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Dans Loin, très loin, Maurice Sendak donne la parole à Martin, un petit garçon en rupture de ban. Bien avant Max des Maximonstres, il entre en conflit avec ses parents, pose une question à sa mère qui est trop occupée pour lui répondre. Elle fait la toilette du bébé, et on devine bien que cette activité est doublement agaçante pour Martin. Alors il décide de partir loin, très loin. En chemin, il rencontre un vieux cheval dépressif, un moineau anglais très snob et un chat incompris. Tous trois se mettent en quête de ce loin, très loin. Ils ont tous leur version de ce paradis inaccessible : le vieux cheval rêve d'herbe épaisse dans laquelle se coucher, le moineau est nostalgique d'un passé grandiose et révolu, le chat rêve d'un pays dans lequel son talent de chanteur serait enfin reconnu. Mais à l'aune de leurs égoïsmes, l'union ne tiendra pas longtemps et chacun s'en retournera de son côté chercher cet endroit loin, très loin.
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Conte populaire recueilli par Luzel en 1873 et remanié où se croisent lutins, fées, etc.
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Recueil de quatre contes, précédemment paru en 1947, qui relate l'histoire d'un rouge-gorge tué par un moineau, d'un bonhomme de pain d'épices, des trois petits cochons et des trois petits ours. Ces textels sont d'origine folklorique, excepté Les trois ours qui paraît pour la première fois en 1837 dans l'oeuvre de R. Southey, écrivain romantique anglais.
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Moscou, années 1930, le stalinisme est tout puissant, l'austérité ronge la vie et les âmes, les artistes sont devenus serviles et l'athéisme est proclamé par l'État. C'est dans ce contexte que le diable décide d'apparaître et de semer la pagaille, bouleversant les notions de bien, de mal, de vrai, de faux, jusqu'à rendre fous ceux qu'il croise. Chef-d'œuvre de la littérature russe, livre culte à travers le monde, Le Maître et Marguerite dénonce dans un rire féroce les pouvoirs autoritaires, les veules qui s'en accommodent, les artistes complaisants, l'absence imbécile de doute. André Markowicz, qui en retraduisant les œuvres de Fiodor Dostoïevski leur a rendu toute leur force, s'attaque à un monument littéraire et nous restitue sa cruauté première, son souffle romanesque, son universalité.
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Hitoire rimée de petits radis s'enfuyant pour ne pas être cueillis.
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Publié pour la première fois en 1974, ce recueil, composé de près de deux mille vers, reprend des formes parfois anciennes de la poésie chantée, comme la comptine ou la ballade, pour broder sur des thèmes empruntés aux contes populaires et aux légendes.
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