Sandrine ne s'aime pas. Elle trouve son corps trop gros, son visage trop fade. Timide, mal à l'aise, elle bafouille quand on hausse la voix, reste muette durant les déjeuners entre collègues.
Mais plus rien de cela ne compte le jour où elle rencontre son homme, et qu’il lui fait une place. Une place dans sa maison, auprès de son fils, sa maison où il manque une femme. La première. Elle a disparu, elle est présumée morte, et Sandrine, discrète, aimante, reconnaissante, se glisse dans cette absence, fait de son mieux pour redonner le sourire au mari endeuillé et au petit Mathias.
Mais ce n'est pas son fils, ce n'est pas son homme, la première femme était là avant, la première femme était là d'abord. Et le jour où elle réapparaît, vivante, le monde de Sandrine s’écroule.
Dernière sélection du Prix Maison de la Presse 2020
Finaliste Prix Libr'à Nous 2021 - catégorie Polar
« Il arrive qu’un livre, soudain, résonne avec le monde environnant, jusqu’à l’éclairer d’une lumière singulière. » Libération
« Ce polar psychologique traite avec talent du sujet de l'emprise et de la violence conjugale. » France Dimanche
« C’est un coup de génie que réalise Louise Mey avec La Deuxième Femme, l’un de ses romans les plus puissants de cette rentrée de janvier. » Causette
« Une jeune auteure à suivre » ELLE
« Féministe, écrivaine, et auteure attachée aux rapports que les femmes entretiennent avec leur corps, elle décortique dans ses romans, avec une terrible acuité, les mécanismes psychologiques de la violence. » Marie Claire
« Manipulations, angoisses et violences conjugales se mêlent avec réussite dans ce thriller psychologique aussi formidable qu'étonnant. » Femme Actuelle
« Avec un style incisif, cette jeune auteure de romans noirs aborde la violence conjugale à travers une plongée dans le mécanisme de l’emprise. Vertigineux ! » Version Femina
« Bouleversant. (...) Un roman engagé sur l'emprise et la violence conjugales. » Ici Paris
« Un roman sombre et douloureux qui aborde avec force des thèmes aussi noirs que la violence, l’emprise et la manipulation. » Vaucluse Matin