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A l'occasion des 50 ans de la Fondation Maeght, l'auteure retrace le parcours de sa famille sur trois générations et plus particulièrement celui de son grand-père, Aimé Maeght. L'éditeur et galeriste, à l'origine de la Fondation Marguerite et Aimé Maeght, côtoya des artistes célèbres tels que Matisse, Braque, Léger, etc.
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Le témoignage unique d'une Française partie rejoindre l'État islamique avec son fils...et revenue de l'enfer. Sophie Kasiki est éducatrice en banlieue parisienne quand trois garçons qu'elle connaît quittent la France pour faire le djihad en Syrie, laissant leurs familles dévastées. Très vite, ceux qu'elle appelle " les gamins " reprennent contact avec elle. Sophie espère les convaincre de rentrer, mais c'est l'inverse qui va se produire. En plein questionnement personnel, cherchant à donner un sens à sa vie, Sophie se laisse envoûter malgré elle par leur discours politique. Et, après seulement quelques mois de conversations quotidiennes, elle prend l'incroyable décision de partir pour Rakka, capitale de l'État islamique. Elle emmène avec elle son fils de quatre ans. Là, Sophie, bénévole à la maternité, découvre la ville vitrine de l'EI, cosmopolite – on vient de tous les pays servir le califat – et sous contrôle étroit des djihadistes. Elle ouvre progressivement les yeux : Daech est une armée d'occupation, les Syriens tremblent et les gamins qu'elle a connus sont désormais des moudjahidine fanatiques et dangereux qui vont les séquestrer, elle et son fils, dès qu'elle manifestera son opposition. Dans un pays où les femmes n'ont pas même le droit de marcher dans la rue sans leur tuteur légal, Sophie, armée de l'amour inconditionnel de son mari resté en France, va affronter tous les dangers pour sauver son fils et le ramener à la maison... Un récit bouleversant en plein coeur des ténèbres.
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L'ultra-droite est de retour, obsédée par la fin de la République. Des attentats se fomentent sur notre sol. Des groupuscules se montent partout ; gagnent la bataille idéologique ; pénètrent les principaux mouvements de contestations dans le pays, saccagent nos institutions, l'Arc de triomphe lors d'une manifestation des Gilets jaunes. Leurs relais sont médiatiques, littéraires, politiques. La thèse du  « grand remplacement »  de Renaud Camus a irrigué bien au-delà des rangs extrémistes, pour s'imposer dans le débat public.  Ils sont de plus en plus nombreux, sur le territoire, à se radicaliser autour des thèmes du déclin de la France, des crises économiques et sociales, de l'abandon du pays aux musulmans, de la faiblesse de l'État, au point que les services de renseignement pensent désormais inéluctable un affrontement entre communautés, dessinant l'ébauche d'une future guerre civile. Y sommes-nous déjà ? La société craquelle, la «  dissidence  », elle, s'organise. Alain Soral, Dieudonné, Boris Le Lay et autre prêcheur de haine sont interdits de Youtube Facebook ou Twitter, avant d'être poursuivis en justice et de devenir des martyrs de leur cause. Leurs sites sont fermés, ils en ouvrent de nouveaux. Quand leurs mouvements sont  dissous, ils se reforment sous un autre nom. Actions coup de poing contre les immigrés – «  kebabs, mosquées, on en a assez !  », camps d'été survivalistes, projets d'attaques, fermes à trolls, propagande numérique, etc. La DGSI craint l'attaque de loups solitaires de l'ultradroite et relève avec inquiétude l'apparition d'une frange de militants identitaires qui leur étaient jusqu'alors inconnus.Jean-Michel Décugis, Pauline Guéna et Marc Leplongeon les ont rencontrés et font parler ceux qui s'estiment être les «  Grands remplacés  ». C'est à une plongée inquiétante que nous invitent ici les auteurs de Mimi. Portraits, réseaux, généalogie du combat, entrée dans la clandestinité : le feu couve.
