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Dans cet ouvrage écrit durant l'été 1929, Freud aborde au fil de la plume des thèmes aussi variés que la religion, le bonheur, la morale, l'agressivité, la société... Mais derrière ce propos d'apparence légère et presque décousue, on découvre une ligne de pensée très nette : il ne peut pas exister de société heureuse ; toute culture humaine se fonde sur le renoncement et est traversée, à des degrés divers, par le malaise irréductible de la culpabilité. A une époque où, à l'Ouest comme à l'Est, les promesses de société heureuse font fortune, Freud fait preuve ici d'une singulière lucidité qui a pourtant longtemps été mal comprise. Loin d'être l'expression théorique du pessimisme désabusé d'un vieil homme de soixante-treize ans, il s'agit d'une analyse vigoureuse et profonde. S'appuyant sur la nouvelle théorie des pulsions élaborée en 1920, elle renverse l'idée d'une nature humaine pacifique. Freud montre à quel point l'agressivité est une composante nécessaire de la vie psychique et par extension, du fait social.
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L'oeuvre dans laquelle F. Nietzsche interroge l'idée de vérité est replacée dans l'histoire des idées et mise en perspective par un groupement de textes sur le mot et la chose. ©Electre 2023
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Mme de Clèves craint d'aimer M. de Nemours, l'un des fleurons de la cour d'Henri II. Par l'aveu qu'elle en fait, elle rend son époux le plus malheureux des hommes et M. de Nemours, caché dans le jardin, le plus heureux. Or, elle n'aura aucun geste pour tuer l'un de désespoir et combler l'autre.
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Contre les opinions trop assurées et les convictions aveugles, contre ce germe de fanatisme qui couve sous toute certitude trop tranchée, le philosophe Dorian Astor fait l'éloge de l'incertitude, entre souffrance et légèreté. Partant de cet aphorisme provocant de Nietzsche : « Ce n'est pas le doute qui rend fou, c'est la certitude », Dorian Astor s'est mis en quête d'un scepticisme heureux à la Montaigne – il sait toutefois que l'incertitude reste une inquiétude inhérente à la vie et aux signes équivoques du monde, tissée de crainte, de courage, mais aussi de curiosité passionnée.  Il l'a traquée chez les animaux, chez les humains, en lui-même, loin des procédures classiques d'établissement de vérités certaines. Se faisant tour à tour moraliste, éthologue, anthropologue, psychologue, romancier, poète, le philosophe dissèque, d'une écriture aussi subtile que lumineuse, la passion de l'incertitude – sans être assuré du sens qu'il faut retenir du terme « passion » : grand amour ou martyre… ?  
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"Tu dois devenir celui que tu es ". La formule est célèbre mais paradoxale : ne suis-je pas déjà moi-même ? Qui donc pourrait être cet "autre moi" que l'on m'enjoint d'atteindre ? De Pindare à Nietzsche, de Freud à Deleuze, en passant par Socrate et Rousseau, les philosophes se sont interrogés sur ce mot d'ordre. Pour Dorian Astor, devenir soi ne signifie pas qu'il faille devenir maître de son destin, ni même qu'on doive devenir quelque chose ou quelqu'un. Devenir ce que l'on est, c'est aussi et surtout une disposition qui nous élève, une manière d'être plus libre.
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