqu'à la remise en cause des fondations qui l'ont rendue possible. Un document d'une importance majeure, par l'auteur de La Grande Désillusion et de Quand le capitalisme perd la tête.
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Initié par l'ONU, ce rapport écrit en collaboration avec quelques-uns des plus grands économistes du moment, considère que la crise n'est pas un accident, mais le résultat de fautes du secteur privé et de politiques mal orientées. Le rapport préconise un programme de changement stratégique pour une économie mondiale plus juste, stable et solidaire.
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Aujourd'hui, il existe une certaine conscience des limites des marchés. Les scandales des années 1999 ont jeté "la finance et le capitalisme de style américain" à bas du piédestal où ils se trouvaient depuis trop longtemps. Plus globalement, on a compris que la perspective de Wall Street, souvent à courte vue, était diamétralement opposée au développement, qui exige une réflexion et une planification à long terme. On se rend compte aussi qu'il n'y a pas une seule forme de capitalisme, une seule "bonne" façon de gérer l'économie. Il existe d'autres formes d'économie de marché (comme celle de la Suède, où la croissance est restée vigoureuse) qui ont créé des sociétés tout à fait différentes de celle des États-Unis, avec de meilleurs systèmes de santé et d'éducation et moins d'inégalité. Or, du moment qu'il y a des alternatives et des choix, ce sont les processus politiques démocratiques qui doivent être au centre des prises de décision, et non pas les technocrates. L'un des principaux choix auxquels toutes les sociétés sont confrontées concerne le rôle de l'État. Le succès économique nécessite de trouver le juste équilibre entre l'État et le marché. Quels services l'État doit-il fournir ? Quelles réglementations doit-il instaurer pour protéger les travailleurs, les consommateurs, l'environnement ? Il est clair que cet équilibre change avec le temps, et qu'il sera différent d'un pays à l'autre. Démontre que la mondialisation, telle qu'on l'a imposée, a empêché d'obtenir l'équilibre requis. Veux souligner cependant que rien n'oblige à ce qu'elle nuise à l'environnement, aggrave les inégalités, affaiblisse la diversité culturelle et favorise les intérêts des grandes firmes aux dépens du bien-être des simples citoyens. Une mondialisation choisie, bien gérée, comme elle l'a été dans le développement réussi d'une grande partie de l'Asie orientale, peut beaucoup apporter aux pays en développement comme aux pays développés.
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Recueil d'articles et d'essais sur les inégalités qui se sont creusées dans les pays développés, leurs conséquences économiques et politiques, le rôle des politiques de déréglementation et d'allègements fiscaux dans l'accroissement des inégalités, les politiques à mener pour conjuguer croissance et équité, etc.
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