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Ivan Denissovitch est maçon dans un goulag stalinien, comme l'était A. Soljenitsyne. L'exposé de 24 heures de sa vie est le point de départ d'une réflexion romanesque sur l'atemporalité de la réclusion, le rapport à la nourriture, à la souffrance, à l'endurance et au désespoir, qui constituent la survie dans son ensemble.
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Troisième volume de l'autobiographie littéraire d'Alexandre Sojénitsyne qui publie ici ses mémoires d'Occident, notamment les années qui ont suivi son expulsion d'URSS en février 1974. Anecdotes, portraits et polémique, il fournit également des éléments sur la conception et l'élaboration de son oeuvre.
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Récit en vers traduit du russe par Hélène Henry Composé au bagne entre 1948 et 1952 ce long poème autobiographique constitue une étape essentielle dans l édification de l'oeuvre en prose qu entreprendra Soljénitsyne une fois libéré. À l origine, la forme versifiée était destinée à favoriser la mémorisation : le texte sitôt composé était appris par coeur, puis détruit. Le poème suit le « chemin » emprunté par son jeune héros : son enfance à Rostov-sur-le-Don dans une famille pauvre et persécutée, sa « double foi », chrétienne par tradition familiale, communiste par éducation et conviction et, surtout, son engagement dans les combats de la Seconde Guerre mondiale, jusqu à son arrestation. Cette suite de portraits et de scènes décrivant une Russie stalinienne déchirée est aussi l amorce de la quête historique, culturelle, morale, spirituelle que poursuivra, sa vie durant, l auteur de l Archipel du Goulag. Figure emblématique de la dissidence sous le régime soviétique, Prix Nobel de littérature en 1970, Alexandre Soljénitsyne (1918-2008) est l auteur d une Suvre considérable, dont l Archipel du Goulag écrit dans la clandestinité, tout comme ce Chemin des forçats composé durant ses années de bagne. Contraint de s exiler vingt ans aux Etats-Unis, il y poursuivit son grand Suvre sur la la genèse de la révolution d Octobre, la Roue rouge. Il regagna sa Russie natale en 1994.
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Tome :
1918
Immense fresque de l'univers concentrationnaire soviétique, dont Soljenitsyne fut l'une des nombreuses victimes, L'Archipel du Goulag est un livre de témoignage et de combat. A texte exceptionnel, destin d'exception : rédigé entre 1958 et 1967 dans la clandestinité, il fut publié pour la première fois en France en 1974 et censuré en U.R.S.S. jusqu'en 1989. Puissance d'évocation, éloquence tumultueuse : l'ouvrage, qui a ébranlé les fondements du totalitarisme communiste, continue de brûler les mains. Alexandre Soljenitsyne (1918-2008) est un écrivain et dissident russe. Incarcéré puis envoyé au Goulag en 1945, il y est détenu pendant huit ans. Déchu de la nationalité russe, ce n'est qu'en 1994, après vingt ans d'exil, qu'il peut enfin réintégrer son pays. Lauréat du prix Nobel de littérature en 1970, il est l'auteur d'une oeuvre considérable.
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Une journée d'Ivan Denissovitch, c'est celle du bagnard Ivan Denissovitch Choukhov, condamné à dix ans de camp de travail pour avoir été fait prisonnier au cours de la Seconde Guerre mondiale. Le récit nous montre sa journée depuis le coup sur le rail suspendu dans la cour qui marque le lever, jusqu'au court répit du soir et au coucher, en passant par les longues procédures de comptage, la peur des fouilles, les bousculades au réfectoire, les travaux de maçonnerie par un froid terrible dans l'hiver kazakhe, les menues chances et malchances de la journée. Archétype du paysan russe moyen, Choukhov, homme humble et débrouillard en qui le bien fait encore son oeuvre, a su se libérer intérieurement et même vaincre la dépersonnalisation que ses maîtres auraient voulu lui imposer en lui donnant son matricule. Le talent propre à Soljénitsyne, son don de vision interne des hommes, apparaissent ici d'emblée dans une complète réussite : ce chef-d'oeuvre à la structure classique restera dans toutes les anthologies du XXe siècle comme le symbole littéraire de l'après-Staline.
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L'un des grands chefs-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle, réédité à l'occasion du centenaire de la naissance d'Alexandre Soljenitsyne. " Quand on décrit les prisons, on s'attache toujours à en noircir les horreurs. N'est-ce pas encore pire quand il n'y a pas d'horreurs ? Quand l'atroce naît de la grisaille méthodique des semaines ? Et du fait qu'on oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisée ? " Pour les zeks, les détenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de l'enfer pénitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, c'est la même chose, c'est le silence, l'ennui. Les charachkas, c'est oublier qu'on est en vie. Sous la plume d'Alexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brûlant et une violence voilée, l'auteur décrit le régime concentrationnaire soviétique en un long cri de rage, celui d'un homme qui n'a jamais cessé de lutter pour la liberté.
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