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«  A Auschwitz, j'ai cherché ma mère partout dans le camp des femmes. Je demandais à toutes les Françaises. Je cherchais par date d'arrivée, j'allais voir dans les baraquements. Ma mère était très débrouillarde, très joyeuse. Elle avait une telle force de vie que j'étais certaine de la retrouver. Puis j'ai rencontré une femme qui se souvenait d'elle. C'est toi Julia  ? m'a-t-elle demandé. Il paraît que ma mère parlait de moi sans arrêt.J'espérais que mon père, comme il savait travailler le cuir, serait employé dans un bon commando. Mais quelques jours après notre arrivée, je l'ai croisé sur le chantier du Revier, l'infirmerie des femmes. Il s'était porté volontaire parce qu'il voulait savoir ce qu'il était arrivé à sa femme. Qu'est-ce qu'on peut contre un grand amour  ? C'est la dernière fois que je l'ai vu. On m'a dit qu'il avait été envoyé nettoyer le ghetto de Varsovie puis, avec tout son commando, assassiné.  Au camp, pendant l'appel, on soufflait dans le dos de la femme devant nous et on frottait le tissu mince de sa robe. Celle qui était derrière nous faisait pareil. Quand on avait une journée sans travail, on s'asseyait par terre et on se racontait notre enfance. Et puis on chantait.  »  Née à Paris en juin 1925, de parents polonais, Julia Wallach a quinze ans quand les Allemands entrent dans Paris, et dix-sept ans quand elle est arrêtée avec son père sur dénonciation d'une voisine, en 1943, puis déportés de Drancy vers Auschwitz-Birkenau… Julia connaît la faim, le froid, les coups, et la marche de la mort à travers la Pologne et l'Allemagne enneigées. Pendant quatre mois, sans plus rien à manger, ils avancent. En avril 1945, avec quelques femmes, Julia trouve encore la force de s'enfuir….Elle qui a survécu au typhus et aux sélections, aux coups, au froid et à la faim, aux deuils et au chagrin, va pas à pas, reconstruire sa vie, tomber amoureuse et fonder une famille dont les photos magnifiques ornent les murs de cet appartement qu'elle n'a jamais plus...
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Née à Paris en juin 1925, de parents polonais, Julia Wallach a dix-sept ans quand elle est arrêtée avec son père sur dénonciation d'une voisine, en 1943, puis déportée de Drancy vers Auschwitz-Birkenau. Julia connaît la faim, le froid, les coups, la maladie et côtoie la mort dans un quotidien défiguré qu'elle nous transmet courageusement.Vient la marche de la mort à travers la Pologne et l'Allemagne enneigées  : pendant quatre mois, sans plus rien à manger, ils avancent. En avril 1945, avec quelques femmes, Julia trouve encore la force de s'enfuir…Elle qui a survécu au typhus et aux sélections va reconstruire sa vie pas à pas, tomber amoureuse et fonder une famille dont les photos ornent les murs de cet appartement qu'elle n'a ensuite plus quitté. Son livre est le récit d'une longue marche vers la vie, ponctué d'éclats de rire et de colère, drapé, avec une élégance sans faille, dans la force de caractère qui n'a jamais cessé de l'animer.  À propos des autricesDans cet inoubliable récit, Julia Wallach  témoigne de la vie des camps, en complicité littéraire et affectueuse avec  Pauline Guéna,  romancière, essayiste et scénariste, ayant  obtenu le Grand prix des lectrices de ELLE-document pour L'Amérique des écrivains, avec Guillaume Binet.«  Un livre qui doit être lu par tous, surtout les plus jeunes.  » La Grande Librairie, François Busnel«  Un témoignage inédit sur la déportation, Auschwitz, la Shoah.  »  Le Soir  «  Dans ce récit poignant, un des derniers témoins d'Auschwitz raconte l'horreur des camps et l'énergie de la vie.  »  RCF«  Ces pages offrent une leçon d'optimisme.  » Challenges
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« Il se réveille en sursaut. Les cris et les rires des enfants ne sont pas ceux de l'école du village, mais c'est bien l'odeur sèche du béton et celle, suffocante, de la tôle chauffée à blanc qui ont mêlé dans sa sueur et dans la crasse les années et les lieux. Il se redresse, sa prise sur l'arme resserrée, aux aguets. Les enfants se sont tus. Comme les oiseaux. » Marco est tueur à gages. C'est un professionnel fiable et efficace qui a toujours honoré ses contrats. Jusqu'à ce jour d'été où Marco va tuer par amour. Sa cavale commence. À ses trousses, le milieu, la police et un jeune journaliste en quête de gloire. Devant lui, rien d'autre que l'été qui n'en finit pas, et la femme qu'il aime.
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